• Il fait revivre des instruments de musique oubliés ...

    Aujourd'hui, peu de musiciens jouent du yazh, un ancien instrument tamoul traditionnel à cordes ressemblant à une harpe - sa présence a été largement reléguée aux musées, aux pièces de recherche et aux rares collections privées. Pourtant, Tharun Sekar, 23 ans, a accumulé suffisamment de savoir-faire pour en fabriquer un dans son propre atelier et déclare qu'il est ouvert à plus de commandes.

    «La recherche à elle seule a pris deux mois entiers et il en a fallu deux ou trois autres», explique Tharun lors d'un appel téléphonique depuis son domicile de Chennai, auquel il est actuellement limité en raison des règles de distance physique en vertu du verrouillage national COVID-19. Mais Tharun ne se plaint pas, car sa maison de Kodambakkam est aussi l'endroit où se trouve son petit atelier-atelier ouvert et vert. "Nous utiliserions normalement cet espace pour répéter", explique Tharun, qui forme la moitié de la formation folk-pop tamoule à deux hommes Othasevuru, "Mais c'est aussi l'espace où j'ai commencé à fabriquer des instruments." Jusqu'à présent, il a fabriqué une variété d'instruments de musique occidentaux; c'est avec le yazh qu'il dévoile sa tenue Uru, visant à créer des instruments traditionnels moins connus du monde entier. «À Uru, j'essaie de repenser les instruments folkloriques, les rendant plus faciles à jouer et à entretenir.Je veux mettre la jouabilité de ces instruments aux normes mondiales, afin que tout le monde puisse les apprendre.
    https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.thehindu.com/entertainment/music/chennai-musician-reinvents-ancient-instruments-from-around-the-world/article31270960.ece&prev=search&pto=aue

     

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