L’infecte Ursula von der Leyen, figure caricaturale d’une Europe technocratico-luthérienne où l’obsession du conformisme et la duplicité morale le disputent à la dissimulation systématique et à la corruption passive, s’est fendue d’un tweet exemplaire.

Quelle justesse de ton, Ursula ! Comme tu fais bien d’envoyer en travers de la gueule du foutriquet élyséen, président très provisoire de votre association de malfaiteurs, ces mots qui suintent la condescendance et le dédain. Ton abyssal mépris de Macron et, par un ricochet bien mal venu, de la France et des Français, s’affiche ici sans aucun complexe. Prenez, les gueux ! Faites tinter la gamelle que Tata Ursula accepte de remplir avec votre pognon ! À la mangeaille, les Gaulois ! Allez, y’en aura pas pour tout le monde !

Elle voudrait précipiter la défaite du jeune narcisse qu’elle ne s’y prendrait pas différemment, Ursula.

Avec sa bonne tête de femme-pasteur pro-avortement, sa bombe de laque L’Oréal dispersée sur sa blondeur honteuse, son tailleur sans âge et son sourire hémorroïdaire, on voit bien qu’elle prend son pied.

Pensez ! Elle qui se fait tailler des shorts en permanence et à peu de frais par 27 roquet.te.s qui se prennent pour des bouldogues… Franchement, quel pied. Ça valait bien le coup de bouffer son chapeau avec Erdogan !
J.-M. M.