• Sur une note claire, le soleil a bien brillé.
    Le vent est froid, il faut s'en protéger !
    Bonne soirée et à demain !
    N'ayez pas peur de passer du temps de qualité avec vous-même.
    Cela signifie «voler» un certain temps et vous l'offrir librement et exclusivement.
    Optez pour la vie privée et la solitude.
    Cela ne vous rend pas antisocial et ne vous fait pas rejeter le reste du monde.
    Mais vous avez besoin de respirer. Et vous devez le faire.
    Albert Camus

    Mars se termine ...


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  • Les Forts Maunsell étaient des petites tours fortifiées marines construites au niveau de l’estuaire de la Tamise et de la Mersey durant la Seconde Guerre mondiale pour protéger le Royaume-Uni de toute invasion allemande. Ils tirent leur nom de leur concepteur Guy Maunsell. L’armée les a abandonnés à la fin des années 1950 et ils furent parfois utilisés pour d’autres activités. C’est ainsi que l’un d’eux est devenu une micronation non-indépendante, sous le nom de principauté de Sealand.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Forts_Maunsell
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Principaut%C3%A9_de_Sealand

    Les garde-côtes ...

    Les garde-côtes ...


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  • Si vous conduisez sur l'autoroute 5, au nord de la petite ville de Suomussalmi, dans le nord-est de la Finlande, vous êtes accueillis par un spectacle particulier. Une foule de près d'un millier de personnalités est plantée,  en silence, dans un champ près de la route.
    Cette armée d'épouvantails est appelée ou «Hiljainen kansa ''les gens silencieux" en finnois, c'est la création de l'artiste locale Reijo Kela. Ils ont d'abord été plantés en 1988 dans un champ dans Lassila, un quartier d'Helsinki et plus tard déménagés à cet endroit,  en 1994 exactement.
    http://www.joel-marssy.com/kainuu/index.htm
    http://www.amusingplanet.com/2015/03/hiljainen-kansa-silent-people-of.html

    Le peuple silencieux ...


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  • L’Inconnue de la Seine est une jeune femme non identifiée dont le masque mortuaire putatif devient un ornement populaire sur les murs des maisons d'artistes après 1900. Son visage est source d'inspiration pour de nombreux travaux littéraires, tant en français que dans d'autres langues.
    Selon l'affichiste George Villa qui tenait cette information de son maître Jules Lefebvre, l'empreinte aurait en fait été prise sur le visage d'une jeune modèle qui mourut de tuberculose vers 1875.
    La légende de son suicide prend corps en 1900. Selon celle-ci, le corps de l'Inconnue est repêché dans la Seine à Paris. Un employé de la morgue, saisi par la beauté de la jeune femme, fait un moulage en plâtre de son visage. Au cours des années suivantes, de nombreuses copies sont produites et celles-ci deviennent rapidement un ornement macabre à la mode dans le Paris bohème. Comme pour le sourire de La Joconde, de nombreuses spéculations sont formulées quant à ce que l'expression heureuse de son visage peut révéler de sa vie, sa mort et sa place dans la société.
    Les images réalisées ultérieurement au premier moulage montrent un autre aspect intéressant de sa popularité. L'original ayant été photographié, on a tiré à partir des négatifs de nouvelles séries de moulages où apparaissent des détails normalement indiscernables sur les corps ayant séjourné dans l'eau, mais dont la préservation semble renforcer l'authenticité du moulage.
    Le critique A. Alvarez écrit dans son ouvrage sur le suicide, Le Dieu sauvage : « L'on me dit que toute une génération de filles allemandes ont modelé leur apparence sur la sienne. » Il rapporte aussi que selon Hans Hesse de l'Université du Sussex, « l'Inconnue devint l'idéal érotique de la période, tout comme Bardot l'est pour les années 1950. [Hesse] pense que des actrices allemandes comme Elisabeth Bergner se sont inspirées d'elle. »

    L'inconnue de la Seine ...


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  • Pueblo Acoma est un village situé à 96 km à l'ouest d'Albuquerque au Nouveau-Mexique. Il est habité depuis le XIIe siècle par les amérindiens.
    Acoma (Keresan Aa'ku) signifie « peuple du rocher blanc ». On y parle le Keresan de l'ouest. Ses habitants disent habiter la plus ancienne ville des États-Unis habitée en continu, comme l'atteste des éclats de poterie trouvés sur le site, ainsi que la tradition orale. La ville est aussi appelée Sky City (la ville du ciel), en raison de sa situation : elle est placée sur un plateau de 30 hectares entouré de falaises hautes de plus de 110 mètres.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pueblo_Acoma
    http://www.america-dreamz.com/nouveau_mexique/paysages/acoma_pueblo.php

    Chemin d'accès ...

    Pueblo ...

    Pueblo ...

     


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  • Aimer ...


         …Et pour mieux t’aimer
        J’aurais voulu être belle comme le silence
        Ou comme une sphère d’étoiles.
        Mais mes biens étaient misérables
        Et je tremblais,
        Je tremblais de passion
        Sans pouvoir te le dire.
        Alda Merini,dédié  a Lucio Pierri


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  • Langage ...

    Le langage est une peau :
    je frotte mon langage contre l’autre.
    C’est comme si j’avais des mots en guise de doigts,
    ou des doigts au bout de mes mots.
    Mon langage tremble de désir.
    L’émoi vient d’un double contact  :
    d’une part, toute une activité de discours vient relever discrètement,
    indirectement, un signifié unique, qui est « je te désire », et le libère, l’alimente, le ramifie, le fait exploser (le langage jouit de se toucher lui-même) ;
    d’autre part, j’enroule l’autre dans mes mots, je le caresse, je le frôle, j’entretiens ce frôlage, je me dépense à faire durer le commentaire duquel je soumets la relation.
    Roland Barthes


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  • Tenochtitlan était la capitale de l'empire aztèque. Elle a été construite sur une île entourée par le lac Texcoco au fond de la jungle en Amérique centrale. Au moment où les conquistadors espagnols furent mis au courant de son existence, la population était d'environ 200 000 âmes. C'était une ville très différente de ce que les Européens avaient l'habotude de voir. Fondée en 1325 AD, la capitale aztèque était reliée au continent par trois chaussées. Elle était aménagée avec des rues droites et englobait d'énormes pyramides en son centre, qui étaient entourée par des sculptures de crânes de suppliciés.
    Avec seulement une poignée d'hommes, Herman Cortez a réussi à prendre la ville en 1521. Il est vrai qu'ils brandissaient des armes à feu et ont été aidés par  d'autres tribus locales, mais s'il n'y avait pas eu la frénésie des sacrifices humains pour apaiser les dieux et le fléau de la variole, il est probable qu'ils n'auraient jamais réussi. En tout cas, la capitale a été conquise et rasée par les Espagnols. Mexico a été construite sur ces ruines.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Mexico-Tenochtitlan

    Les grandes métropoles ...

    Les grandes métropoles ...

    Les grandes métropoles ...


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  • Mary Fedden (1915 - 2012) artiste peintre britannique.
    Elle a quitté l'école pour étudier à la Slade School of Art à l'âge de seize ans. Après avoir quitté le collège, elle a fait un enseignement vivant,  peindre des portraits et la production de scénographies pour Sadlers Wells et le Théâtre des Arts.
    Après la guerre, Fedden est retournée à la peinture sur chevalet et a développé son style individuel de peinture de nature morte.
    http://www.portlandgallery.com/artist/mary_fedden

    Le monde de Mary ...


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  • Rases campagnes

     

     

    par Yann Fiévet

     

    Cela fait beau temps que les campagnes se vident de leur substance humaine. Malgré tout ce qu’elles subissent, elles parviennent à vivre encore. La vie qu’il leur reste pourrait cependant à jamais disparaître sous le coup d’accélérateur donné à l’industrialisation de l’agriculture. Les fermes-usines – mille vaches, douze mille porcs, cent mille poules - qui défraient la chronique et émeuvent une partie de l’opinion publique depuis quelques années ne sont en réalité que les pointes visibles – certes de plus en plus nombreuses – de la colonisation massive des activités agricoles par les groupes industrialo-financiers. Ainsi, la grande presse est peu prolixe à propos de l’envahissant groupe français Sofiprotéol, récemment rebaptisé Avril pour de nouvelles aventures, dont le dévoilement de l’emprise tentaculaire révèlerait au grand public tant de surprises. Et notamment celle-ci : le patron de cet empire agro-industriel n’est autre que le Président de la puissante FNSEA ! Mélanges des genres ? À voir…
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article14691

    Les campagnes asservies aux lobbies ...


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