• Coiffure ...

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    Descendre, à travers ma rêverie, en silence,
    Les lions, de ma robe écartent l’indolence
    Et regardent mes pieds qui calmeraient la mer.
    Calme, toi, les frissons de ta sénile chair,
    Viens et ma chevelure imitant les manières
    Trop farouches qui font votre peur des crinières,
    Aide-moi, puisqu’ainsi tu n’oses plus me voir,
    À me peigner nonchalamment dans un miroir.
    Stéphane Mallarmé (extrait)


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