• Chaleur, lourdeur plutôt, orages ...
    C'est  votre propre vie
    que vous devez chérir.
    Comme on amène la touffe duveteuse
    d'un pissenlit devant les lèvres,
    pour souffler doucement,
    comme on prie.
    Gardez, seulement le souvenir
    D'une vie bien vécue,
    D'une vie bien aimée,
    nourrie et bénie
    par les soleils et les sols.

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  • gorge.jpg

    Je ferme les yeux
    et me repaîs de votre peau chaude
    à la base de votre gorge.
    Qui que ce soit qui parle
    notre dialogue interne
    tombe dans le silence.

    Mais je sais que le moment est proche
    de nous regarder dans l'ombre,
    Votre pantalon défait,
    Votre souffle devenant dur, vos lèvres
    analysent silencieusement les mots humides
    Je suppose que votre chair ...
    Peregrine


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  • Le grillage cage à poule était déjà devenu tendance dans la déco d’une cuisine familiale et champêtre. Mais là, la designer slovaque  Silvia Bardova va plus loin en décidant de faire entrer les poulaillers dans la maison. Redesigné pour l’occasion, elle reprend bien sûr le grillage géométrique qui fait tout le charme de ces meubles, les casiers à fenêtres et même une petite échelle. Cute !
    Ah ! si j'avais connu Silvia quand je me suis trouvée à élever un pigeon ramier dans ma cuisine, j'aurais sans doute eu moins de saletés ... faut-il élever un coqu aussi dans sa cuisine ? Bravo pour le réveil en fanfare !

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  • Sur les priorités de notre monde ...
    Je me souviens d'une émission sur les dérives des subventions européennes. Un homme du nord, qui habitait une île perdue, avec peu d'habitants, aimait le ski. Il avait donc demandé une subvention europénenne pour aménager une piste de ski sur son île ... aussi simple que ça.
    Là c'est un peu pareil ..... Vous êtes une bande surfeurs qui habitez l'hiver dans une région éloignée de la mer. La vague vous manque ? qu'à cela ne tienne ... vous faites construire par votre municipalité un bassin de surf ... et hop, à vous la vague continue au coeur de vos montagnes lol

     


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  • L'homme a toujours tenté de gagner sur la nature. Il a gagné sur la mer, en Hollande, à Nice, à Monaco, à Dubaï ... maintentant il veut carrément nous faire vivre sur l'eau ... ce sont des projets ridicules dans la mesure où il ne fait plus rien pour sauvegarder sa qualité de vie, je dirais même sa survie.
    "La planète se réchauffe, ce qui cause la fonte des glaciers et des calottes glaciaires et les niveaux de la mer sont en hausse partout  sur la Terre. Comme l'océan fera des incursions au cours du prochain siècle, les personnes vivant dans les zones basses seront déplacées, il faut donc imaginer une nouvelle façon de se loger . Ne laissez pas les souvenirs de "Waterworld" vous dissuader de vérifier ces nouveaux logements marins innovants. Vous avez toujours voulu vivre au bord de la mer ? ces idées sont pour vous !"

    pad.jpg


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  • cils.png

    Baisers sur cils de velours,
    Des promesses tacites
    Indélébiles écrites sur ​​les couvercles de fumée.
    La course de boucles d'ébène,
    Comme des fils de soie fine,
    Tisse des liens équivoques
    Autour de son cœur.
    Reflèts dans ses yeux "ombre"
    C'est une âme qui reflète la sienne.
    Une flamme jumelle enflammée,
    Une brûlure perpétuelle
    Grâce à des jours et des nuits.
    Chaque moment évanescent
    Respiré la nouveauté.
    Organismes passionnés chaque nuit
    Se réveillent
    Âmes soeurs,
    En elle, il était venu à la maison.
    Nirvani Teasley 2013


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  • J' ai vu le dernier des Mohicans faire la manche place Clichy.
     Il m'a dit tout doucement :  "mon ami tu marches sur la tête , même si ton sort parait enviable.
    Est-ce que l'esprit de tes ancêtres passe dans ton téléphone portable ?"

    Et j'ai gravi cette colline.  J'ai contemplé l'horizon, à l'heure ou le soleil décline
    Et j'ai compté les bisons.  J'en tuerai quatre avant la nuit , ca suffira pour la saison.
    Puis je rangerai mon fusil et les autres grandiront.
     J'ai vu le dernier des Apaches , il se fichait éperduement où etait enterrée sa hache.
    Il m'a dit tout simplement : "mon ami cette terre est la tienne , sans titre de propriété , mais garde quelques graines , de ce que tu as déjà recolté"
    Et j'ai traversé cette plaine.
    Le vent m'a soufflé sa chanson.
    Le sang qui coule dans tes veines , c' est le même que celui des bisons.
     J'attendrai la fin de l hiver et je quitterai la maison,
    comme j'ai toujours vu faire mon pére et je compterai les bisons
    Je gravirai cette colline.  Je contemplerai l'horizon , à l'heure ou le soleil décline
    et je compterai les bisons 

    En paix jusqu'à l'année prochaine, mes fils m'accompagneront , pour compter les bisons, mes fils m'accompagneront , pour compter les bisons
    Erable
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  • Au nord-ouest du Bénin et dans sa partie frontalière avec le Togo se trouve le berceau de la culture Bètãmmaribè. Le village de Kounadougou  situé à seulement 3 kilomètres de la route principale de Boukoumbé est encore un des rares endroits du Bénin où la civilisation Bètãmmaribè est aussi forte.
    Des constructions singulières y incarnent un héritage vivace et l’équipe de Sur les Docks a emprunté la piste rouge pour découvrir un habitat unique en Afrique.
    Au détour d’une colline, irrégulièrement dispersées dans le paysage, s’élèvent des maisons à étage: ces maisons que l’on appelle les  Tatas Somba sont faites de formes rondes et rectangulaires, avec un toit de chaume surmonté d’un canari qui recueille l’eau de pluie. Les Tatas servent à la fois de logement à la famille, d’abri pour les animaux domestiques et sauvages.
    Seuls les guérisseurs, les vieux et les enfants restent au village toute l’année pendant que les générations en âge de travailler s’exilent dans les villages voisins. Sous l’autorité du grand maître, le village a su conserver sa forte identité. Intégrant leurs croyances et leurs perceptions du monde dans leur architecture, les Bètãmmaribès sont à la recherche constante de l’équilibre...

    tata-somba.jpg

     


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  • Tiffany Bozic est un artiste autodidacte qui vit et travaille actuellement à San Francisco, en Californie. Bozic a passé la majorité de sa vie à vivre et à observer les complexités de la nature. Dans ses peintures et croquis elle présente sa vision des luttes et des triomphes de la vie qui sont en grande partie autobiographique. Son large éventail de sujets sont inspirés à la fois de ses nombreux voyages dans des endroits sauvages.
    Au fil des ans, Bozic a mis au point un processus complexe de masquage et de coloration des panneaux d'érable sur lequels elle peint. En faisant cela, le grain naturel peut collaborer avec chaque composition.
    Tifany Bozic est un artiste autodidacte qui vit et travaille actuellement à San Francisco, en Californie. Bozic a passé la majorité de sa vie à vivre et à observer les complexités de la nature. Dans ses peintures et croquis elle présente sa vision des luttes et des triomphes de la vie qui sont en grande partie autobiographique. Son large éventail de sujets sont inspirés à la fois de ses nombreux voyages dans des endroits sauvages.
    Au fil des ans, Bozic a mis au point un processus complexe de masquage et de coloration des panneaux d'érable sur lequels elle peint. En faisant cela, le grain naturel peut collaborer avec chaque composition.

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  • C’est par une lettre du maire que les 975 habitants de Drucat, petit village de la Somme, ont appris la bonne nouvelle. Une ferme-usine de 1 000 vaches couplée au méthaniseur agricole le plus puissant d’Europe allait être construite sur leur commune.

    Ni une ni deux, les riverains ont monté une association. La bataille dure depuis près de deux ans, au grand dam de l’entrepreneur, Michel Ramery, qui ne comprend pas pourquoi son gigantesque élevage moderne ne fait pas l’unanimité. Un bâtiment de 250 mètres de longueur. Des bêtes de concours sélectionnées pour donner jusqu’à 8 millions de litres de lait par an. Et ne mettant jamais les naseaux dehors. Un espace de 7 m² pour chacune. Un collier électronique qui, trois fois par jour, les avertit que c’est l’heure de la traite. Laquelle est bien sûr robotisée.
    Le canard enchaîné
    Altermonde sans frontières


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