• Je découvre, ce matin, sur le journal, un mot inconnu ... Greeter.
    Le greeter est une personne bénévole, qui connait bien sa région, sa ville, son village et qui propose, à son rythme, de faire visiter à des touristes, ce qu'il aime et ce qu'il connait de manière particulière.
    Je pourrais faire greeter pour Ratiatum ma ville gallo-romaine et plus particulièrement pour le port de Trentemoult ...
    Au menu, restaurant sympa sur le quai, puis visite des ruelles colorées et chaleureuses ...
    Je vous attends ...

    trentemoult-photos-plus-colorees_436402.jpg


    votre commentaire
  • Par Gérard Charollois

    Parmi les faux débats promus par les tenants de l’humain espèce élue, se pose la stupide question du « Propre de l’homme ». Les penseurs traditionalistes, dans une quête puérile de cette frontière, cette rupture irréductible au sein du vivant, invoquèrent le culte des morts, la capacité d’esthétiser le monde par l’art, l’empathie, le libre arbitre. Au fur et à mesure où l’anatomie, la physiologie, puis l’éthologie, la génétique, la paléontologie, révélaient des similitudes et concordances contrariant les certitudes des « révélations », les anthropocentristes reculaient les remparts abritant leur dogme : « l’homme n’est pas un animal ». Or, à l’évidence, l’humain est un animal et tout scientifique contemporain doit en convenir.

    Désormais, la chose est entendue et il fallait déplacer la frontière. « Animal ! Oui, mais pas comme les autres ». Y aurait-il donc des animaux « comme les autres » ? Le penseur anthropocentriste admet que l’homme est un mammifère vertébré, issu d’une branche des anthropoïdes, avec un ancêtre commun datant de six millions d’années, tout en ajoutant que son adversaire idéologique, le biocentriste nierait l’existence d’un « propre de l’homme ». Nos détracteurs allument un fumigène en opposant leur dualisme à notre prétendu monisme. Pour eux, les défenseurs de l’unité du vivant récuseraient la spécificité humaine. Je ne participe pas de ce faux débat et écarte ce piège stupide. J’affirme qu’il y a en effet un « propre de l’homme », tenant à l’indéniable supériorité cognitive de cette espèce.
    Les performances neuronales de l’espèce humaine l’élèvent au-dessus, dans ce domaine, des capacités de toutes les autres espèces, y compris de celles des grands singes anthropoïdes avec lesquels elle partage 98 % des gènes. Si la faculté d’abstraction, la possibilité de transmettre un savoir de générations en générations en accroissant ainsi le socle des connaissances, la maîtrise sur la matière distinguent l’homme des autres animaux, chaque espèce présente des spécificités adaptatives remarquables la rendant supérieure aux autres dans tel ou tel exercice vital. Il y a bien un « propre de l’homme », mais il y a tout autant un propre du loup, du balbuzard pêcheur, de la sterne arctique. L’humain domine la planète grâce à son cortex. Et après ?
    Cela lui confère des droits, notamment de se défendre et d’assurer son bien-être, mais lui impose aussi des devoirs inhérents à la maîtrise qu’il acquiert. Puisque la vie est diverse, puisque les autres individus d’autres espèces sont capables de souffrir, l’éthique biocentriste, nullement négatrice du « Propre de l’homme » exige le respect de la nature et du vivant. Car, si les espèces sont inégales dans leurs aptitudes à voler, courir, sauter, nager ou élaborer des concepts et des outils, elles sont en revanche égales face à la souffrance. Cette égalité indéniable justifie le biocentrisme. C’est sur ce terrain que gît le débat éthique entre ceux qui torturent l’animal au nom des traditions et des intérêts et ceux qui condamnent la chasse loisir et les spectacles cruels.
    Le formatage des esprits par les vieilles idéologies irrationnelles conduit l’homme contemporain à perpétrer des crimes honteux à l’encontre des êtres vivants, sans que la lueur de conscience et de compassion ne l’effleure. « Les sangliers prolifèrent », « les mustélidés boivent le sang de leurs proies », « les pigeons des villes ne sont que des rats volants propageant des maladies », « le gibier doit être régulé », « le taureau aime le combat dans l’arène », « le porc est lubrique et sale », « Les défenseurs des animaux sont des extrémistes potentiellement terroristes ». Telles sont les inepties, les indécences inculquées au troupeau bêlant de « l’espèce élue » !

    Nos détracteurs, incapables de répondre aux objections morales que nous leur posons, s’abritent derrière la censure et la calomnie, l’énorme imposture, ce que firent d’ailleurs, dans le passé, toutes les idéologies criminelles. Mais, inlassablement, nous leur lancerons ce défi éthique : Qu’est-ce qui vous autorise à être tortionnaires d’autres êtres sensibles ?

    Gérard Charollois

    ecologie-radicale.org
    Altermonde-sans-frontières

     

    votre commentaire
  • « Comme des aveugles vous roulez sans direction,
    vous quittez la bonne route pour en prendre une autre ;
    vous cherchez le bonheur et la félicité où ils ne sont pas.
    Pourquoi les cherchez vous ailleurs qu'en vous-mêmes ?
     »

    bouddha


    votre commentaire
  • Lorsque j'étais enfant, nous avions un grand poulailler avec des poules de toutes les couleurs. Il y avait des pigeons dans le poulailler aussi. A côté les clapiers des lapins, construits en L pour les protéger des vents d'ouest donc de la pluie.
    Si vous êtes une poule en 2012, vous avez la possibilité d'habiter dans un vaste choix de poulaillers, plus originaux les uns que les autres. En voici quelques-uns :

     

     

     


    Si j'étais une poulette, j'opterais pour la version en bois gris foncé à palier multiples créée par le designer Frederik Roijé, avec grande fenêtre sur le côté, question de pouvoir couver tranquillement tout en guettant le renard ou la belette...

     

     



    Le modèle Nogg est quant à lui un mini poulailler, très épuré que l'on place dans son jardin pour y abriter de 2 à 4 petites pondeuses. Fait de cèdre et d'acier inoxydable, il possède une fenêtre au plafond, pour pouvoir couver sous les étoiles...


     



     

     

     

    Et enfin, je découvre l'univers très amusant et plein d'idées de Pousse Créative. Cette entreprise de Ch'tis propose des cabanes design et ludiques pour nos animaux et nos ...plantes "de compagnie".


    votre commentaire
  • Quand mon petit teppaz valise est arrivé dans ma vie ... quel bonheur ... à moi les 33 et 45 tours ... je l'écoutais toute la journée, je l'emmenais chez les copains, nous dansions à la volée ...
    Ma passion Harry Bellafonte et le flamenco ... mes parents devaient me maudire parfois ...
    C'était d'une grande modernité ... maintenant j'ai mon ordi et deezer, qui fait mon bonheur ...

    J'ai découvert un  mange disque .... classe .. je vous le présente ...

    vinyle.jpg

     


    votre commentaire
  • libre-copie-1.jpg

    Prenez du soleil
    Dans le creux des mains,
    Un peu de soleil
    Et partez au loin !

    Partez dans le vent,
    Suivez votre rêve;
    Partez à l'instant,
    la jeunesse est brève !

    Il est des chemins
    Inconnus des hommes,
    Il est des chemins
    Si aériens !

    Ne regrettez pas
    Ce que vous quittez.
    Regardez, là-bas,
    L'horizon briller.

    Loin, toujours plus loin,
    Partez en chantant !
    Le monde appartient
    A ceux qui n'ont rien.
    Maurice Careme


    votre commentaire
  • pablo.jpg

    Je sollicite votre bouche, votre voix, vos cheveux.
    Silencieux et affamé, je rôde à travers les rues.
    Le pain ne me nourrit pasl'aube me perturbe, toute la journée
    Je chasse pour la mesure liquide de vos pas.

    J'ai faim de vous, de votre rire élégant,
    De vos mains, couleur d'une récolte sauvage,
    J'ai faim de la pierre pâle de vos ongles,
    Je veux manger votre peau comme une amande entière.

    Je veux manger le rayon de soleil qui caresse votre beau corps,
    Le nez souverain de votre visage arrogant,
    Je veux manger l'ombre fugace de vos cils,

    Rythmer ma vie autour de ma faim de vous , flairant le crépuscule,
    La chasse après vous, pour votre cœur chaud,
    Comme un puma dans les landes de Quitratue.
    Pablo Neruda




    votre commentaire
  • rose.jpg

    J'étais une fleur de montagne.
    Quand j'ai mis
    la rose dans mes cheveux, comme font les filles andalouses. une rose-rose comme il se doit ...
    Quand il m'a embrassée sous le mur mauresque, je pensais à lui comme à un autre ...
    puis il m'a demandé ma fleur de montagne
    et j'ai mis mes bras autour de lui et je l'ai pressé contre moi afin qu'il puisse sentir mes seins et tous les parfums de mon corps
    et son cœur allait comme un fou et je lui ai dit oui ... je le ferai ... Oui.


    votre commentaire
  • Nous voyons souvent en Inde ce symbole qui nous rappelle la croix gammée des nazis et qui est un symbole religieux de l’hindouisme. Quelques explications sur l’origine et la signification de ce symbole que l’on nomme le svastika.

      Le svastika (parfois appelé par abus de langage la svastika au lieu de la croix en forme de svastika) 卐 ou 卍 tel qu'on le représente la plupart du temps, est un symbole religieux d'origine aryenne et indo-européenne. On peut le décrire comme une croix composée de quatre potences prenant la forme d'un gamma grec en capitale (Γ), d'où son autre appellation de croix gammée.

     

    svastika-copie-1.jpg

     

     


    votre commentaire
  • L' AquaDom, inauguré en décembre 2003, se trouve dans le hall d'entrée de l'hôtel Radisson à Berlin.
    Il s'agit du plus grand aquarium du monde intégré à un hôtel et incluant un récif de corail. Constitué d'un gigantesque cylindre de cristal transparent de 25 mètres de haut, il domine de son imposant volume tout l'intérieur de l'immeuble et abrite 2500 poissons tropicaux qui nagent dans un million de litres d'eau salée. Il est possible d'accéder à la partie supérieure grâce à un ascenseur installé au centre du cylindre.
    Imaginez un monde où l'homme a tout détruit, où on a fait construire dans les villes des aquariums géants pour conserver un peu de faune aquatique, des serres géantes pour conserver la flore ... la terre ne sera plus qu'une *zone* humaine, enfin, je voulais dire inhumaine ...
    aquadom-largest-cylindrical-aquarium-01.jpg


    votre commentaire