• Il y a des fois où les torts doivent bien être partagés ...

    Donc, dans la famille spectacle, je réclame « LA » vedette, Monsieur Placido Domingo, l’homme à la voix d’or, actuellement – mais sûrement plus pour longtemps – directeur des opéras de Los Angeles et Washington

    Des dames viennent de se souvenir qu’il leur aurait téléphoné nuitamment, les aurait invitées à dîner, leur aurait posé la main sur les genoux, défroissé le jupon, peut-être pratiqué un massage lymphatique sur le mollet… On ne sache pas qu’il leur ait dégraissé les cordes vocales d’un furieux coup de langue – bien que leur carrière ait été lourdement affectée par ces assauts de galanterie déplacée, disent-elles –, mais nous ne sommes qu’au début des révélations sur ce vilain satyre.

    Après les cinéastes et les acteurs, voilà maintenant les chanteurs qui arrivent dans la porcherie déjà bien garnie. Ceux-là étaient trois, « Les trois ténors », à courir et couvrir le monde de leurs voix de stentors. Dans le trio, le pauvre José Carreras a dû se retirer, victime d’une leucémie. Le grand et gros Pavarotti est mort en 2007. Certes, on pourrait aller cracher sur sa tombe et pleurer dans son grand mouchoir mais j’attends, vu sa masse, la première qui viendra se plaindre de l’avoir eu sur le ventre (qu’on me pardonne ma trivialité)… Reste donc Domingo.
    https://www.bvoltaire.fr/domingo-epstein-mon-dieu-mon-dieu-que-les-femmes-sont-betes/

     

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