Là où malgré ses dérives, il restait encore à Chirac un zeste de gaullisme et un minimum de sens politique, c’est qu’il savait pertinemment que les français étaient opposés aux guerres menées par l’OTAN, et il n’a pas outrepassé cette limite démocratique.

Contrairement aux trois crapules qui lui ont succédé.

Dont le dernier, le petit branleur préœdipien agissant pour le compte des banquiers, qui tente de précipiter la France dans une guerre qui n’est pas la sienne…