• Pièces d'une vie ...

    Pièces d'un coeur
    Morceaux brisés cousus ensemble
    collage coloré
    De l'amour de la douleur et des souvenirs
    C'est tout ce qui reste à faire.
    Pièces d'un rêve
    Qui n'ont pas été oubliées
    Effacer des années
    Quand il n'y avait pas de temps à dormir
    Et que rêver était interdit.
    Pièces d'une vie
    Donner à tous de sorte que d'autres prospèrent
    Vous pouvez encore survivre
    Si vous nourrissez les besoins non satisfaits
    Et n'oubliez pas que vous êtes en vie
    JBZ


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  • Houles ...

    Écoutez la-houle
    contre la coque, contre les poteaux,
    les vagues venant de la côte,
    elles parlent avec la voix de l'eau,
    mais elles ne sont pas l'eau.
    Elles utilisent l'eau comme un homme
    utilise sa voix pour parler de vous
    de la profondeur de votre gorge,
    de vous attirer, vous enfermer
    et vous dire ce qu'il entend faire.
    C'est ce que la houle de l'eau dit,
    c'est ce que l'homme dit,
    "Il n'y a pas de limite, venez voir.
    Il n'y a pas de limite
    à ce que je vais faire avec vous.
    Peregrine


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  • Andrew Wyeth est un peintre américain né à Chadd's Ford en Pennsylvanie le 12 juillet 1917 et mort le 16 janvier 2009, également à Chadd's Ford, dans la banlieue de Philadelphie. Il est classé parmi les peintres « régionalistes » et réalistes américains.
    Après des problèmes de santé, ses parents décident de ne plus l’envoyer à l’école et de l'instruire eux-mêmes. Son père, Newell Convers Wyeth (1882-1945), illustrateur connu, l’initie à l’art. Plus tard, il rentre aux Beaux-arts et apprend à utiliser l’aquarelle, la tempera.
    Andrew Wyeth commence à peindre dans des nuances de bruns et de gris seulement.
    Il s’inspire de son entourage pour réaliser ses tableaux. Ses sujets préférés sont la terre et les habitants de sa ville natale, ainsi que ses proches.
    Sa grande maîtrise picturale lui permet de montrer sa réflexion mélancolique sur le temps qui passe et la faillibilité humaine.

    Le monde d'Andrew !

    Le monde d'Andrew !

    Le monde d'Andrew !

    Le monde d'Andrew !

    Le monde d'Andrew !


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  • Nicole Lenoble, artiste autodidacte, a installé son atelier dans le jardin. Un endroit en pleine verdure où la nature s'invite. «Ici, je me sens bien», explique l'artiste, qui récuse l'étiquette. L'endroit est douillet. Un hérisson cale porte accueille le visiteur. Les oiseaux viennent picorer le sol. Le calme règne. L'atelier en bois de forme octogonale s'ouvre largement pour laisser passer la lumière qui se reflète sur les cartons devenus meubles.

    Comme une coque de bateau

    «J'utilise des cartons de bonne qualité, d'une épaisseur de 4 millimètres. Avant, j'ai dessiné sur le meuble avec les cotes sur un croquis». Le tout est assemblé à la colle au pistolet sans solvant pour devenir une table de nuit ou une commode. «Un peu comme une coque de bateau». Précédemment, Nicole Lenoble peignait des meubles en bois s'inspirant de peinture Renaissance. Puis «J'ai découvert la création du mobilier en carton à travers mes lectures et la rencontre d'un livre».

    Un travail de patience et de passion

    Un travail de passion mais aussi de patience. «Il faut un mois pour réaliser un chiffonnier par exemple». Et les étapes sont nombreuses. Comme les couleurs offertes par les papiers achetés dans le cadre du commerce équitable et qui recouvrent certains mobiliers. Quant à la finition, elle reste toujours très méticuleuse. Il y a aussi à travers cette démarche un souci de l'environnemental et principalement celui du partage. «Mes réalisations sont aussi construites avec celles de plusieurs artistes de Belle-Ile. Ainsi, avec Fluïd pour les boutons des chevets, et les ébénistes Thuillier pour l'intérieur de boîte. Nous réfléchissons ensemble à compléter et mettre en valeurs les savoir-faire».

    La maison en carton ...


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  • KATMANDOU, Népal – Des archéologues ont découvert au Népal les restes d’une structure de bois qui serait, selon eux, le plus ancien sanctuaire bouddhiste jamais mis au jour.
    La structure a été déterrée à l’intérieur du temple sacré de Mayadevi, dans la ville de Lumbini. Bouddha, aussi connu sous le nom de Siddharta Gautama, serait né autour du 6e siècle avant Jésus-Christ sur le site du temple.
    La découverte a été annoncée dans l’édition de décembre du journal «Antiquity».
    L’archéologue Kosh Prasad Acharya a expliqué que des tests ont déterminé que la structure de bois date elle aussi du 6e siècle avant Jésus-Christ .
    Les archéologues ont fouillé sous des structures de briques connues à l’intérieur du temple. Les échantillons ont été analysés par des experts de l’université écossaise de Sterling. Ils s’affairaient sur place depuis trois ans.
    Avant cette découverte, un pilier installé à l’empereur indien Ashkok au 3e siècle avant Jésus-Christ était considéré comme la plus ancienne structure bouddhiste du monde.
    «On ne sait que très peu de choses au sujet de la vie du bouddha, à l’exception de sources textuelles ou de la tradition orale, a dit par voie de communiqué l’archéologue américaine Robin Coningham. Maintenant, pour la première fois, nous disposons d’une séquence archéologique à Lumbini qui démontre l’existence d’un édifice à cet endroit dès le 6e siècle avant Jésus-Christ.»
    Le temple de Lumbini est visité chaque année par des dizaines de milliers de pélerins bouddhistes. Il est inscrit au Patrimoine mondiale de l’Unesco.

    Bouddhisme ...

     


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  • Par Gérard Charollois

    Après les ères des tribus, des cités, des nations, des empires, des identités meurtrières, des races et des communautés fermées, que vienne le temps du biocentrisme. Ce concept s’oppose au théocentrisme et à l’anthropocentrisme qui mettent les mythes ou une espèce élue au centre. En revanche, le biocentrisme ne s’oppose pas à l’humanisme. Il l’englobe, en considérant comme des acquis irréversibles ses conquêtes politiques. Il élargit le cercle de l’empathie.

     Tout être éprouvant le principe du plaisir-déplaisir vaut. Quelles que soient ses performances dans le déchiffrage par l’intelligence du grand livre du monde ou ses capacités à courir vite. L’individu vaut parce qu’il peut souffrir et non par ses capacités cognitives ou ses aptitudes physiques. Le biocentrisme répudie ainsi tant le spécisme que le racisme dès lors qu’il ne reconnaît qu’une communauté : celle des vivants. Point n’est besoin, pour le biocentriste, de postuler l’absence de différences, voire d’inégalités dans les diverses performances, puisque le fondement éthique réside dans l’intérêt à être. Tout vivant possède un intérêt équivalent à ne pas être torturé, maltraité, asservi, soumis à la contrainte.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article24580

     

    Le biocentrisme ...

     

     


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  • Par Patrick Mignard

    « Bonnets rouges » contre « drapeaux rouges » ? On ne sait plus très bien qui est qui ! Dans une époque où la finalité originelle des syndicats (défendre les intérêts des salariés) fond comme neige au soleil, que le lien social se délite, que le capital investi dans le pays subit les affres de la mondialisation marchande… la plus grande confusion règne dans les consciences et dans la rue.

    L’irruption sur la scène sociale, et par voie de conséquence politique, des « bonnets rouges » a surpris tout le monde, y compris eux-mêmes. Les plus concernés sont évidemment les syndicats qui comme ils le pensent sont encore « Les plus à même de défendre les salariés… » (Laurent Berger – CFDT)… Il est en effet grand temps qu’ils le disent car, à la lumière des derniers conflits sociaux on est en droit de se poser la question. En effet, les syndicats, aujourd’hui sont plus des accompagnateurs (genre cellule psychologique) des salariés licenciés que des structures de luttes pour améliorer les conditions de vie et de travail – ce qu’ils étaient précisément à leur origine.

    La double contradiction du capitalisme, dans un contexte de mondialisation, aboutit à une véritable porosité des intérêts de classe : Les chefs d’entreprises, sont plus que jamais soumis à une concurrence internationale qui les oblige à se restructurer, délocaliser, licencier… Merci l’Europe des marchés !... Les salariés, sont plus que jamais soumis à la pression du capital (salaires, conditions de travail, licenciements). Merci l’Europe que l’on nous présentait comme sociale !... En l’absence, à la fois d’une action efficace des pouvoirs publics – voir les efforts pitoyables de ce pauvre Montebourg - et de la capacité des syndicats à jouer leurs rôles… les « acteurs sociaux » patrons-salariés se retrouvent dans la rue sous le même bonnet…

    Fondamentalement les intérêts sont divergents, contradictoires, mais il est facile en l’absence de toute clarté de la situation de faire croire que l’on est tous dans la même galère… Le contexte politico-économique décadent offre au MEDEF et autres structures rapaces (FNSEA) une situation idéale, sur un plateau, pour faire croire aux salariés que leur salut passe par la défense du capital. Cette volonté de confusion n’est pas nouvelle, mais elle prend aujourd’hui une dimension particulière du fait de l’absence de toute alternative pour la dépasser. Les syndicats se réveillant, prennent le train en marche et essayent de changer l’aiguillage… ça va être dur, vu ce qu’ils sont devenus et leur capacité de riposte.

    Par contre, à l’affût, le néo fascisme peut pointer son nez, voyant là une manière de faire croire à la possibilité d’une vision corporatiste – alliance patrons/salariés – dans un cadre national... Ça ne vous rappelle rien ? Revoyez vos livres d’Histoire !

    Patrick Mignard
    25 novembre 2013
    Altermonde-sans-frontières

    Mélange des genres ...


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  • Tout est gris uniforme et triste !
    Il ne fait pas froid par contre !
    Une phrase, c'est comme un arbre de Noël. Tu commences par le sapin nu et puis tu l'ornes, tu le décores à ta guise. Jusqu'à ce qu'il s'effondre. Attention à ta phrase : si tu la charges trop de guirlandes et de boules, je veux dire d'adjectifs, d'adverbes et de relatives, elle peut s'écrouler aussi.
    Erik Orsenna
    J'vous mets du soleil !

    Gris ...


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  • J'ai une cour et un jardin avec un haut mur qui me coupe du nord et de l'est.
    Il y avait un beau soleil, il y faisait vraiment bon.
    Mais dès que j'ouvre le portail ... glagla ... le vent m'assaille !
    Nous passons chaque jour et chaque nuit à nous perdre et toute notre vie à nous chercher.
    Hafid Aggoune

    Temps un peu trompeur ...


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  • Focus sur le photographe néo-zélandais Andrew Smith  qui nous propose des clichés incroyables pris au large de sa terre natale. Des images incroyables de l’Océan Pacifique prises avec un Nikon D800. Le tout dans une série intitulée « Ocean Landscapes Photography » à découvrir dans la suite de l’article.

    http://www.fubiz.net/2013/11/25/ocean-landscapes-photography/

    Photographies ...


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