• Heide Presse est mariée et vit en Floride

    «Quand les gens voient mon travail, je voudrais qu'ils se rappellent les bénédictions que
    Dieu nous a données. Qu'il s'agisse d'un paysage à couper le souffle, ou un enfant tenant une
    simple fleur ... nous devrions ralentir et prendre connaissance de notre environnement
    et apprécier les petits moments de notre vie, parce qu'ils passent trop vite. "
    C'est très américain ...

     

     

     

     

     


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  • Vitaly Grafov est un artiste russe, né en 1977 à Yamala Penza, en Russie.
    En 1994, Il entre au Collège d'Art de Penza. K.A.Savitskogo pour la peinture département.
    Il est diplômé avec les honneurs en 1999.
     2000. Entra à l'Académie russe de peinture, sculpture et architecture.

     

     

     

     


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  • Arnaque .... arnaque ... mais les gens sont si crédules (je reste polie !) que ça ?
    La S.P.A. alerte. Elle reçoit de plus en plus de témoignages sur des arnaques sur internet.

    La photo du chiot est craquante, il a quelques mois, il est vacciné, les maîtres sont très sympas mais ils habitent dans un pays où l'animal sera malheureux, ils le donnent.
    Mais il est à l'étranger ...
    Donc il faut payer les frais du voyage ... ou les frais de douane ...
    Mais bon sang vous voulez un chien pour la frime ou pour rendre un animal heureux ?
    La S.P.A. déborde, les refuges sont pleins de tous les abandons d'été.
    Au lieu d'être crétins, soyez humains dans le beau sens du terme !

    berger-allemand.jpg


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  • Par Gérard Charollois

    Les faits qualifiés de « divers » par la presse qui ressassent les uns et ignorent les autres, révèlent par-delà l’écume de l’actualité le fond d’une société.

    En ce mois d’août, nous apprenons :
    - Qu’un étang naturel, préservé, voué à la sauvegarde de la flore et de la faune, dans le département du Gers a été vandalisé. Durant la nuit, des malfaisants ont vidangé l’eau du lac et saboté le système d’évacuation des eaux pour compromettre la restauration rapide des lieux. Sans revendiquer leurs actes délictueux, ces voyous laissèrent cette signature : « de l’eau pour les tortues, pas pour les maïs ».
    - Que dans le parc national du Mercantour, un éleveur de mouton agressa violemment deux agents publics venus, sur sa demande, constater des dégâts sur son troupeau imputés à des canidés.

    De tels agissements sournois, brutaux, révélateur d’une mentalité violente, sont fréquents en milieu rural. Incendies d’installations naturalistes en Brière, milliers d’euros de dégâts de mobilier urbain à Valenciennes lors d’une manifestation de chasseurs, dégradations de mairies. Des communes de Haute-Garonne ayant accepté les réintroductions d’ours, saccage des bureaux d’une ministre de l’environnement, meurtre par un exploitant agricole chasseur de Dordogne de deux inspecteurs du travail et de la mutualité sociale agricole venus le contrôler et la liste pourrait être infinie. Il faut dire que pendant longtemps le voyou des champs pouvait, en toute impunité, lors d’une manifestation, peindre en blanc un commissaire de police, dévaster les locaux d’une préfecture, détruire des biens publics ou privés sans redouter les foudres de la loi.

    Les gouvernants et leurs relais ne virent longtemps dans ces démonstrations clastiques que la colère de leur électorat de base qu’il eut été imprudent de soumettre aux lois communes réprimant les délits lorsqu’ils étaient commis par d’autres. Avec l’évolution sociologique, une diminution du poids électoral du voyou des champs, ce privilège d’immunité s’estompe sans toutefois disparaître comme le prouvent la quasi-impunité dont bénéficient les tueurs d’ours et de loups et l’absence d’élucidation policière du vandalisme des ennemis de la terre. Bref, notifions à l’État : « en progrès mais peut mieux faire ».

    Je me souviens de la lâcheté de naguère des successifs ministres de l’intérieur et de leurs représentants locaux face aux braconniers des tourterelles des bois, en mai, en Gironde, durant près de vingt ans. Ces politiciens étaient persuadés que faire appliquer la loi prohibant la chasse mettrait le Médoc en révolution. Les faits démentirent cette frilosité des autorités qui renouvellent l’excès de faiblesse face à quelques lobbies tapageurs hostiles à la création d’une réserve naturelle ou à une réglementation de parc national digne de ce nom ou à une protection effective des grands prédateurs, à une limitation du prélèvement d’eau dans les rivières.

    Présentement s’affrontent deux approches incompatibles du vivant. Pour nous, écologistes animalistes, la nature mérite mieux qu’une exploitation et l’animal n’est pas une marchandise, une chose. Pour les tenants des traditions, la nature est un espace de production et un terrain de jeux et l’animal vaut selon son cours au Marché. Il est utile à l’homme ou nuisible mais n’est pas perçu comme un être sensible digne de respect. À ces deux approches idéologiques irréductiblement inconciliables, correspondent des comportements opposés.

    Face aux remises en cause de leurs certitudes ancestrales et parfois de leurs petits intérêts financiers, les négationistes des droits du vivant réagissent avec violence, agressivité physique, alors que l’écologiste se placera sur le terrain des idées. Comme l’habitant des villes est la première victime des voyous urbains, l’habitant des campagnes souffre du climat de peur et d’intimidation que crée le voyou des champs. Car bien sûr, à la ville comme à la campagne, vivent des gens paisibles respectueux d’autrui et les agissements mafieux et fascisants ne sont imputables qu’à une minorité.

    À ce stade, deux constatations s’imposent :
    - La société est divisée (ce qui est légitime) et, le sachant nous devons , assumer clairement, loyalement, sereinement une confrontation d’idées.
    - Tout dialogue est vain entre ceux qui protègent et ceux qui détruisent.
    L’écoulement du temps et des générations tranchera le débat que la Convention-Vie-et-Nature développe sans ces fausses prudences qui enfument encore beaucoup trop les esprits.

    Gérard Charollois

    ecologie-radicale.org


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  • Cultiver ses légumes sur son balcon ou sa terrasse plutôt que d’aller les acheter au supermarché, c’est tendance et bon pour la santé, croit-on. Le citadin écolo se dit, que comme ça, au moins, il est sûr de ne pas avoir dans son assiette des tomates, des patates ou des salades plombées d’engrais chimiques et de pesticides.

    La « culture maraîchère en ville », ou « agriculture urbaine », comme on l’appelle, est en plein essor. Une mode unanimement saluée. À New York, les habitants qui reconvertissent le toit de leur immeuble en potager ont même droit à un abattement fiscal. On applaudirait des deux mains s’il n’y avait cette étude récemment publiée dans la revue scientifique « Environmental Pollution ». des chercheurs du département de botanique et d’écologie de l’université technique de Berlin ont analysé la composition de 28 potagers urbains plantés sur les toits dans la capitale allemande.

    Le résultat n’est pas piqué des vers. Les légumes sont fortement contaminés aux métaux lourds, au point que leur consommation peut présenter un risque significatif pour la santé, expliquent en substance les auteurs. La faute à la pollution auto. Moins l’immeuble est haut et plus le nombre de voiture qui roulent en bas est important, plus la récolte est polluée. Avec une prime pour les feuillus comme le cresson ou le chou. Les scientifiques ont poussé le vice jusqu’à comparer la contamination des légumes cultivés sur le toit à celle des mêmes vendus en grandes surfaces.

    Ce qui donne en moyenne des carottes avec 4,7 fois plus de plomb, 3,3 fois plus de cuivre, 3,2 fois plus de cadmium, du thym avec 3 fois plus de cuivre, les betteraves affichent 6,1 fois plus de zinc, 5,3 fois plus de plomb et 2,1 fois plus de cuivre, le basilic 4,4 fois plus de chrome et la tomate urbaine 11 fois plus de cadmium. Rien que pour le plomb, 52 % des échantillons cueillis sur les toits dépassent les limites fixées par l’Union Européenne.

    Et les chercheurs d’en conclure : « les bénéfices pour la santé des produits issus de l’horticulture urbaine sont contestables ». C’est pas de pot…

    Le Canard Enchaîné N° 4791 du 22 août 2012


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  • je suis le résultat
    d'une série de
    petites victoires
    et de grandes défaites
    et je suis aussi
    étonné
    que les autres
    de ce que
    J'ai acquis
    à partir de celà
    Charles Bukowski
    bouddha

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  • architecture.jpg

    Je trouve cette aquarelle si vraie pour des tas de choses dans notre vie à tiroirs.
    D'abord les habitations dans lesquelles la plupart des gens sont obligés de vivre, ce qu'on appelle des cages à lapins où chaque bruit est répercuté chez le voisin ... Ces tiroirs, ces catégories physiques ou professionnelles dans lesquelles nous sommes classés, répertoriés. Ces secrets derrière les portes closes.
    Les tiroirs de notre vie aussi, ces parties que nous partageons avec tous ou nos intimes. Nos jardins secrets ...
    Notre mémoire qui nous joue des tours, notre cerveau, ce merveilleux ordinateur, où chaque instant de notre vie est comme un minuscule tiroir, fermé à clé depuis longtemps et tout à coup un visage, une musique, une odeur et il s'ouvre et si ce  qu'il contient est bon cela nous fait pleurer de joie ou mauvais et là nous devons faire le nettoyage, le refermer comme nous l'avons ouvert ne servira à rien ... apaisons cet instant de notre histoire ...


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  • navire.jpg

    Mais des vaisseaux il en est plus,
    - Et j’en sais tant qui sont partis -
    Mais c’est mon testament ici,
    Que de vaisseaux il en est plus ;

    Et des vaisseaux voici les beaux
    Sur la mer, en robes de femmes,
    Allés suivant les oriflammes
    Au bout du ciel sombré dans l’eau,

    Et de vaisseaux tant sur les eaux
    La mer semble un pays en toile,
    Mes pauvres yeux allez en eaux,
    Il en est plus qu’il n’est d’étoiles.

    Max Elskamp,

     


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  • folie.jpg

    La lumière est plus importante que la lanterne
      Un poème de Décembre est plus important que le bloc-notes,
    Et le baiser de Décembre plus important que les lèvres.
    Mes lettres à vous
    Sont de plus en plus importantes
    Plus que nous deux.
    Ils sont les seuls documents
    les gens vont découvrir
    votre beauté
    Et ma folie.
    Nizar Qabbani

     

     


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  • unique-copie-1.jpg

    Je ne ressemble pas à vos autres amants, ma dame
    Si l'un vous donne un nuage
    Je vous donne la pluie
    Faut-il vous donner une lanterne ?
    je vous donnera la lune
    Faut-il vous donner une branche ?
    Je vous donnerai les arbres
    Et si un autre vous donne un navire
    Je vous donnerai le voyage.
    Nizar Qabbani

     


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