Pour certains c'est la préparation pour fêtes de fin d'année.
Pour moi une soirée tranquille avec Bidule qui, en ce moment, dresse une vieille écharpe !
A minuit, je regarde google !!!
Puis je m'endors en 2014 !
Belle et douce soirée ...
Belle et folle soirée ... c'est comme vous désirez !
Méfiez-vous de l'amour ...
Le proche ennemi de l’amour-bienveillance est l’attachement !
Au début, l’attachement peut donner l’impression d’être de l’amour, mais à mesure qu’il grandit il apparaît plus clairement comme son contraire :
il se caractérise par le désir de s’accrocher, de contrôler, et par la peur.
Jack Kornfield

L'année 2013 se termine. Pour moi elle a été une belle année, une année forte.
Un début cahotant, deux très vieux chiens à gérer avec, suspendue au-dessus de nos têtes, la peur de leur mort. La peur de leur souffrance. La peine de les voir un peu perdus. Puis cette mort est arrivée, sereine, la vie ne pouvait plus les soutenir. Le chagrin qu'on tente de juguler, la pensée de ces autres chiens à qui la vie n'a encore rien donné, que des souffrances et la rencontre avec Bidule. Il n'a remplacé en rien l'amour que je vouais surtout à Poupy, mais il avait enfin droit au bonheur. Il a éclairé chaque journée de ma vie depuis. Ca n'empêche pas parfois un sanglot de désespoir de ne plus avoir mon Poupy près de moi, mais ça les rend courts et le regard de Bidule, attentif et confiant m'apaise.
Puis il y a les plaisirs de la vie quand on sait regarder et tendre la main. Le monde est en souffrance et bien laid, de la beauté on nous en parle peu et pourtant elle est là, partout autour de nous, dans tant de choses simples.
J'ai bien aimé cette année 2013, les chagrins font obligatoirement partie de la vie.

En votre absence, j'ai ajouté du sel à tout,
Même aux tartes. En votre absence, le chien a aboyé
pendant des jours, mais je ne pouvais pas supporter l'idée de le mettre dehors
et j'ai fait le ménage avec un sentiment de colère.
En votre absence, mon frère est venu et n'a pas
posé de questions sur vous. Pas une seule fois. En votre absence,
Je me suis lavé les cheveux. En votre absence,
Je laisse les meilleures parties de moi bronzer
au soleil. En votre absence, j'ai brûlé beaucoup
des bougies et presque dansé sans mon soutien-gorge,
mais ça ne m'a rien fait.
En votre absence, j'ai embrassé des garçons qui sentaient comme
l'essence, les garçons qui frottaient leurs mains sur toute
ma peau. En votre absence,
Je me suis posé des questions auxquelles il était difficile
de répondre. En votre absence, je n'ai jamais manqué
de rien de plus que vous vous levant
pour vous brosser les dents le matin. Dans votre
absence, j'ai dû commencer à me dire la vérité. En votre absence,
J'ai essayé d'écrire ce poème onze fois.
Si vous ne revenez pas, je vais
 couper tous mes cheveux et dormir avec les mèches .
En votre absence, la vie n'a plus aucune saveur.

Flottant dans le bain
A l'écoute de votre cœur battant
Eau laiteuse et chaude
Enveloppant votre corps
Vous pouvez sentir les caresses sur votre visage.

Son corps solide et chaud
Se pressant contre votre dos
Bougeant contre vous
Caressant votre dos et vos cuisses
Vous remplir de sa présence.
JBZR

A la personne amicale
Qui est toujours disponible
Quand c'est nécessaire
Chaque fois qu'il y a crise
Chaque fois que vous vous sentez seul(e).
Disposée à écouter
Votre dernier dilemme
Réparer votre cœur brisé
Écoutez vos histoires soules
Lorsque le coeur de la vie vous rejette.
Les réponses à vos textos
Ou le téléphone à 3 heures du matin
"J'aime votre nouvelle coiffure"
"Pardonnez mon laisser-aller"
Et vous vous sentez toujours aimé(e).
JBZ

Je suis Josiane et Bidule est mon chien, un petit animal endormi enroulé le long de ma poitrine.
J'essaie de faire correspondre ma respiration avec la sienne, inspire, expire, 
parce qu'il est une étonnante et simple créature qui ne connaît que de se préoccuper de la survie de base.
Il existe sans se préoccuper du comment ou du  pourquoi.
Pour lui, tout est juste.
Respirer : expirer, inspirer, expirer.
Puis-je devenir comme lui ?

J'ai trouvé ces peintures rousses sur un site qui s'appelle Ewakoty, mais ce n'est sans doute pas le nom du peintre, j'ai fait des recherches qui se sont avérées vaines. J'aime leur côté un peu médiéval, automnal, elles me font rêver alors je vous les offre en partage. Si quelqu'un trouve le nom du peintre ... ça serait sympa.

Des présidents de chambres d’agriculture du Sud de la France indiquent au ministre de l’Écologie que les éleveurs de montagne refusent la présence de tous les prédateurs. En fait, ces éleveurs veulent des parcs nationaux parcs à moutons où des troupeaux sans surveillance détruisent toute végétation, sans prédation naturelle et sans concurrence d’herbivores sauvages.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article24855
Il suffit de faire le choix du vivant, choix qui en éthique, en politique, en philosophie s’appelle le biocentrisme. À l’inverse des nihilistes, nous affirmons des valeurs positives, concrètes, des valeurs bénéfiques à tout être vivant.

Gérard Charollois

N’avez-vous jamais entendu, dans votre entourage, cette injonction répétée comme un leitmotiv par des personnes qui ont souvent du mal à joindre les deux bouts :”arrêtez de taper sur les riches et les patrons, ce sont eux qui nous font travailler”. Et l’artisan ou le commerçant du coin, qui peine parfois à se payer un salaire, approuve. Il se sent solidaire, car il se considère comme un patron ! Et bien désolé de vous décevoir, lorsque l’on parle des riches et du patronat, vous n’en faites pas partie. Aux yeux de ceux dont on parle et qui représentent 1 % de la population, vous n’êtes qu’une quantité négligeable comme le reste de la population.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article24859
Cette bande de requins se sert impunément de l’État comme courroie de transmission pour piller les populations. Mais savez-vous le plus drôle, ou le plus triste ? Je prends les paris que si l’UMP (l’Union des Moutons de Panurge) organise une manif, on va y voir aux cotés des « pauvres-riches », tout un tas de pauvres gens intoxiqués par la propagande en cours, tout heureux de taper sur eux-mêmes, c’est-à-dire sur le fonctionnaire, le pauvre, l’étranger, le travailleur, le salarié, le chômeur ou le précaire !

Jean-Pierre Acasoca