Mais calme et agréable ...
Maison ouverte, bruits d'ailes ...
Bonne soirée et à demain ...
Il n'est pas nécessaire de courir le monde,
de traverser océan et jungle pour sentir le charme des nuées,
la sève des arbres, le langage des rivières et des nuits.
Joseph Kessel
Voyageuse immobile je suis ...

La femme garde toujours dans sa fenêtre
la lumière de l'étoile,
dans sa main la ligne de vie de son amant.
L’étoile,
dans la fenêtre,
tourne lentement,
y entre et en sort sans arrêt,
le problème s’accomplit,
la silhouette pâle de l’étoile dans la fenêtre
a brûlé le rideau du jour.
Paul Eluard et André Breton

Vous ne pouvez pas penser que les plantes sont des organismes particulièrement bavards ou actifs, mais elles ne sont pas aussi passives que cela puisse paraître. Les plantes ne peuvent pas fuir, elles doivent donc développer d'autres stratégies pour rester en vie.
Elles ont fait évoluer à l'utilisation de produits chimiques pour communiquer avec les insectes  afin de prospérer ensemble. Voici cinq comportements qui montrent comment les plantes peuvent être actives.

1 - Les plantes peuvent appeler à l'aide !
Lorsque vous inspirez la douce odeur de l'herbe fraîchement coupée ou des fleurs coupées, ce que vous respirez réellement c'est leur appel de détresse. "C'est leur façon de crier à l'aide", dit Cahill. L'odeur attire les insectes qui mangent les parasites grignotant actuellement leur organisme. Par exemple, la plante de tabac sauvage peut identifier une chenille sphinx par sa salive. Quand elle est attaquée par cette chenille, la plante de tabac émet un signal chimique qui fait appel à des ennemis de l'insecte. En quelques heures, les prédateurs des chenilles comme les big-eyed bug apparaissent, conduisant idéalement le ravageur au loin.
Les bogues big-eyed, Geocoris spp., Sont de petits insectes (environ 1/6 pouce de long) qui se produisent dans de nombreuses régions du monde. Ils sont généralement considérés comme bénéfiques, car elles se nourrissent sur de nombreux types d'insectes et d'acariens de gazon, d'ornement et les cultures agricoles. Bogues Bigeyed sont parmi les insectes qui reçoivent l'attention des chercheurs en Floride (et ailleurs) pour leur valeur en tant que prédateurs. Pour faciliter l'identification des bogues big-eyed en Floride, une clé pour les adultes et les nymphes des derniers stades est prévu dans cette publication.

Komboloi provient des kombos mot grec qui signifie «nœud», et le lion du verbe, qui signifie «à dire." Il traduit donc "dans chaque noeud, dire une prière." Les moines grecs orthodoxes du Mont Athos en Grèce du Nord ont d'abord créé les perles comme un moyen pour compter la prière. Ils faisait des nœuds sur une corde à intervalles réguliers chaque fois qu'ils avaient prié. Dans la Grèce moderne, ces perles sont devenues un symbole de la culture grecque et sont adopté pour plusieurs utilisations. Elles sont utilisées pour la prière, pour s'exprimer, pour tourner les perles autour de vos doigts ... Pourtant, l'utilisation la plus commune (et la plus contaminée du but original) des perles du Komboloi est pour la protection.
Dieu sait s'ils en ont besoin en ce moment. Ca m'avait frappé en Grèce, au début, c'est vrai qu'on en voit partout. Nous en avions acheté un que mon mari avait accroché au rétro de la voiture ...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kombolo%C3%AF

Epicure était-il un débauché ?
Le terme épicurien connaît, dans la langue d'hier et d'aujourd'hui, un destin curieux : il désigne, contradictoirement deux choses. D'une part, le disciple d'une école austère de l'Antiquité. D'autre part, quelqu'un qui ne pense qu'à jouir des plaisirs.
Si l'on veut être fidèle à Epicure, qui était le contraire d'un débauché, c'est le premier sens qui doit être reconnu. Certes ce philosophe défend une morale hédoniste (du grec hédonè, plaisir) axée sur la recherche des plaisirs. Mais ceux-ci doivent cultiver la sobriété et se limiter à ceux qui sont naturels et nécessaires comme le fait de manger, de boire, de se vêtir avec simplicité et frugalité.
Pour jouir de la vie, explique Epicure, il faut savoir éviter le vide des désirs illimités.

On a toujours le choix, c'est une évidence.
On n'a pas tous les choix mais on a toujours le choix.
Devant toute épreuve, on a l'option d'en mourir ou d'y survivre et devant l'échec, le choix de s'aimer ou de se détruire.
Devant les imprévus, on possède la liberté de rire ou de pleurer et dans l'adversité, le choix de pardonner ou de culpabiliser.
Au milieu de la confusion, on a toujours la faculté de voir et de croire, l'alternative de se fermer et d'oublier.
Au coeur de la détresse, on détient un éventail de paroles et de silences, le loisir de parler ou de se taire.
Devant une décision, on a le pouvoir d'agir ou de rester immobile, et par dessus tout, le choix de rester ou de partir.
Stéphanie Houle

La grotte dite Baumo-Seguro (Vaucluse)
Au XIXe siècle, le célèbre truand Pierre de la Vache avait trouvé refuge dans cette grotte à Ménerbes. Son frère, resté honnête, le dénonça à la police, mais lorsque les policiers arrivèrent pour l'arrêter, il décida de le précipiter lui-même dans le vide et de se suicider avec lui pour ne pas qu'il soit condamné à mort par la justice. On raconte que les fantômes des deux frères se baladent toujours du côté de la grotte Baumo-Seguro et qu'ils s'amusent à pousser les passants du haut de la falaise.
http://arepi.forumpro.fr/t143-les-fantomes-des-deux-freres-de-menerbesvaucluse

Le Mont-Saint-Michel est une commune française située dans le département de la Manche en région Basse-Normandie qui tire son nom d’un îlot rocheux consacré à saint Michel où s’élève aujourd’hui l’abbaye du Mont-Saint-Michel.
L’architecture du Mont-Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie et l'un des dix plus fréquentés en France et même le premier des sites après ceux d'Île-de-France --- avec près de deux millions et demi de visiteurs chaque année (3 250 000 en 20063, 2 300 000 en 20144). Une statue de saint Michel placée au sommet de l’église abbatiale culmine à 170 mètres au-dessus du rivage. Élément majeur, l'abbaye et ses dépendances sont classées au titre des monuments historiques par la liste de 18625 (60 autres constructions étant protégées par la suite6) ; la commune et la baie figurent depuis 19797 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mont-Saint-Michel

Christopher Gorey est un peintre de Nouvelle-Écosse, à l'aquarelle et à l'huile,  très connu. Son travail, principalement traditionnel, représente la belle lumière et le paysage du Nord de Cap-Breton ainsi que d'autres lieux.
http://goreygallery.ca/collections/66482

De nombreuses personnes d’horizons différents nous proposent des articles pertinents pour analyser et essayer de trouver des solutions aux divers problèmes que traversent nos sociétés, notamment pour tenter de résoudre la problématique de la dette, en France comme ailleurs. Malheureusement, beaucoup (la majorité), ne posent le problème et sa solution qu’en termes d’économie de marché et de politique partisane. Alors que ce n’est pas en appliquant quelques recettes que l’on sortira de cette impasse. Le problème restera, pour la bonne raison que sa cause fondamentale réside dans la nature même du système économique dans lequel nous sommes embringués. La solution ne peut en aucun cas se satisfaire de petits ajustements ici ou là !

 Pour dire les choses directement et sans fioriture inutile, ce n’est pas en appliquant l’idéologie du capitalisme prédateur, ce qui est le vrai nom de « l’économie de marché », selon Galbraith, que l’on résoudra le problème. Prenons une métaphore : supposons un renard qui vient manger la volaille des fermiers locaux de façon récurrente. Ces derniers vont le trouver et lui dire : voila Monsieur le renard, nous ne souhaitons pas que nos volailles disparaissent à cause de votre voracité, alors nous vous proposons de ne manger qu’un pourcentage limité de façon à ce que nous puissions toujours disposer d’une quantité suffisante. Les négociations prennent du temps et pour finir un accord est trouvé. Tout le monde est content. Sauf que notre renard, fidèle à sa nature, va continuer à manger de façon très conséquente ces volailles fort appétissantes et tant pis pour l’accord avec les fermiers qui n’engagent qu’eux-mêmes. Quant à nos fermiers, n’osant pas contrarier le renard, ils sont forcés de laisser faire, et de plus en plus d’entre eux se retrouvent ruinés, car le renard, qui n’est pas le seul parmi ses congénères, aura dévoré toutes leurs volailles.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article29054