• Le singe mouffette, aussi connu comme le singe qui pue est un hominidé cryptid qui habiterait les États américains de Floride, de Caroline du Nord, et d'Arkansas, bien que les rapports de la Floride soient plus fréquents. Il est ainsi nommé pour son apparence et l'odeur désagréable qui l'accompagne.
    Les rapports sur le  singe mouffette étaient particulièrement fréquents dans les années 1960 à 1970.
    http://www.mindshadow.fr/histoires-vraies-skunk-ape/

    Monstres ou rêves ?


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  • Dans les années 1950, l'hôpital d'Etat Austin (anciennement le Texas State Lunatic Asylum) a commencé à recueillir les cerveaux de ses patients décédés pour déterminer si la maladie mentale avait une composante physique. Ces cerveaux ont été conservés dans des bocaux qui ont été soigneusement étiquetés avec les noms et les diagnostics des patients, avec près de 200 spécimens en conserve et rangés sur environ 30 ans.
    En 1986, l'espace de stockage devenait un problème. L'hôpital a offert de donner les cerveaux à tous ceux qui voulaient les utiliser comme un outil de recherche. Avec de grandes universités en lice pour les obtenir, la collection a finalement été transférée à l'Université du Texas en 1987.
    Parmi les cerveaux était celui de Charles Whitman, l'infâme ex-marine qui a grimpé une tour à l'Université du Texas en 1966 et a commencé à tirer. Au moment où il a été abattu par la police, Whitman avait déjà tué 16 personnes et blessé 32 autres. Auparavant, il avait tué son épouse et sa mère. Whitman a laissé une note demandant que quelqu'un regarde son cerveau pour trouver une raison pour toutes les pensées qu'il avait eues. Plus tard, il a été découvert qu'il avait une tumeur au cerveau.
    Dans les années 1990, les chercheurs ont jeté un oeil à la collection de l'université de cerveaux, qui n'avait fait que ramasser la poussière jusqu'à ce moment. Quand ils ont cherché le cerveau de Whitman, ils ne l'ont pas trouvé. Avec environ 100 autres cerveaux, il avait disparu.
    Plusieurs personnes à l'université sont venus avec différentes excuses pour expliquer les cerveaux manquants. Les possibilités étaient que les cerveaux avaient été déplacés, jetés, placés ailleurs, ou retourné à l'asile de l'État qui a déclaré ne jamais avoir obtenu les cerveaux en retour.
    Selon une mise à jour de Décembre 2014, entre 40 et 60 des cerveaux ont été détruits par l'université parce qu'ils étaient dégradés au point d'être inutilisables pour la recherche. Cependant, l'université a déclaré que le cerveau de Whitman n'était pas parmi eux.

    Les asiles d'autrefois ...


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  • La grotte des Nageurs est une grotte, célèbre pour ses pictographes du Néolithique, située sur le plateau Gilf al-Kabir dans le désert Libyque, à l'est du Sahara. Administrativement, la grotte est située dans le gouvernorat de la Nouvelle-Vallée au sud-ouest de l'Égypte, près de la frontière avec la Libye.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Grotte_des_Nageurs

    Les premiers artistes ...


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  • Constantin Ivanovitch Gorbatov (en russe : Константин Иванович Горбатов), né le 17 mai 1876 à Stavropol et mort le 24 mai 1945 à Berlin, est un peintre russe post-impressionniste.
    http://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2015/03/Konstantin-Gorbatov.html

    Le monde de Constantin ...


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  • Les « notables » de l’écologie et nous

    Par Gérard Charollois

     

    Les notables de l’écologie, médiatiques, invités des plateaux de télévision et des studios de radios, dissertent volontiers sur les grands maux de la planète, l’impérieuse nécessité de combattre l’effet de serre, l’urgence d’une mutation énergétique, les avancées ou les insuffisances des accords internationaux.

     

     Mais, écoutez-les attentivement. Vous n’entendrez aucun propos concret susceptible de déranger les lobbies, aucune suggestion de nature à gêner les gouvernants qui, en retour, gratifient les « notables de l’écologie » de délégations de missions, de reconnaissances officielles, ouvrant les bouches d’or des médias. Chasse à courre, tirs de loups, gluaux de Provence, lecques de l’Aveyron, persécutions des renards, élevages concentrationnaires et même aéroport de Notre-Dame-des-Landes, surpopulation et méfaits du natalisme, grands travaux autoroutiers sont des sujets tabous, parce que sources de controverses. C’est que tout « notable de l’écologie » doit demeurer généreusement flou, parler des pôles et de la mer, du climat et de l’opportunité de fermer le robinet en se brossant les dents, en veillant à ne fâcher personne. « Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup » et ce loup n’est point celui que traquent les arriérés. Les « notables de l’écologie » communiquent avec efficacité, dépeignent brillamment les menaces planétaires, mais demeurent anthropocentristes.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article30468

    Virons les notables ... du vrai, nous voulons du VRAI ...


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  • Comment France 2 nous intoxique

    Par Raoul Marc Jennar

     

    Le journal de 20H de samedi 30 janvier a fourni une illustration supplémentaire de la volonté de cette chaîne publique non pas d’informer, mais de manipuler l’opinion. On y était habitué depuis qu’elle s’est spécialisée dans le dénigrement systématique de tous les mouvements sociaux. Mais ses prétendus journalistes ont franchi un cap dans la lecture qu’ils ont donnée de ce qui se passe aux USA. Dans une présentation des élections primaires qui vont commencer outre-Atlantique, la présentatrice et le correspondant local de la chaîne ont renvoyé dos-à-dos le démagogue Donald Trump et le socialiste Bernie Sanders au nom de ce qui est présenté comme un même « populisme ».

     

     Historiquement, il y a toujours eu des acteurs politiques qui remettent en question le système. Ils le font au nom d’une idéologie, affichée ou pas. Ce fut le cas tout au long des 19ème et 20ème siècles par des socialistes et par des gens d’extrême-droite. Mais depuis que la social-démocratie a renoncé à contester le système capitaliste pour adhérer au néo-libéralisme, on dérive en Europe vers un système à l’américaine où deux courants politiques adhèrent totalement au système et se concurrencent uniquement sur l’occupation du pouvoir. L’alternative est limitée à des choix de personnes. Désormais, les contestataires du système, qu’ils se réclament de l’idéal social ou de la tradition nationaliste, qu’ils expriment une analyse critique des inégalités sociales ou qu’ils flattent les passions les plus égoïstes, sont qualifiés invariablement par le prêt à penser dominant de « populistes ».
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article30473

    Mais nous devons enfin PENSER par NOUS-MEMES ....


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  • Mais, au bruit, il ne pleut pas !
    Bonne journée !
    L'essentiel est sans cesse menacé par l'insignifiant.
    René Char

    Nuit noire


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