• Ces hommes qui dérangent ... ONFRAY, ZEMMOUR ...

    Michel Onfray : Plaidoyer pour un homme que d’aucuns voudraient faire taire ...

    Le nazisme islamique, qui sévit en France, ne démentira en rien cette approche. Pas davantage les différents crimes, dont l’horrible décapitation de Mr Samuel Paty, professeur d’histoire, pour avoir fait œuvre de pédagogie en promouvant les principes républicains de laïcité, utilisé la libre expression que les lois françaises autorisent. Un stratagème surréaliste entre un « dieu islamiste » inexistant qui relève de la foi et une religion s’autorisant à imposer sa loi sur notre territoire, par petites touches de visibilité avec la complaisance des autorités, indispose autant qu’il inquiète. Car c’est au nom de la lutte contre l’islamophobie, elle aussi inexistante, car inventée par les frères musulmans, que l’islamisme s’impose (charia, voile, blasphème). La phobie de l’islamisme est devenue bien réelle et c’est heureux, car on a encore le droit d’avoir peur des idéologies destructrices et de personnes détraquées manquant d’éducation, de discernement, sans conscience, ainsi, d’avoir des ressentis ! Car enfin, au nom de quoi et comment serait-il répréhensible de dessiner librement une caricature et d’en arriver à décapiter un Professeur ? Convenons que le mode d’expression est disproportionné. Qu’en l’espèce, évoquer le délit de blasphème est donc délirant et inconséquent. En ce sens la question de Michel Santacroce « Onfray coi maintenant ? » apparait incongrue. Selon cet auteur, « L’autre ONFRAY philosophe, (…) hédoniste (…) pose plus de problème qu’il n’apporte de solutions. Cet Onfray-là est beaucoup plus terrifiant, il casse beaucoup et construit peu ». Prise ici en véritable flagrant délit d’opinion, de procès d’intention et de jugement de valeurs, par une frange « bien-pensante » culpabilisatrice d’intellectuels zélés cette thèse ne tient pas. Force est de constater que Michel Onfray Casse peu et construit beaucoup. Par ses productions, il permet à quiconque le souhaite, par l’effort, de philosopher, de s’élever à la connaissance. En cela, il n’est pas un Dominus, mais un véritable Magister, qui souhaite non seulement que son enseignement soit compris mais qu’il soit dépassé.

    Osons le dire Michel Onfray frappe juste. Il cherche par-delà Nietzsche à penser, selon l'esprit de Spinoza, vers une philosophie du bonheur, pour ainsi nous conduire vers une réflexion constructive, contenue dans l'idée de son traité sur l’éthique de « ne pas juger, ne pas se lamenter, mais de comprendre ». Hélas ! Comme il le dit lui-même selon l’esprit de Nietzsche : « les gens préfèrent des mensonges qui les rassurent, que des vérités qui les dérangent. », tout cela bien souvent parce qu’ils n’aiment pas être contredits. Michel Onfray permet de guider la pensée hors des sentiers battus. Ancré dans le réel d'un appareil d'État profond et de ses apparatchiks qui nous font prendre des vessies pour des lanternes, les symboles forts, ne manquent pas. Comme Molière, il châtie les mœurs en riant ! Rions-en !
    https://frontpopulaire.fr/o/Content/co348236/michel-onfray-plaidoyer-pour-un-homme-que-d-aucuns-voudraient-faire-taire

     

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