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À la manière de balayeurs flemmards, on a l’impression que les patrons ont profité de la présidentielle pour camoufler les plans sociaux sous le tapis. Plans sociaux, ou plutôt asociaux, qu’ils ressortent bien évidemment aujourd’hui.
Ce qui en dit long sur l’hypocrisie de nos mœurs économico-politiques. C’est bien pour cela que l’économiste Jacques Généreux n’a peut-être pas fondamentalement tort quand il réclame que l’on rétablisse les autorisations administratives de licenciements.
De même que l’on a aboli un jour le Code Noir qui faisait des esclaves des « meubles », ne serait-il pas temps de revoir le Droit du travail actuel qui fait que les ouvriers ne sont jamais que des variables d’ajustement, autrement dit des Kleenex ?
Bruno Testa
lunion.presse.fr
Altermonde-sans-frontières
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Faire un pas vers le bonheur ?
Il suffit de se contenter de ce qu'on a et d'oublier ce qu'on voudrait !
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Faire des carillons avec cuillères accrochées à un objet usuel assez lourd. Pour attacher ls cuillères utiliser des chaînettes ou du fil à pêche ... Ecoutez ...
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Déesse de la fertilité (Yakshi)
Au Musée des Beaux-Arts, Boston.
Nord de l'Inde, deuxième au troisième trimestre de 1er siècle après JC
Yakshis et leurs homologues masculins, yakshas, sont des esprits de la nature semi-divins vénérés pour porter chance, richesse, et autres bénédictions telles que la naissance des enfants. Ils ont été adorés dans l'Inde avant le développement du bouddhisme et ont été placés sur les monuments bouddhistes au début pour attirer la fortune et de nombreux convertis à la nouvelle religion. Le corps mûr yakshi est la féminité sans bornes l'accent sur son rôle en tant que source de fertilité.
Cette statue faisait autrefois partie d'un support sur l'une des quatre grandes portes de la rampe monumentale entourant le grand stupa de Sanchi. A l'origine, elle avait un bras vers le haut pour saisir la branche d'un arbre fruitier
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Jamais dans la salle
Belle et colossale
De lustres éteints,
Car dans nos demeures,
tandis que tu pleures,
Les jours et les heures
Sont tout aux festins !
Une longue danse
Entoure en cadence
L'éternel repas.
La danseuse penche
Doucement sa hanche,
Et sa robe blanche
S'ouvre à chaque pas !
Les foules ravies
Aux tables servies
Des plus riches mets,
Parmi la paresse
Où l'amour les presse,Goûtent une ivresseQui ne meurt jamais !
Théodore de Banville
Extrait
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La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.
Paul Eluard
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Les coeurs, comme les portes, peuvent s'ouvrir aisément avec de très, très petites clés; et n'oubliez pas que ce sont celles-ci: «Je vous remercie, Monsieur!» et «S'il vous plaît!».
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J'aime
Assis sur le pont
Avec vous à regarder
Les rideaux en dentelle florale
Capter la lumière du soleil
Puis la dessiner sur mes jambes
J'aime
Comme vous devenez presque
hypnotisé
Par les fleurs de soleil qui dansent
Sur mes jambes
Au rythme de la brise sur les rideauxJ'aime
Comment vous essayez d'atteindre
Dans une tentative pour attraper
Les fleurs mêmes
Qui vous ont tant amusé
J'aime
Comme votre main est froide
Contre ma peau nue
Et comment les invisibles
Serpents de vos doigts remontent
jusqu'à trouver ma culotteJ'aime
Comment l'histoire
se termine généralement
Souvent avec un éclat de rire
(ou deux)
De l'un de nous (ou les deux!)
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«Avant, que nos frères blancs n'arrivent à faire de nous des hommes civilisés, nous n'avions pas toute sorte de prisons. Pour cette raison, nous n'avons eu aucun délinquant. Sans prison, il ne peut y avoir aucun délinquant. Nous n'avions aucune serrure ni clés et donc parmi nous il n'y avait pas de voleurs. Quand il était si pauvre qu'il ne pouvait pas se permettre un cheval, une tente ou une couverture, il recevait, en ce cas, tout cela en cadeau. Nous étions trop civilisés pour donner une grande importance à la propriété privée. Nous ne connaissions pas l'argent et, par conséquent, la valeur d'un être humain n'était pas déterminée par sa richesse. Nous n'avions pas de lois écrites, pas d'avocats, pas de politiciens, donc nous n'étions pas en mesure de tricher et d'escroquer une autre personne. Nous étions vraiment en "mauvais état" quand les hommes blancs sont arrivés, et je ne sais pas comment vous expliquer comment nous avons pu gérer, sans ces choses fondamentales qui (afin qu'ils nous disent) sont si nécessaires pour une société civilisée. »- John (Fire) Lame Deer, Sioux Lakota 1903-1976.
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J'ai fait la découverte la plus importante de ma vie.
C'est seulement dans l'équation mystérieuse de l'amour
que toutes les raisons logiques peuvent être trouvées.
Je ne suis pas ici ce soir à cause de vous.
Vous êtes ma seule raison d'être.
Vous êtes tous les motifs pour que je sois ici.
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