• Lu-biscuit.jpg

    1886 est l’année de naissance du Petit-Beurre LU, dans lequel les gourmands croquent toujours avec bonheur, le délestant d’abord de ses quatre oreilles au goût un peu plus prononcé que le reste du biscuit.

    Doté de 48 dents, 14 dans sa longueur, 10 dans sa largeur, le petit biscuit doré n’a pas pris une ride depuis sa création. Rectangulaire, joliment festonné, piqué de 24 petits trous, l’historique Petit Beurre porte en son centre l’inscription : « LU Petit-Beurre Nantes ».

    Définitivement ancrée dans l’imaginaire collectif, sa physionomie reconnaissable entre mille est invariablement associée à Nantes. Ses dimensions sont loin d’être le fruit du hasard : en empilant 8 petits-beurre les uns sur les autres, la hauteur de la pile obtenue correspond à la largeur du biscuit, pour en faciliter l’emballage, le transport et le stockage.

    Remontons aux origines : en 1846, Jean-Romain Lefèvre, pâtissier natif de la Meuse, quitte sa région d’origine avec son épouse Pauline-Isabelle Utile, pour venir s’installer 5 rue Boileau à Nantes. Là, ils ouvrent une pâtisserie : « La fabrique de biscuits de Reims et de bonbons ». Tout un programme, et qui marche du tonnerre : les Nantais adorent, se pressant chaque jour pour déguster les biscuits tout juste sortis du four. De fil en aiguille, la petite boutique prospère, au point que les locaux deviennent trop exigus : en 1854, le couple acquiert le n°7 de la rue Boileau, pour y créer une annexe du magasin, où sont vendus boudoirs, massepains, et autres gourmandises. Le succès est tel qu’en 1880, 14 ouvriers sont employés pour fabriquer les biscuits. En 1882, l’entreprise Lefèvre-Utile reçoit la médaille d’or de l’exposition de Nantes.

    Cette belle affaire familiale aurait pu en rester là, mais c’était sans compter sur l’esprit d’entreprise du benjamin de la famille, Louis Lefèvre-Utile. Âgé de 24 ans, Louis prend le relais de son père en 1882 : il a en tête de faire concurrence aux biscuits britanniques, qui inondent alors le marché français. Pour fabriquer des biscuits à plus grande échelle, la pâtisserie de la rue Boileau ne suffit plus : Louis rachète en 1885 une ancienne filature de 2 000 mètres carrés située sur le quai Baco, qu’il transforme en une manufacture ultra-moderne. 130 ouvriers y travaillent, produisant plusieurs tonnes de biscuits chaque jour.

    lulu.JPG

     Louis est un visionnaire et un perfectionniste : en 1886, il conçoit un biscuit basique ressemblant aux napperons de sa grand-mère. Ce biscuit, baptisé « petit beurre Bambin » qui deviendra ensuite le « Petit Beurre LU » aurait pu passer inaperçu tant il est simple.

    Mais Louis sent qu’il a frappé un grand coup : « je crois que je viens de mettre au point un produit promis à un grand avenir ». Le 1er février 1887 est créée la société LU, et, grain de sable dans cette mécanique bien huilée, le dépôt de la forme et de la marque au Tribunal de commerce de Nantes, n’intervient que le 9 avril de l’année suivante : entre temps, les copies du biscuit ont eu le temps d’être commercialisées, conduisant Louis à qualifier son petit-beurre de « véritable » et à intensifier la publicité.

    Aujourd’hui, plus de 9 000 tonnes de Petit-Beurre sont produites chaque année à la Haye-Fouassière : 1 milliard de biscuits dans 41 millions de paquets. Louis avait vu juste : son petit LU avait de beaux jours devant lui.


    2 commentaires
  • femme-copie-3.jpg

    «L'homme ne peut jamais savoir ce qu'est la solitude comme une femme le sait. L'homme se trouve dans le ventre d'une femme seule,  rassemblant ses forces, il se nourrit de cette fusion, puis il naît et va dans le monde, dans son travail, dans la bataille, dans l'art. Il n'est pas seul. Il est occupé. La mémoire de la nage dans le liquide amniotique lui donne de l'énergie, l'achèvement. La femme peut-être occupée aussi, mais elle se sent vide. La sensualité pour elle n'est pas seulement une vague de plaisir dans laquelle il a baigné, et une charge de la joie électrique au contact avec un autre. Quand l'homme se trouve dans son ventre, elle est remplie, chaque acte d'amour est une prise de l'homme dans son sein, et l'acte de naissance et de renaissance, de procréer en ayant un fils. L'homme se trouve dans son ventre et renaît chaque fois de nouveau avec une volonté d'agir, d'être. Mais pour une femme, le point culminant n'est pas à la naissance, mais dans le moment où l'homme repose à l'intérieur d'elle. "
    Anaïs Nin 1932

    Mais la vie ne peut se réduire à cela !!
    J'ai deux filles mais ma vie ne s'est jamais limitée à ce fait ... je trouve cela réducteur.




    votre commentaire
  • femme-copie-2.jpg

    Non consommé ...
    Abandonnés à la frustration
    Le désir de toucher
    Trompant notre appétit
    Même pour une seule nuit

    Comment ? Jusqu'où irons-nous
    Pour capturer ce moment précieux ?
    Lorsque deux deviennent un
    Les rêves deviennent réalité
    Serons-nous enfin rassasiés


    votre commentaire
  • E

    comme Erotisme

    L'érotisme est un mouvement vers l'Autre
    Simone de Beauvoir


    votre commentaire
  • Animal on est mal ? mais non ...

    cygne.jpg


    votre commentaire
  • Offrez des bijoux de corps ...
    Avant le corps-à-corps !!!

    bijoux-pagan-poetry-3-528x352.jpg


    votre commentaire
  • Demain chez nous !!!
    Ca se passe en Belgique, chez un équipementier auto  qui va  délocaliser.

    Le personnel sentant venir les mauvais coups, protège son outil de travail.
    Dimanche, un groupe d'individus vêtus de noir, cagoulés, gilets pare-balles, matraques et lacrymso, pénètre dans l'usine pour récupérer les pièces déjà fabriquées.
    Ce groupe s'est trouvé enfermé dans l'usine par les ouvriers et les syndicats. C'est la police qui a dû le dégager.
    Plainte a été déposée, c'était une milice privée teutonne !

    angela_merkel_644325.jpg


    2 commentaires
  • Contrepèteries :

    1- Sur le marché, des vendeuses pétillantes proposent quelques fripes et des mutations félines.
    2- Sur le marché, on voit aussi des carrioles sans mulet.
    3- J'en ai marre, d'avoir du tracas jusqu'au cou !
    4- Au zoo, l'instituteur aime caresser les cornes liées des petits zébus.
    5- Hier, un javelot est tombé sur le troquet.
    6- Plusieurs luxations amènent à la fêlure.
    7- Sarkozy a déclaré : "Je m'en doute, que le MEDEF recule !"
    8- Sarkozy croit que, devenu riche à force de peiner, l'ouvrier roule sur les pépettes ...
    9- Tous les chauffeurs ne sont pas sans malus.
    10- Les curés précis refusent toujours le tennis.


    Traductions :

    1- Sur le marché, des vendeuses frétillantes proposent quelques pipes et des fellations mutines.
    2- Sur le marché, on voit aussi des marioles s'enculer.
    3- J'en ai marre, d'avoir du caca jusqu'au trou !
    4- Au zoo, l'instituteur aime caresser les burnes des petits écoliers.
    5- Hier, un travelot est tombé sur le jockey.
    6- Plusieurs fellations amènent à la luxure.
    7- Sarkozy a déclaré : "Je redoute que le MEDEF m'encule !"
    8- Sarkozy croit que, devenu rêche à force de piner, l'ouvrier pèle sur les roupettes.
    9- Tous les chômeurs ne sont pas sans phallus.
    10- Les culs rétrécis refusent toujours le pénis.


    votre commentaire
  • Le léonotis aussi appelé Queue de Lion, est un arbrisseau sud-africain qui se développe plutôt rapidement jusqu'à atteindre environ 2 mètres à 2,50 mètres de haut. Plutôt buissonant, il est souvent plus haut que large.leonotis leonurus
    Il a un besoin très marqué de soleil et s'accomode à peu près de tous les sols s'ils sont bien drainants. Il résiste modestement à un gel de -5°C au grand maximum, ce qui en réserve la culture en pleine terre à nos régions méditerranéennes. Sa floraison très originale orange a lieu en fin de printemps avec une remontée assez importante en automne.leonotis On peut rabattre le léonotis en fin d'hiver pour l'étoffer légèrement mais il ramifie assez peu.
    La plante attire les papillons mais son feuillage est toxique, ce qui n'empêche pas les Hottentots et les Bushmen de Namibie de le fumer pour "s'évader" ...


    1 commentaire
  • Nous voulons tous de quelqu'un qu'il nous aime comme nous souhaitons l'être
    et non comme il le croit.

    Jacques Salomé

    physalis-neauphle-le-chateau-france-8279992939-892747.jpg


    votre commentaire