Macron, le grand liquidateur « quoi qu’il en coûte »
Notre essayiste dresse dans ce bilan de la macronie un constat affligeant du premier quinquennat de celui qui se donne des proportions jupitériennes. Macron est conscient de son bilan calamiteux, ce qui explique son empressement à s’occuper des affaires ukrainiennes plutôt que de défendre son actif lors de la campagne électorale. Plus facile de parler de paix à l’autre bout de l’Europe que de justifier ses décisions passées. Donner trois cents millions d'euros à Zélensky, des chars Leclerc, de l'outillage pour embêter les soldats russes plutôt que de financer nos hôpitaux, nos écoles, ainsi que nos retraites...