Pourtant, il l'aime ...
Il l'aime avec l'impression  qu'il ne peut jamais prendre assez d'elle entre ses mains .
Et peu importe ce qu'il obtient, même quand ils font l'amour,
il ne se sent jamais assez proche,
comme si sa chair et ses os gardaient quelque chose de sacré entre eux, cachée de lui.
Iain S Thomas

Avez-vous jamais eu envie de voir le monde des nuages​​ ? Le photographe Klaus Leidorf l'a voulu et l'a fait. Les photographies aériennes de Klaus Leidorf découvrent la créativité de la nature ou de certaines compositions des hommes d'un point de vue que nous voyons rarement, de très haut. Un champ de pneus usés, c'est consternant à voir au niveau du sol, mais  devient un champ ludique de jouets noirs de très haut. Les plages deviennent des œuvres d'art, au lieu de la zone animée de jeux de plage. Les zones de stockage ressemblent à des aires de jeux d'enfant qui voudraient  créer des cabanes en rondins et des bâtiments à gogo. Les champs des agriculteurs deviennent des tapisseries magiques de couleurs et de formes qui sont les égales de belles mosaïques.
http://www.beautifullife.info/art-works/aerial-photography-of-klaus-leidorf/

Considéré à partir de 1912 comme le Pôle Continental du globe par tous les représentants des grandes nations, l'île Dumet est ainsi devenue ce point « zéro » du globe servant à étalonner et réajuster latitudes et longitudes ainsi qu'à caler minutieusement les méridiens. Soit "le ‘TOP' de l'Heure Mondiale"! "
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_Dumet

Le problème avec le turban, c'est qu'il paraît souvent suspect. Il donne l'impression de cacher des cheveux en attente de shampoing, d'une coupe ou d'une coloration. Alors que dans les années 1940, porté par la vague de l'orientalisme, le turban était du dernier chic. L'épouse du couturier Paul Poiret y piquait une plume, Madame Grès les affectionnait en jersey. Quant à Simone de Beauvoir, il signait son style.
Le turban fut aussi longtemps pragmatique. Quand la concierge était dans l'escalier, c'était en turban, protégeant ses cheveux de la poussière. Aujourd'hui, c'est un accessoire que l'on tente à la belle saison et plutôt en vacances. Avec des lunettes de soleil, au bord de la piscine. A vélo parce qu'il tient mieux que le chapeau. En soirée, si la fête est indienne. En bateau, comme Grâce de Monaco. Avec l'esprit soul comme feu Ami Winehouse.
On faut son turban soi-même avec un foulard ou un beau tissu. Il doit faire coiffure et pas cache-misère. A ceux qui nous appellent Madame Irma, on jette un sort. Car mieux vaut ne pas avoir la tête près du bonnet pour oser le turban.
Bernadette Bourvon pour Ouest-France.

Distribution de câlins, samedi 26 avril, rue Crébillon à Nantes. Raphaël Lancelot reprend le concept des « free hugs », des étreintes gratuites.
« Vous prendrez bien un p'tit câlin ? » L'invitation n'a rien de perverse et n'est pas le fait d'un doux dingue. Juste un clin d'œil lancé par Raphaël Lancelot, Redonnais de 39 ans. Il a eu l'idée de reprendre le concept des « free hugs » (étreintes gratuites), mouvement né en Australie en 2004, à l'initiative, semble-t-il, d'un jeune homme esseulé dans un aéroport.
Une ville par mois
Raphaël a décidé de faire une ville par mois. La première fois, c'était en décembre, à Angers. « J'avais un peu le trac au début. J'ai mis dix minutes avant de me lancer et j'ai pris mon courage à deux mains. » Depuis, il y a eu Vannes, Lorient… Les réactions ? « Les gens sont assez réceptifs. Certains se sont mis à pleurer dans mes bras. » Quelques réflexions moqueuses aussi parfois. « Mais je passe au-dessus. Et de toute façon, c'est rare. »Le mois dernier, Raphaël a inscrit le rendez-vous sur le site Internet « On va sortir ». Du coup, certains sont venus le rejoindre. Ce samedi, un Lorientais l'accompagne. Ils seront facilement repérables, avec leur pancarte. Prêts à accueillir les passants quelques secondes dans leur bras pour une pause tendresse

Carton de la ligne Rennes-Barcelone, ouverture d'un vol quotidien vers Londres, hausse du nombre de passagers. L'aéroport de Rennes Saint-Jacques se développe et entend bien continuer. New-York en point de mire.
« Avant, nous devions presque supplier les compagnies aériennes d'ouvrir des lignes à Rennes. Aujourd'hui, elles nous démarchent. » L'aéroport de Rennes Saint-Jacques a la cote. Avec une progression de 14 % du nombre de ses passagers transportés entre 2012 et 2013 (481 271 en 2013), l'aéroport continue à se développer.
« L'un des indicateurs a été l'ouverture de la ligne low-cost Rennes-Barcelone par Vueling, il y a un an », précise Bertrand Gervais, le directeur de la CCI de Rennes (1). Une ligne qui a tellement cartonné que la compagnie Vueling a décidé de la maintenir.
Autre bonne nouvelle pour l'aéroport, l'ouverture, à partir du mois de juin, d'une ligne quotidienne vers Londres à destination de la clientèle business et touristique. Avec, à partir de septembre, la possibilité de faire l'aller et retour dans la journée.
Et la concurrence éventuelle du nouvel aéroport du Grand Ouest ?
Réponse à la Région Bretagne : "Ce développement est indépendant. Il ne canibalise en rien le trafic qui serait celui de N.D. des Landes"
Forcément, hi hi hi c'est N.D. qui canibalise tout !

Quatre ans et demi après les premières ébauches, le projet de nouveau paquebot France est désormais « stabilisé », comme le dit Didier Spade, à l’origine de cette idée. Le design, les dimensions, la capacité et la disposition des aménagements intérieurs du navire ont été définitivement arrêtés. Campant fermement sur son idée originelle, Didier Spade, contre vents et marées, a conservé l’idée si particulière qu’il a imaginée pour ce paquebot, avec deux grandes structures dont la forme rappelle les cheminées de l’ancien France. De quoi faire s’étrangler les puristes de la construction navale ou les nostalgiques des transatlantiques d’antan. Les avis demeurent partagés sur ce choix mais Didier Spade ne manque pas d’audace et a, d’entrée de jeu, voulu que le futur navire soit unique, qu’il ne ressemble en rien aux bateaux construits jusqu’ici.
http://www.meretmarine.com/fr/content/le-projet-de-nouveau-paquebot-france-arrive-maturite

Pour la peinture Keith Mallett est un voyage spirituel. C'est un voyage qui a commencé dans l'enfance et se poursuit à ce jour. Keith a travaillé comme peintre, graveur et céramiste. Ses sujets varient dela  nature morte aux portraits. Au cours des dernières années Mallett a consacré ses talents à des thèmes qui dépeignent la beauté et la force de l'expérience afro-américaine.
Keith Mallett est né en Pennsylvanie en 1948, il a étudié la peinture à l'Art Students 'League et Hunter College à New York et Los Angeles Valley College à Los Angeles.
"Il est de mon désir, à travers mon art, de dépeindre les aspects positifs de l'expérience afro-américaine. Si je peux montrer dans un enfant la force et la beauté de son passé ou de l'espoir lumineux de son avenir, alors je sens que j'ai accompli mon objectif ".
http://www.pinterest.com/santcugatenc/keith-mallett/

Je parle du temps, de ce qu'en dit le journal.
Il a plu cette nuit et je pense que la journée va être très variable !
La vie ne peut être vécue que dans le moment présent.
Le passé est passé, l'avenir n'est pas encore là,
et si nous ne retournons pas à nous dans le moment présent,
nous ne pouvons pas être en contact avec la vie.
Thich Nhat Hanh

25 Avril 1974, il y a 40 ans
Lisbonne fêtait sa liberté retrouvée.
Peuple uni jamais ne sera vaincu ...
Nos gouvernants ont compris : diviser pour régler !