Il ne reste plus qu'à attendre la nuit ...
Alors la, je déteste ce genre de beau temps !
Les voitures font le même bruit que quand il pleut,
oui mais là c'est le goudron qui colle aux pneus !
N'oubliez pas de surveiller vénus à la nuit tombée ..
Miracle ! Voeu ?
Il y a 2.000 ans que l'homme n'a pas vu ça !
Il m'a fallu beaucoup d'années pour vomir toutes les saletés qu'on m'avait enseignées sur moi-même, et auxquelles je croyais à moitié,
avant de pouvoir arpenter cette terre comme si j'y étais autorisé.
James Baldwin

Il y a des choses que vous ne souhaitez pas voir mais la vie vous les jette au visage.
Et puis il y a des mots que vous ne voulez pas entendre,
mais souvent ces mots ne savent pas se taire.
La chose importante est que toutes ces choses ne changent jamais votre façon de penser,
de voir les choses
et que vous restiez qui vous êtes toujours,
continuant votre promenade de front et sans crainte.
Silvia Nelli

Cet article est à vomir.
Ce que ce con dit de la Grèce mais c'est de toute l'Europe dont il parle.
Nous avons tous vécu au-dessus de nos moyens.
On nous disait : votez pour moi et je vous fais la piscine dans la rue ... tout le monde pensait que c'était sans danger ...
Nous sommes tous des républiques bananières ... nous sommes gouvernés par des politicards qui se vautrent dans l'argent public ...
Tsipras est un jeune loup, pas tout blanc sans doute mais enchaîné par les banques, ils vont les faire tous crever ... et ça viendra chez nous après !
Vous voyez bien que le vote ne change rien.
Ou nous nous soumettons ou nous les renversons ... il n'y aura pas de méthode douce.
Perso je ne voterai plus jamais pour ces démocraties aux ordres des banques.
http://www.ouest-france.fr/grece-alexis-tsipras-le-pyromane-3523388

Les butineuses au bord des routes ...
En Norvège, une «autoroute pour abeilles» a été créée dans la ville afin de protéger les butineuses. C'est la première fois dans le monde qu'un tel dispositif est mis en place.
Projet collaboratif
Toits végétalisés, jardins, balcons et cimetières fleuris : de part et d'autre de la ville, cette «autoroute» est en fait un réseau de différentes étapes où les abeilles pourront se réfugier et butiner les fleurs.
http://www.leparisien.fr/environnement/la-premiere-autoroute-pour-abeilles-a-ete-mise-en-place-a-oslo-25-06-2015-4893035.php

J'aime
    ce qu'il y a de peu conforme en toi
    ce qu'il y a d'exilé
    de profond et de différent
    j'aime que tu regardes ailleurs
    Ici du côté des petites choses
    aux émotions immenses
    Un geste un regard un mot de toi
    me rassemblent
    me traversent
    me caressent
    et m'éblouissent
    j'aime que tu te ressembles
    chaque jour tant et plus
    jacques dor

L'île de Man, située dans la mer d'Irlande entre la Grande-Bretagne et l'Irlande, est un endroit où il y a un certain nombre de ponts de fées supposés, mais le plus populaire auprès des touristes est sur la route A5 entre Douglas et Castletown. La coutume locale veut que ceux qui traversent le pont sont censés dire «bonjour les fées" pour leur porter chance, ne pas le faire soi-disant porte malheur. Certains croient encore plus à la coutume en laissant des messages et des cadeaux (comme des ours en peluche, des fleurs, des sous-vêtements) sur le côté de la route.
http://lefeericologue.blogspot.fr/2010/05/le-pont-des-fees.html

Albatross Island en Australie :
Pourquoi voudriez-vous y aller ?
Eh bien, l'île est magnifique, et vous obtenez une occasion rare de voir quelques-unes des plus belles espèces d'oiseaux. Comme le nom de l'île le suggère, l'albatros est la principale attraction de ce lieu. En dehors de cela, vous pouvez repérer des phoques australiens et néo-zélandais, et des petits pingouins.
Pourquoi ne pouvez-vous y aller ?
Albatross Island est une réserve naturelle et le public n'est pas autorisé à accéder à cette zone.

Le chien saint-bernard est une race de grands chiens de montagne, souvent dressés comme chiens de recherche en avalanche. L'imaginaire populaire les affuble d'un tonnelet de rhum accroché au cou qui serait destiné à revigorer les victimes du froid. Cette pratique a été utilisée surtout à la fin du XIXe siècle dans la recherche de personnes perdues dans les montagnes ou victimes d'une avalanche.
La devise du chien du Saint-Bernard est : « Noblesse, dévouement et sacrifice. » Il a pour réputation d'être un chien intelligent, apte à recevoir une formation de sauveteur.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-bernard_%28chien%29

Denis Sarazhin est né à Nikopol, Ukraine en 1982. Il a fréquenté l'académie d'Art et du Design de Kharkov, diplômé en 2008.   Il se spécialise dans la peinture.
http://www.galleryrussia.com/index.php?option=com_rsgallery2&Itemid=53&gid=77&subcat=105&limit=15

Pour les écosocialistes, ce qu’on appelle « crise écologique » n’est pas une crise de l’écologie. Ce n’est pas la nature qui est en crise mais la société, et cette crise de la société entraîne une crise des relations entre l’humanité et le reste de la nature. Selon nous, cette crise n’est pas due à l’espèce humaine en tant que telle. Elle n’est pas due en particulier au fait que notre espèce produit socialement son existence par le travail, ce qui lui permet de se développer et donne de la substance à la notion de progrès. Elle est due au mode capitaliste de développement, au mode capitaliste de production (qui inclut un mode capitaliste de consommation) et à l’idéologie du « toujours plus » productiviste et consumériste qui en découle.

 Le capitalisme ne produit pas des valeurs d’usage pour la satisfaction des besoins humains mais des valeurs d’échange pour la maximisation du profit. Ce profit est accaparé par une fraction minoritaire de la population : les propriétaires des moyens de production. Ils exploitent la force de travail de la majorité sociale en échange d’un salaire, inférieur à la valeur du travail fourni. Ces propriétaires des moyens de production se livrent une guerre de concurrence sans merci qui contraint chacun d’eux à chercher en permanence le moyen d’augmenter la productivité du travail en recourant à des machines de plus en plus perfectionnées. Le « productivisme » (produire pour produire, qui implique de consommer pour consommer) est donc une caractéristique congénitale du capitalisme. Le capitalisme implique l’accumulation. L’économiste bourgeois Joseph Schumpeter l’a dit très simplement : « Un capitalisme sans croissance est une contradiction dans les termes. »
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28834