Marine, refuser la main tendue de Zemmour, c’est trahir la France !

Et si j’en veux autant ce matin à Marine Le Pen, qui était mon second choix puisque entre deux maux il faut choisir le moindre, c’est que, sans tarder, elle et ses cadres démontrent à quel point, malgré leur patriotisme, celui-ci passe néanmoins « après » le  véritable intérêt du pays.

J’en veux pour preuve, les petites phrases, lâchées dès dimanche soir, par elle et son « président par intérim », à propos de la main tendue (sans tarder un seul instant après sa honteuse et bidouillée  élimination) d’Éric Zemmour, à qui elle n’ose donner une fin de « non-recevoir », mais en insistant lourdement sur le fait qu’elle n’envisage pas une « union des droites »,  mais que, dans sa grande générosité, elle accepterait les voix de leurs adhérents… sous le seul nom de R.N. au lieu d’appeler à voter au second tour pour les candidats des autres droites, mieux placés pour gagner !

Marine qui a été tout sourire lors de son second affrontement avec le monstre de suffisance ne cessant de l’humilier pendant le débat, par ses mines affectées, moqueuses, supérieures…qu’elle a supportées sans trop se rebiffer ; et qui surtout n’a  pas eu le courage de rentrer violemment dans le lard de ce cuistre, alors qu’un véritable boulevard en or s’offrait à elle pour le terrasser avec  moult preuves de sa fausseté…

Cette Marine-là, est sans pitié pour celui qui a osé « marcher sur ses platebandes » ; n’ayant pas  su reconnaître qu’il lui était bien supérieur et qu’au lieu d’en faire son allié elle l’a immédiatement vilipendé… se mangeant les retour de bâton qu’elle méritait !
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