• Alors comme ça, Nantes serait surveillée de près ?

    Combattre les violences policières et les mensonges d’État

    Par Sandra Cormier

     

    Pas de fête de la musique après 4 heures du matin... mais la fête de la matraque à Nantes ! Pour prétendument rétablir le calme dans une friche portuaire déserte, une soirée électro a été violemment interrompue par des tirs de lacrymogène, grenades explosives, balles en caoutchouc... Des jeunes ont été poussés à se jeter dans la Loire. Et l’un d’entre eux, Steve, a disparu. Pourquoi un tel déferlement de violence pour un dépassement de l’autorisation d’émettre du son d’environ 30 minutes ? Comment peut-on mourir pour quelques notes de musique en plus ?

    Logique liberticide et autoritaire

     
    La réponse n’est pas tant à chercher dans une hypothétique bavure ou erreur de commandement. Derrière de tels actes s’exprime en effet une logique profonde et systémique. Une logique particulièrement à l’œuvre à Nantes qui, depuis l’existence de la ZAD et du mouvement de résistance à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, est l’un des laboratoires privilégiés du maintien de l’ordre de l’appareil d’État.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article41719

     

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