• Etats-Unis ...
    "Etat par Etat, le cannabis va peut être sortir de l'ombre de l'illégalité, mais il y a un revirement surprenant dans l'acte final : La guerre de la drogue est raciste, même quand elle se termine. La légalisation de la marijuana apportera des difficultés à une échelle colossale pour certains, tout en offrant de nouveaux secteurs d'économie pour les autres. Et que ce changement d'attribution peut peut-être proprement prédire que nous allons tomber dans des épisodes raciaux. "

    Chez nous ...
    Je regarde souvent des séries américaines mais je sais aussi ce qui se passe chez nous : la drogue est en grande partie, la plus voyante peut-être, vendue par des étrangers ? Français ?, noirs ou musulmans, cette jeunesse qu'on a laissé se perdre dans nos ghettos.
    Aux USA, dans les états où le cannabis se libère, les boutiques et les cultures sont tenues par des blancs ayant pignon sur rue. Ces états voient le nombre de leurs touristes-acheteurs augmenter et les marchands font fortune. Qu'en est-il des quartiers défavorisés qui avant étaient les maîtres du jeu ?
    Qu'en serait-il de notre pays si le cannabis était légalisé et vendu dans les bureaux de tabac ?
    Est-ce que cela voudrait dire que les caïds des banlieues se laisseraient écraser sans réagir ?
    Avec une éducation en grande décadence, avec un chômage en forte augmentation, avec des salaires que le médef veut minimiser au maximum ... nous avons des lendemains désenchantés qui nous attendent ... et je pèse mes mots.

    Demain ... le cannabis ...

     

     


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  • Parabole de l’île déserte

     « Imaginons que des gens soient échoués sur une île. Imaginons que 5 ou 6 d’entre eux soient asiatiques, et un seul, américain. Et une fois échoués sur cette île, ils décident de répartir le travail : un des asiatiques se voit attribuer la tâche de pêcher. Un autre de chasser. Un troisième de rassembler du bois pour le feu. Et ainsi de suite. Et l’américain se voit enfin attribuer la tâche de manger. Ainsi, à la fin de la journée, ils se rassemblent tous pour préparer un festin, et l’américain s’assoit et mange. Enfin : il ne mange pas tout. Il laisse suffisamment de miettes pour que les 6 asiatiques puissent recommencer le lendemain : passer leur journée à préparer un repas que l’américain puisse manger. Maintenant, si vous demandiez à un économiste moderne de regarder comment fonctionne cette île, il dirait : « regardez comme l’américain est vital pour l’économie de l’île. Sans lui, personne n’aurait d’emploi de pêcheur, de chasseur… C’est lui qui crée tous les emplois sur cette l’île ! » Mais la réalité, c’est que la situation de chaque asiatique sur l’île serait grandement améliorée s’ils repoussaient à la mer notre américain : parce qu’alors ils auraient beaucoup plus de poissons et de gibier à manger, et peut-être n’auraient-ils pas besoin de passer toute la journée à pêcher et chasser. Peut-être pourraient-ils passer un peu de temps à se reposer sur la plage. »
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28442

    Parabole ...


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  • C'est la fête aux escargots ...
    Ca mange de tout ces bêtes-là !
    Que votre 1er mai soit joyeux, même pluvieux !
    « Pour rencontrer l’espérance, il faut être allé au-delà du désespoir.
    Quand on va jusqu’au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore. »

    Georges Bernanos

    Il pleut, il mouille encore ...


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