L'Atelier JHP a donc conçu "le Morta", couteau pliant à cran forcé fabriqué artisanalement avec des matériaux naturels de qualité.
Une gamme qui ne cesse de s'étoffer
En plus des "Morta massif" et "Morta ivoire" qui ont fait la réputation de la marque, vous trouverez maintenant des damas, des couteaux de table, ainsi que les versions "pour petites poches" de la plupart de nos pliants. Et les bruts de forge sont pour bientôt !
Elégant, avec ses platines et son ressort finement guillochés, le couteau Morta ne renie pas pour autant ses origines rurales : il reste un couteau utilitaire, destiné à vous accompagner partout et à vous servir fidèlement. Ses dimensions sont idéales pour un port et un usage polyvalents ; sa lame généreuse en forme de "feuille de sauge" en fait un outil efficace.
Celui-ci une fois en poche, vous aurez du mal à vous séparer de votre couteau Morta. C'est pour cette raison que nous garantissons nos couteaux "à vie".
http://www.liberation.fr/societe/2014/07/26/en-briere-des-couteaux-ressuscitent-un-bois-rare_1070801
http://www.fumeursdepipe.net/Morta.htm

Les yeux tristes ne voient rien
La géomètrie de son environnement
Quatre murs gris brillants
Les crises de claustrophobie
Dans une pièce sans issue.

Existence vide
Privation sensuelle
Frustration de carrière
Conversations insignifiantes
Sans aide, elle peine à survivre.

Prise au piège dans une routine
Trop de cigarettes et trop de travail
Le manque de sommeil toujours
Donner jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien
Elle a besoin de longues vacances.
JBZ

A environ 170 miles au nord de Las Vegas, dans l'état du Nevada, est la partie la plus secrète du monde, enfin c'est ce que des tas d'histoires en disent !!! Cet endroit est également connu comme Dreamland ou Groom Lake, mais son nom est la zone 51. C'est une énorme base militaire de l'US Air Force, dont l'objectif principal est inconnu, mais il est clair que des recherches sur les armes avancées sont réalisées et des essais expérimentaux sur les avions. Il y a des spéculations sur le fait que c'est là que se trouvent les restes du célèbre crash d'un vaisseau spatial extraterrestre à Roswell, Nouveau-Mexique en 1947. L'insécurité paranoïaque alimente la région environnante de ce mythe.
Son nom officiel était "Paradise Ranch". Mais le folklore moderne (de X-Files à Independence Day en passant par nombre de jeux vidéos) l'a fait entrer dans la postérité sous sa désignation géographique, Area 51, ou Zone 51. C'est là, à en croire les ufologues les plus fervents, que seraient entreposés les vestiges du crash de Roswell, preuves des relations secrètes entre l'armée américaine et les extraterrestres.
L'existence de la Zone 51 n'avait jamais été officiellement reconnue par le gouvernement américain, ce qui a contribué à alimenter les fantasmes les plus fous depuis la guerre froide. C'est désormais chose faite, rapporte The Atlantic Wire. Le site National Security Archive, un programme de l'université George Washington, publie pour la première fois des documents déclassifiés de la CIA, qui évoquent directement l'existence de ce site ultra-confidentiel dans le désert du Nevada, comprenant une carte permettant de le localiser.

Prendre des décisions
Regarder dans sa boule de cristal
Chercher des réponses
Doit-elle attendre jusqu'à l'automne ?

En sirotant un café chaud
En écoutant comment les fauvettes chantent
Le soleil se lève lentement
Quelle aventure va-t-il apporter ?

Aucune concentration
Après une nuit blanche de plus
Fatiguée et vide
Elle se lasse de la lutte.

Les choses vont aller mieux
Est-il temps de se retirer ?
Les miracles se produisent
Elle se décidera demain.
JBZ

Le  secrétaire ou serpentaire est si grand qu'il reste au sol la plupart du temps pour économiser son énergie. Considérez le corps d'un aigle perché sur les jambes d'une grue et vous obtenez son image et de loin il ressemble plus à un grue. Ne soyez pas dupe, cependant. Cet oiseau est un tueur. Son régime alimentaire est aussi varié que sa maison de l'habitat africain et comprend des mangoustes, des serpents, des lézards et des tortues. Il est rapporté qu'il pourrait même prendre une jeune gazelle si l'occasion se présentait. Certaines tribus africaines l'appellent le cheval du diable et il n'est pas chassé en général (bien que cela change par la baisse de croyances traditionnelles).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Messager_sagittaire

Le tartan est une étoffe de laine à carreaux de couleurs, typique des peuples celtes. Il s'agit d'un motif de lignes horizontales et verticales entrecroisées, de multiples couleurs. Les tartans étaient à l'origine réservés aux tissus, mais sont maintenant utilisés sur de nombreux autres matériaux. Les kilts écossais sont ainsi quasiment toujours réalisés dans un tissu à motif de tartan.
Un tartan est constitué de bandes alternées de fils teints dans la masse, aussi bien pour la trame que pour la chaîne. La trame est tissée en sergé simple, la chaîne passant deux fils dessus et deux dessous, en progressant d'un fil à chaque passage. Le motif est constitué de bandes alternées de fils de laine colorés tissés à angle. Ceci forme des hachures diagonales aux sites d'entrecroisement et crée de nouvelles couleurs à partir du mélange des deux teintes d'origine. Les blocs de couleur qui en résultent se répètent verticalement et horizontalement, formant un motif de carrés et de lignes distinctif, le sett.
Les tartans sont associés aux clans, aux familles depuis le XIXe siècle. Le port du costume fut interdit le 1er août 17471. Plus tard, les tartans furent élargis aux institutions écossaises, notamment suite à la publication du livre Vestiarium Scoticum par les frères Allen en 1842. Les kilts sont presque toujours décorés de tartans. Le tartan est aussi appelé plaid en Amérique du Nord, mais, en Écosse, ce mot désigne la couleur et le motif du tissu tartan jeté sur l’épaule, ou une couverture.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tartan

Né à Santa Fe en 1937, Carlos Ferreyra est un artiste autodidacte qui pendant toute sa carrière a développé une technique prodigieuse pour le dessin d'encre et peinture à l'huile.
Il a raconté dans une interview qu'il a appris à dessiner "les  après-midi, avec un crayon de mon père  charpentier sur les papiers blancs qui enveloppaient le pain quotidien, toujours sous le regard étonné de ma mère qui commençait à entrevoir un chemin différent pour son enfant. Oui, je n'avais pas l'école mais mes armes de mon imagination ".
Artiste agité, d'une curiosité insatiable, Ferreyra a fréquenté tous les thèmes classiques de la peinture et s'est même aventuré dans l'abstraction; mais il aime la figure humaine, en particulier certains archétypes de la tradition latino-américaine et la culture et les gens du commun, où il a trouvé l'inspiration pour ses œuvres les plus importantes.
http://www.carlosferreyra.net/#!guatemala/cpge
http://www.carlosferreyra.net/#!tangos/c1od8

par Pierre Barthélémy

 Il est assez rare que j’écrive ici autre chose que des comptes rendus d’études scientifiques qui ont excité ma curiosité et que j’ai eu envie de partager. Mais il est aussi des moments où l’actualité pose des questions énervantes, auxquelles le rappel de faits simples répond avec lumière. Par deux fois, au cours des derniers jours, on s’est demandé comment agir avec ces animaux dangereux pour l’homme ? Il y a eu cette alerte aux requins sur les côtes catalanes qui faisait un écho méditerranéen aux attaques de surfeurs très médiatisées à La Réunion de ces derniers mois. Quelques jours avant, le 10 juillet, il y a eu l’autorisation donnée aux éleveurs, lors du vote du projet de loi sur l’agriculture, d’abattre des loups en France. Mon confrère Stéphane Foucart a consacré à cette information sa dernière chronique, où il démonte quelques idées reçues sur la perception que les Français ont du loup. Et puis, dans les réactions à son article, je suis tombé sur un commentaire vibrant d’intelligence : "Dans un monde normal, on se défend, on se laisse pas manger."
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article26410

On voudrait nous embrouiller les papilles qu’on ne s’y prendrait pas autrement. La semaine dernière, la presse a tartiné sur le label « fait maison ». On allait voir ce qu’on allait voir, un pictogramme malin (un faitout coiffé d’un toit) pouvait enfin permettre de distinguer d’un seul coup d’œil, sur la carte des restaus, les vrais plats mitonnés en cuisine des joyeusetés industrielles surgelées ou sous vide que le cuistot se contente d’enfourner ou de remettre en température.

 Mais comme nous l’avons déjà explicité, le « fait maison », c’est du carton-pâte. Primo, la mention est facultative. Dès lors, on imagine mal les accros du réchauffé se précipiter pour signaler que seuls trois ou quatre malheureux plats de leur carte sont vraiment préparés en cuisine. Secundo, lorsqu’on soulève le couvercle, on découvre pêle-mêle, que l’alléchante estampille « fait maison » s’applique, par exemple, au saumon d’élevage surgelé nappé d’un fond de sauce acheté chez un industriel type Davigel ou Nestlé Food Services, accompagné d’une jardinière toute droite sortie d’un sachet.

Car, ce qui est goûteux avec ledit décret du 15 juillet, c’est que le « chef » peut sans souci cuisiner du fait maison avec des viandes déjà tranchées, découpées, hachées, désossées ou broyées, des légumes pré épluchés, pelés, coupés ou moulus, le tout conditionné en surgelé ou sous vide. La seule exception, ce sont les pommes de terre, pour lesquelles il y a obligation d’éplucher sur place. Pourquoi ? Pour que McDo et les autres chaînes de fast-food ne puissent pas revendiquer le logo « fait maison » pour leurs frites ! Ce qui n’aurait plus laissé aucun doute au consommateur sur le fait qu’on le prenait bien pour une courge…

Tertio, le label n’entre en application que le 1er janvier 2015. D’ici-là, nulle sanction n’est prévue contre les margoulins qui s’amuseraient à rhabiller du logo « fait maison » certains de leurs plats 100 % industriels. De toute façon, on souhaite bien du plaisir aux contrôleurs de la Répression des fraudes qui auront à faire ensuite le tri dans les arrière-cuisines des restaurants, entre les plats dûment logotés et les autres.

Déjà que, faute de troupes suffisantes, l’an dernier, à peine 12 % des « établissements de restauration » ont reçu la visite d’un inspecteur de la DGCCRF… Tout ça, c’est de label arnaque !

Le Canard Enchaîné N° 4891 du 23 juillet 2014

Fait bien chaud dès à matin ...
Ciel magnifique ... le journal dit soleil mais ondées ...
Je vais quand même remettre la voilure ...
Bon dimanche !
Comme l'abeille va recueillir le miel de fleurs différentes,
le sage accepte l'essence des différentes écritures
et ne prend que ce qui est bon dans chaque religion.