• epingles-a-linge.png

    J'ai trouvé cette jolie image hier. Je me suis dit, tiens je vais faire un article sur cette indispensable chose.
    Qui a inventé la pince à linge ?
    J'ai trouvé cette réponse sur wiki, ça semble insoluble lol
    "Pour disserter de l’inventeur de la pince à linge, il faut d’abord définir de quoi on parle. Au 7 mars 2009, le Wikitionnaire définit la pince à linge comme un « petit instrument formé de deux parties maintenues entre elles par un ressort servant à étendre du linge ». La page « pince à linge » dit que c’est d’abord « un objet destiné à maintenir du linge mis à sécher sur une corde à linge ou un étendoir », ce qui est très contestable, puisqu’on peut aussi utiliser des branches d’arbres, des fils de téléphones, des lianes, un boyau de chat, un long fil à couper le beurre, etc. La définition se poursuit par « Elle est composée de deux parties mobiles maintenues par un ressort. », mais elle est suivie par une image de « pince à linge en bois d’un seul tenant » qui n’a manifestement pas de ressort. On a ainsi au moins deux catégories de pinces à linge : la « pince à linge primaire » sans ressort et la « pince à linge moderne », avec ressort."

    Non seulement la pince à linge sert à étendre le linge, mais aussi à couper les cheveux en quatre.

     


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  • L’artiste danois Jeppe Hein a installé à la place de bancs traditionnels des bancs au design modifié, créant ainsi de nouvelles interactions entre les personnes assises. Une excellent idée pensée à l’occasion de la triennale de Beaufort04 à découvrir de suite.

    Modified-Benches10--Small-.jpg

     


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  • Non, ce n'est pas mon style, ni haricot vert d'ailleurs ... Le fil de fer est un objet hyper souple dont vous pouvez faire ce que vous voulez, enfin, si vous avez de l'idée et des mains d'artiste ...

    sculpture-fil-de-fer-gavin-worth-3.jpg


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  • Non, non il ne délivre pas de médicament ou autre substance anti-addiction, mais seulement de l'érotisme !
    Bon, je vous l'accorde, il faut une poitrine jeune et ferme pour arborer fièrement et sans complexe cet apparat séducteur, mais avouez que pour une parade envoûtante, l'effet est réussi !
    Reste plus qu'à espérer un dépositionnement des palpitants non épilatoire...


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  • Festival Internacional de Humor de Boston




    1º Classificado. Ross Thomson (roSS), United Kingdom


    2º Classificado. Silvano Melo (Mello), Brazil


    3º Classificado. Raúl Zuleta, Colombia


    Lubonir Kotrha, Slovakia - Menção honrosa
    Raúl de la Nuez, Cuba/USA - Menção honrosa


    Elrayah Ombaddi, Sudan - Menção honrosa



    Ramiro Zapata, Colombia - Menção honrosa


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  • grece.jpg

    L'Europe ne sait toujours pas :
    Tuer ou sauver ?
    Et qui sait si "sauver" ne sera pas "tuer" ?


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  • Maxwell Doig est né à Huddersfield. Il est diplômé de l'Ecole de Manchester Art en 1988 avec un baccalauréat en beaux-arts et a suivi des études de troisième cycle en histoire. Il poursuit les   beaux-arts à la Slade School of Art, Londres, entre 1988 et 1990. Doig est préoccupé par la figure humaine et sa relation spatiale, combineé avec le jeu de lumière et d'ombre. Son utilisation des points de vue non conventionnels représentant des figures solitaires statiques.  Beaucoup de subtilité avec l'application des pigments et des résultats de complexité de texture en imagerie éphémère contemplative. En 1997, il a reçu le Prix David Villiers. Il vit et travaille à Manchester.

     

     

     

     


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  • Regardez autour de vous lol

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    L'anthropologue français Georges Guille-Escuret publie une impressionnante somme sur le cannibalismeen Afrique, en Amérique et en Océanie.Des territoires où de nombreux hommesont longtemps mangéde l'homme. Mais pas tous les jours et sans sadisme, révèle-t-il.

    Manger de l'homme ? L'horreur absolue, l'innommable... « On n'arrive pas à parler ' normalement ' du cannibalisme », prévient Georges Guille-Escuret, anthropologue et chercheur au CNRS. C'est le sujet tabou par excellence. Le fossé qui sépare le barbare du civilisé. Aux yeux de ce dernier, évidemment.
    Nous, les cartésiens, les chrétiens, restons médusés par le Radeau de la méduse, et ses marins contraints de se béqueter pour survivre, écoeurés par ces vieilles histoires de marché africain où le cuisseau d'homme se négociait à l'étal.
    Nos journaux s'affolent lorsqu'un Japonais déguste le foie de son ex-petite amie ou lorsque, comme hier, à Miami, un Américain sous l'emprise de drogue dévore le visage d'un homme avant d'être abattu par la police... Au risque de confondre psychopathes et VRAIS mangeurs d'hommes. Ceux qui ne se posent pas la question de savoir si la chair humaine est bonne ou pas. Grand-père en mangeait, c'est comme ça.
    Pour aborder l'anthropophagie, « il faut évacuer la fascination, le rejet, avoir de la méthode », assure notre anthropologue. Lui-même ne s'y est intéressé que tard, lors d'un voyage en Centrafique, en 1985. « Avec mépris, dédain, les Européens expatriés là-bas ne parlaient que de ça ! » Lui qui ne voyait pas matière à une recherche sérieuse a plongé. Et ses amis ne l'ont quasiment pas vu entre 1990 et 2000. Il a ingurgité toutes les connaissances disponibles sur le cannibalisme... Miam.
    « Cannibale est le premier mot qui a traversé l'Atlantique », nous apprend-il ainsi. La faute à Christophe Colomb. Notre grand découvreur n'a pas eu de chance. Il a posé le pied sur la mauvaise terre et elle était occupée par les voraces carib ou canib selon les traductions. Le vieux monde frissonne.

    Les voyageurs en rajoutent

    Cette re-découverte du cannibalisme (qui avait été banni par la civilisation grecque) coïncide avec l'invention de l'imprimerie. Elle permet l'incroyable succès de Nus, féroces et anthropophages, le récit de Hans Staden (1525-1576), arquebusier allemand capturé par les tupi-guaranis, fameux mangeurs d'hommes du Brésil. Les superbes gravures de Théodore de Bry font frémir dans les chaumières. On invente des histoires d'ogres.
    Ces XVIe-XVIIe siècles enthousiasment Georges Guille-Escuret. À cause « de la qualité d'observation des Jésuites ». Ils notaient tout scrupuleusement, pour un compte-rendu neutre au roi et au pape. « L'idéologie chrétienne n'était pas préparée à raconter ça », estime le chercheur qui accorde moins de crédit aux baroudeurs du XIXe siècle. « Ils avaient un code d'interprétation, des idées sur le féroce barbare et le bon sauvage. » Alors les voyageurs en rajoutent, pimentent leur récit pour les lecteurs des débuts de la presse.
    C'est l'époque de l'explorateur Stanley, qui arrive en Afrique accueilli par ce cri des autochtones resté célèbre : « De la viande, de la viande ! » Démêler le vrai du faux ? « Il y a eu des combats épiques au sein des chercheurs de la société d'anthropologie de Paris, à la fin du XIXe siècle », résume leur « descendant ». Puis silence radio. Plus rien de sérieux sur le sujet de 1914 à 1970. Il faut dire que la civilisation occidentale a dû digérer la grande boucherie de la Première Guerre mondiale, la Shoah, Hiroshima... Pas vraiment de quoi donner des leçons d'humanité...
    Soudain plus très sûrs d'appartenir à une société « supérieure », des chercheurs sont tombés dans l'excès inverse. Ils ont voulu réhabiliter les peuples dits premiers. « L'Américain Williams Arens a, par exemple, réinterprété les témoignages pour prouver que le cannibalisme n'a jamais existé. » Ce qui est faux, bien sûr. « On ne doit se poser ni en procureur ni en avocat de la défense du cannibale. »
    Dans la gigantesque étude - en Afrique, en Amérique et en Océanie - de Georges Guille-Escuret, retenons ces grandes lignes. Les cannibales n'étaient pas « sadiques ». Ils mangeaient, c'est tout. Ce n'est pas le fait de mâcher son semblable qui est violent, mais de le tuer. Le cannibalisme « n'était pas alimentaire », sinon les tribus auraient inventé l'élevage d'hommes. Il se pratiquait après un raid guerrier, « des périodes de stress social ». Le cannibalisme était aussi rituel. On mangeait ses morts ou ses malades, pour s'approprier leur corps.
    Georges Guille-Escuret nous avait conseillé d'y aller mollo, dans la rédaction de cet article, sur les jeux de mots culinaires et les images de Blancs bouillis dans la marmite. Contrat rempli. Pour se faire peur, il suffit de savoir que nous (les Français) sommes « déjà considérés comme des cannibales de deuxième type ». On mange des animaux qui vivent près de nous. Est-ce que cela se fera encore longtemps ? Des pays ont déjà accordé des droits de l'homme aux grands singes...
    Christelle GUIBERT.
    À lire. Les mangeurs d'autres (Cahiers de l'homme) et Sociologie comparée du cannibalisme (Puf). Du cannibalisme de haut niveau !


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  • Philippe Bilger

    On s’interroge gravement : La radio en fait-elle trop ? Comme si la réponse n’était pas évidente. Comme si, de plus en plus, sexe, insultes, gros mots, vulgarités, salacités et inélégances ne prospéraient pas dans l’univers médiatique, notamment, en effet, à la radio.

    Devant ce constat irréfutable - il suffit d’être attentif au langage et de l’entendre quotidiennement souillé par ceux qui au contraire devraient se faire un honneur de le cultiver le mieux possible -, les réactions négatives, quasiment outragées n’ont pas manqué. La plus significative est celle d’Yves Bigot qui, responsable des programmes de RTL, défend la verdeur des mots et profère cette justification aussi péremptoire qu’elle est discutable, "à l’antenne, on parle vrai". Je peux le rassurer ou l’inquiéter : à "On refait le monde", sur RTL, si on essaie de parler vrai, on échappe pourtant au pire ! À suivre son propos à la lettre, "le parler vrai" imposerait la dégradation des mots, la dénaturation du langage, l’abaissement du vocabulaire et l’utilisation systématique de ce qui, dans une société normalement constituée et civilisée, est perçu comme des provocations et grossièretés. Il conviendrait donc de multiplier ces effets sales de style, cette indécente course à la trivialité, pour demeurer nuancé. Le ciblage obsessionnel de certains attributs sexuels serait, par exemple, indispensable à la radio ou à la télévision parce que cette dernière n’est évidemment pas épargnée.
    Regardons par exemple Laurent Ruquier s’esbaubir des quelques gros mots, dont la tonalité apparemment le stimule puisqu’elle est toujours la même et qui parsèment un langage dont il est le premier à rire. Pourquoi se priverait-il puisque la claque présente applaudit mécaniquement ce qui lui paraît représenter le comble du bon goût et qu’elle adhère au bas, faute de se voir haussée et donc honorée ? On ne parle pas vrai quand on parle ainsi. On parle sale. La verdeur, la vigueur des mots n’ont rien à voir avec précisément cette méconnaissance des mots, de ce qu’ils portent de plus rare, de plus fin ou de plus direct en eux. On tente de nous faire accroire que l’alternative n’existerait qu’entre un réalisme répugnant ou une préciosité ridicule. Heureusement il y a tout le reste qui couvre un immense espace : celui du langage simple, celui de l’oralité familière, celui des mots respectés. Faudra-t-il supporter encore longtemps cette descente vers la mutilation, le vulgaire et l’inepte ? Cette incoercible volonté, à chaque fois qu’un choix se présente, de privilégier le cru et l’audacieux de pacotille ?
    Pourquoi cette propension ? Sans doute parce que ces présentateurs, animateurs, comiques ou histrions ont toujours considéré, faute de culture et d’amplitude intellectuelle, que l’impudence, l’irrévérence, la contestation, la dérision et la révolte passaient nécessairement par la puanteur du langage alors que l’inverse est vrai : le fond est d’autant plus troublant et décapant que la forme qui le transmet est belle ou au moins acceptable. Le problème n’est évidemment pas de mettre en place "une quelconque censure qui serait en effet dérisoire". Il consiste à apprendre à parler correctement à ceux qui à la télévision et à la radio se doivent d’être des modèles parce que regardés et écoutés ils n’ont pas le droit à l’erreur, ils ont une obligation d’excellence et d’allure. Si leur vocabulaire est restreint et leur langage fasciné par le nauséabond, qu’ils changent de métier. Surtout, qu’on ne nous serine pas cette antienne selon laquelle on aurait du mal à distinguer ce qui est sale ou propre, vulgaire ou non. Dans cet exercice quotidien, notamment à la radio, on perçoit ce qu’on entend et on sait ce qu’on dit.

    On ne doit pas s’y tromper. Dans cette insupportable dérive, pas trace d’un quelconque progressisme ni du moindre défi. Au contraire, la banalisation réside dans ce naturel qui ne se surveille plus, dans cette abjection si fréquente, si régulière qu’elle ne nous touche plus, ou trop peu. Pourtant ces mots sales sont comme des ordures qu’on nous jette aux oreilles, dans l’esprit.

    philippebilger.com
    Altermonde sans frontières


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  • Caleb Irri

    La partie qui se joue actuellement en Europe est digne de figurer dans les annales du poker, et le coup de la Grèce semble être la carte-maîtresse qui donnera au « vainqueur » d’après ce grand coup de bluff un sérieux avantage pour la suite du jeu. En effet avec la rumeur concernant les travaux de l’Eurogroupe sur une sortie possible de la Grèce de la Zone Euro et la tenue d’une réunion « informelle » des dirigeants européens, les marchés espèrent à travers ce « coup de poker » faire « se coucher » son adversaire, la démocratie.

      Car il ne s’agit pas seulement de la Grèce. Après ce coup, s’ils le gagnent, ils montreront clairement au reste de l’Europe (ainsi qu’à leurs dirigeants) que le choix des urnes n’a de valeur que s’il correspond à leurs attentes, et que par conséquent il est possible de contraindre un pays soi-disant souverain à accepter des directives que le peuple refuse pourtant. Et les marchés ont tout misé sur la Grèce, « tapis ». Cela signifie aussi qu’ils risquent gros. En exigeant de la part du peuple grec des sacrifices qui, s’il les refuse, est menacé de se faire « sortir de l’Euro » (alors qu’aucune loi ne le contraint, il faut que cela se sache !), les marchés parient en réalité sur les résultats des législatives grecques ; en espérant que cette menace suffise à dissuader les citoyens grecs de se choisir des dirigeants rétifs.
    Mais pour le moment rien n’est certain. Sauf que si les Grecs se couchent, alors il est fort possible que tous les autres se couchent à sa suite. Et les marchés comptent bien jouer sur la peur du chaos qu’engendrerait une Grèce qui refuserait et de payer et de sortir pour lui faire perdre l’envie de se choisir une « autre » Europe. Pourtant, s’ils veulent éviter de laisser les banquiers trop exposés dans l’embarras, les marchés se doivent de conserver l’Europe unie. S’ils veulent imposer à ses peuples une cure d’austérité drastique et supprimer les élections libres pour les remplacer par un gouvernement économique autoritaire directement choisi par le monde de la finance, ils n’ont aucun intérêt à laisser sortir leurs débiteurs hors des frontières qu’ils contrôlent. Ils ne le feront donc pas… Et si du coup les Grecs ne se couchaient pas ? Et si les élections législatives en Grèce étaient l’occasion de montrer à tous que l’austérité n’est pas une fatalité, aux marchés qu’ils ne peuvent pas tout ? Et si en France nous soutenions également (et le même jour !) cette idée non pas de la fin de l’Europe mais d’une autre Europe ?
    La plupart des Européens se sentent européens, et ne veulent tout simplement ni austérité ni ingérence extérieure, ni fermeture ni compromission, ni injustice ni corruption. Cette dette n’est pas la nôtre. Que les véritables responsables se ruinent s’ils le doivent mais nous ne paierons pas pour eux. Ils ont plus à perdre que nous d’ailleurs. Austérité et dictature ou effondrement de la bourse et liberté, qu’avons-nous peur de voir les financiers ruinés ? Il faudra bien un jour prendre le risque de détruire ce monde de la finance si l’on veut en construire un moins injuste… Pourquoi ne pas le faire maintenant, alors qu’il est encore temps ? Que les Grecs et les Français refusent un peu de se soumettre à ce bluff grossier, et alors nous pourrons enfin retourner les autres cartes, voir le jeu de chacun. Que l’on voit un peu qui, de la finance ou du peuple, à le plus besoin de l’autre pour prospérer…

    Le moment est historique, et les élections qui arrivent sont cruciales : nous avons le devoir de montrer aux autres peuples, aux Espagnols, aux Italiens, aux Portugais et à tous les autres, qu’une autre voie est possible. Et alors nous pourrons peut-être enfin rebattre les cartes. Ensemble. En Europe. Sans la dictature des marchés financiers. Tapis.

    calebirri.unblog.fr
    altermonde-sans-frontières


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