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Je vous pose la question parce que moi, je ne sais plus.
Il y a eu le médiator du cher pépé Servier.
Il y a les prothèses mammaires qui au moindre toucher vous pètent à la figure ...
En ce moment, ce sont les prothèses de hanches qui seraient douteuses ...
Je ne me sens pas concernée par tout cela bien sûr ... mais ...
Les génériques sont douteux aussi et peut-être pas du tout aussi efficaces que les médicaments d'origine.
Et là, j'en prends ...
A la suite d'un infarctus j'ai toute une batterie de médicaments, or, il se trouve que chaque mois, quand je vais les renouveler, on me change de générique. Je n'ai plus aucun médicament d'origine.
J'ai ouï dire que le pharmacien palpait beaucoup plus avec ces médicaments qu'avec les d'origine.
Je vois le cardiologue au printemps, je vais lui en parler ...
Nous sommes des cobayes humains en danger !
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Contrepèteries :
1- Le statisticien prend son panel dans les bars.
2- Avez-vous déjà vu des traces de tempête ?
3- Vous voyez ces matheux qui se tapent votre Clicquot ?
4- Le caporal a vidé sa bière dans la guérite.
5- Le croupier se lave avec un bidon.
6- L'ouvrière adore les robes qui sentent l'usine.
7- Grippe aviaire : il faut écarter les maux des poules.
8- "Le Grand Bleu", c'est comme une grosse botte de cresson.
9- Le photographe a pris un coup superflu.
10- La lycéenne apprécie que les profs sortent des facs.
Traductions :
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Le Streptosolen est un arbuste velu, au feuillage persistant, originaire du pays Inca, que l'on appelle parfois "arbre à confiture". Son port buissonnant, plutôt évasé en fait un très délicat élément du décor jardinier dans les régions les plus favorisées de la bordure méditerranéenne. Il craint réellement le froid, surtout si on le cultive en pot qu'il faut absolument rentrer en hiver. En pleine terre, il supporte les -2°C mais ses racines sont plus fragiles.
Il propose une floraison jaune-orangée exceptionnelle de mai à novembre mais avec une abondance prépondérante jusque juillet. Il supporte le soleil mais apprécie un peu d'ombrage léger. Ses rameaux retombants et gracieux lui permettent toutefois de se développer assez rapidement jusque 2 ou 3 mètres. Il préfère un sol drainant et léger, plutôt humifère.
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BON ANNIVERSAIRE à ...
Gioacchino Rossini dont la pie ne volera pas ses 220 bougies, mais aussi à Madame Michèle Morgan qui fêtera dignement ses 92 années, à Gérard Darmon qui en chantera 64 bien sonnées et à "Cheb" Khaled qui aura 52 cordes à son luth.
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Apprendre à aimer sa solitudeSavoir se retirer dans un roc qui préserve la tendresse.Déjouer la dépendance pour que la possession devienne écran de transparence.
Aimer, c'est célébrer en permanence la rencontre de deux solitudes.Tahar Ben Jelloun
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"Quand février prend un jour, souvent de catastrophes il est lourd."
Ah nous v'la bien ! On nous ajoute un jour et c'est un jour de catas ! Comme si les 365 autres n'en comptaient pas assez ... Que va-t-il donc nous arriver aujourd'hui précisément ? Ben Laden va ressusciter (s'il est bien mort) ? Dujardin va rendre son Oscar ? Un nouveau tsunami à Fukushima ? Carlita annonce son divorce ? Jean Reno et Jean-Marie Bigard se convertissent à l'islam ? Mon dieu, que d'horreurs ... Heureusement, ça ne se reproduira pas avant 2016, c'est déjà ça.
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« Beurré (comme un p'tit lu) »
(Complètement) saoul.
'Beurré' pour 'ivre' est un mot d'argot qui est une simple déformation de 'bourré' liée à l'image du beurre, la personne soûle étant molle ou parlant 'gras'.
J'en vois déjà qui vont me demander "mais alors pourquoi dit-on 'bourré' pour quelqu'un qui est saoul ?"
Eh bien je répondrais que la métaphore semble assez claire, puisqu'il suffit d'imaginer un contenant rempli à son maximum, 'bourré' par son contenu, comme peut l'être le bonhomme qui a absorbé des quantités de boissons avec un léger manque de modération et dont les veines contiennent encore un peu de sang dans l'alcool qui y circule.
Si cette expression date du début du XXe siècle, on peut tout de même noter que, dans l'argot des imprimeurs, et dès le début du XIXe siècle, une page 'beurrée' était une page surchargée, imbibée d'encre noire, tout comme celui qui est 'beurré' est imbibé d'alcool.
Reste à expliquer le "p'tit lu".
Certains connaissent bien les biscuits appelés des "petits beurres" fabriqués depuis le milieu du XIXe siècle par la société Lefèvre-Utile ('LU' en abrégé - et ).
Ces biscuits étaient fabriqués entre autres avec du beurre, comme leur nom l'indique ; ils pouvaient donc être vus comme 'bourrés' de beurre. De là le rapprochement sous forme de plaisanterie avec le terme 'beurré' issu de 'bourré'.
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Zárraga Angel
est né en 1886 au Mexique. Il a étudié à l'Ecole Nationale des Beaux Arts (ENBA). Sa famille lui a permis un voyage d'étude en Europe en 1904.
En 1911, il s'installe en France pour de bon.
Après 1921, son travail est influencé par Cézanne et Giotto.
Au moment de l'effondrement du marché international de l'art, il a perdu ses sponsors et est devenu dépressif. Au cours de la Seconde Guerre mondiale il est retourné dans son pays d'origine en 1941, où il peint des fresques à la "Banqueros Club" et à la Cathédrale de Monterrey.
Il est mort d'une pneumonie en 1946.
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La sexualité des barquesLa sexualité des barques est étrange,
elle ne demande qu'à s'éveiller.Quelquefois je prends mon crayon noir le plus tendre
pour dessiner avec application
une barque en attente :
je m'attarde sur la courbe délicate,
souligne la ligne de flottaison,
caresse le galbe de la coque;
je sens ma barque qui frissonne,
elle commence à s'agiter
se tournant vers moi toute offerte
pour me présenter son meilleur côté,
je soigne alors ses zones érogènes
titillant avec délicatesse
l'humidité de sa proue;
ma barque se balance alors rythmiquement
traçant dans l'eau de grandes spirales
où je m'engouffre délicieusement
pour receuillir son orgasme.
La sexualité des barques est étrange,
elle ne demande qu'à s'éveiller.Alain Gourhant
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De dormir dans des endroits insolites ...
Celui-là l'est ...
Villa cheminée : Loire-Atlantique
Figurant parmi les locations insolites du département de Loire-Atlantique, la « villa cheminée » de Bouée-Cordemais, imaginée par l’artiste japonais Tatzu Nishi, a été conçue et réalisée pour faire vivre à ses occupants une expérience unique le temps d’un week-end. Ce pavillon situé à une trentaine de kilomètres de Nantes est entouré d’un petit jardin. Il est perché à une quinzaine de mètres de hauteur sur une tour qui s’avère être une imitation de l’une des 4 cheminées du « château de fer », surnom donné à la centrale EDF de Cordemais.
Pour accéder à la villa cheminée, petite maison perchée de 32m² composée notamment d’une chambre pour 2 personnes, d’une cuisine équipée et d’une salle d’eau, il faut monter 96 marches. L’effort à fournir à l’ascension en vaut toutefois largement la chandelle car une fois arrivé au sommet, l’occupant des lieux bénéficie d’une vue imprenable sur la Loire.
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