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Je vais m'embarquer pour un voyage interstellaire ...
Belle soirée, longue nuit ...
Choisissez ce qui vous plait ...J'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire :
personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie…
Aujourd'hui je sais que ça s'appelle.. amour propre…
Charlie Chaplin
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Calmement en ce lieu
nous nous étreignons
Dans un monde que nos paroles
parviennent à éclairerCependant terribles sont
les ténèbres informulées.
Nous déchirent ce qui est possible
et ce qui ne l’est pas.Ce qui nous étouffe,
nous fait perdre haleine
Ce sont ces mots doux
qui meurent avant d’être nés.
Leurs fantômes omniprésents
nous entraînent dans l’errance
Dans l’aire libre et splendide
d’un amour désordonné.
Mu Tan
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Elle écrit ses phrases préférées dans des cahiers,
les phrases qui résonnent en elle,
qui arrivent à exprimer
à la perfection
ce qu'elle ressent.
Elle apprend que la plupart du temps,
ce sont les livres qui lisent en nous
et non le contraire.
Fanny Salmeron
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[…] il y a deux manières d'observer les êtres.
L'une consiste à les regarder d'un oeil critique,
peut-être juste, mais sévère ;
c'est l'attitude des indifférents.L'autre est mêlée de tendresse et d'humour ;
elle voit, elle aussi, les fautes,
mais elle en sourit
et ne les corrige qu'avec douceur et gaieté.
C'est l'attitude de l'affection.
Mauriac
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Dans une petite rue calme derrière Westminster Abbey, gardée par de magnifiques maisons géorgiennes du 18e siècle, Garry Usher grimpe sur son échelle, remonte la minuterie du réverbère en gaz et polit le verre d’un geste attentionné et précis.
De retour au sol, il contemple avec satisfaction la lumière douce et chaude qui émane du lampadaire et perce le froid d’une nuit d’hiver londonienne.
Malgré les coupes budgétaires et les économies réalisées sur l’éclairage public, dont l’intensité a été baissée, la capitale britannique compte toujours 1.500 réverbères à gaz nécessitant une intervention humaine à intervalles réguliers.
Ce sont les derniers vestiges des dizaines de milliers de lampadaires déployés dans la ville il y a plus de 200 ans, une merveille de technologie moderne qui avait donné vie à des centaines de rues jusque-là obscures, malfamées et dangereuses.
http://www.lesoir.be/776338/article/victoire/voyages/2015-02-03/des-reverberes-gaz-eclairent-rues-londres
http://www.amusingplanet.com/2016/12/the-sewer-gas-destructor-lamps-of.html
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(...) Car dans Une éolienne en Afrique , William raconte comment, à force d'ingéniosité et de ténacité, il est parvenu contre vents et marées, à construire une vie meilleure pour lui et pour les siens. Ainsi, à travers le quotidien de cet enfant rythmé par les travaux aux champs, les séances de lecture sous le manguier et les expériences en tout genre pour tenter de répondre à des questions auxquelles il ne trouvait pas de réponses (comment fonctionne une radio, un moteur, une dynamo ?), c’est tout un pan de l’histoire du Malawi qui se déroule sous nos yeux...
https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-enjaillee-de-la-niece/la-chronique-enjaillee-de-la-niece-12-mai-2013
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://en.wikipedia.org/wiki/William_Kamkwamba&prev=search
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8 - Pommes ...
Les pommes fleurissaient dans l'est de la Turquie. Après avoir exploré le Kazakhstan au IVe siècle avant notre ère, Alexandre le Grand introduisit des pommes naines en Macédoine. Les Romains ont attrapé le vent et les gens ont commencé à greffer et à croiser l'arbre pour faire les nombreux cultivars que nous connaissons aujourd'hui.
http://www.lesfruitsetlegumesfrais.com/fruits-legumes/fruits-a-pepins/pomme/coin-des-curieux
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8 - Dundeya ...
Les voyages de sir John Mandeville, écrit au 14ème siècle, étaient une source très populaire d'information sur le monde. Cependant, ils comprenaient des histoires étranges de ce qui pourrait être trouvé dans les terres de l'Asie. Par exemple, Mandeville ce qu'il a écrit au sujet d'une grande île appelée Dundeya, qu'il disait située au sud du Sri Lanka. Cette île dominait 54 grandes îles, qui abritaient des peuples divers : "Dans l'une, il y a une race de grande taille, comme des géants, hideuse et horrible à regarder; Ils ont un œil seulement, au milieu de leurs fronts. Ils mangent de la chair crue et du poisson cru. Dans une autre partie, il y a des gens laids sans tête, qui ont des yeux dans chaque épaule; Leurs bouches sont rondes, comme un fer à cheval, au milieu de leur poitrine. Dans une autre partie il y a des hommes sans tête dont les yeux et la bouche sont sur le dos ...."
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Chez le photographe australien Lloyd Meudell, tout repose sur les détails et l’atmosphère. Il immortalise ainsi des vagues, immenses masses d’eau, montant vers le ciel avant de s’abattre. Un focus intéressant et esthétique sur le caractère aussi fascinant que potentiellement destructeur de la nature.
http://www.fubiz.net/2016/12/27/impressive-photographs-of-waves-looking-like-mountains/
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Cheong Soo Pieng était un artiste singapourien qui a été un pionnier du style art Nanyang, et une force motrice pour le développement du modernisme dans l' art visuel au début du 20ème siècle à Singapour. Il était aussi connu pour sa représentation des peuples autochtones tribaux.
https://www.artsy.net/artist/cheong-soo-pieng
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