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Cette presse qui utilise la bêtise du peuple ...
Les deux semaines qui viennent de s'écouler montrent que c’est toujours la presse bien-pensante qui fabrique ou propage du mensonge idéologique en série, dénonce notre chroniqueur Gilles-William Goldnadel.
Ainsi, à peine le rapport Lancet clouant au pilori la chloroquine et par voie de conséquence son principal promoteur, le professeur Raoult, était-il publié que, sans désemparer, et sans rien vérifier, la presse « anti populiste », dans l'extase, serrait dans la même armoire pharmaceutique de la disgrâce et le produit et le médecin promis à être maudits.
Quelques jours plus tard, le Lancet faisait amende peu honorable et décrédibilisait pour longtemps une créance populaire dont les élites scientifiques se prévalaient il y a encore quelques mois.
Arrive Virginie Despentes. Ou plutôt France inter vient la chercher dans les oubliettes où elle se trouvait depuis qu'elle avait rendu un hommage obscène aux terroristes islamistes.
À 8:55 minutes, le jeudi 4 juin, M. Augustin Trappenard a cru devoir lire avec componction une lettre de la précitée concernant le racisme généralisé qui sévirait dans la police française à l'encontre des populations « racisées », selon l'expression désormais en vigueur sur notre radio d'État fiscalisée. Parmi de nombreuses incongruités, l'écrivaine inspirée nous révélait qu'elle a 50 ans - ce que nous croyons bien volontiers et sans barguigner - et qu'elle ne pouvait que déplorer n'avoir jamais été en mesure de voir dans un gouvernement français un ministre noir.
Dès lors de deux choses l'une : l'écrivaine est daltonienne ou Mesdames Taubira Christiane et Yade Rama ont changé de couleur de peau.
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/goldnadel-rapport-lancet-bidouille-lettre-de-despentes-demente-traore-la-legende-doree-qui-fabrique-du-fake-120245
Tags : presse, sans, deux, francais, serrait
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