20 novembre 2021 Salem Benamma

Quand j’avais écrit un jour que les gouvernements occidentaux sont les meilleurs alliés de l’islam de par leur attitude trop complaisante  à son égard on m’a traité de Cassandre, de radical et de haineux. Comme si en dénonçant le radicalisme consubstantiel de l’idéologie musulmane, j’aurais franchi la ligne jaune.

En effet, plus l’islam bénéficie d’une impunité coupable, plus la colère gronde au sein des autochtones et plus le rejet de l’islam s’accroît et son corollaire le rejet du système lui-même avec des risques de guerre que je ne saurais qualifier de civile dans la mesure où les forces antagonistes ne sont pas issues du même psys historiquement.

Une sorte de guerre de libération et de refus de se soumettre à un redessinement du pays politique, culturel et humain de leur pays.

Des réelles menaces pèsent sur leur avenir et celui des générations futures et que si rien est fait pour contrer l’expansionnisme musulman, ce n’est pas des enclaves perdues de leurs territoires comme il en existe des milliers dans tout l’Occident, ce seront des pays entiers qui tomberont dans l’escarcelle de l’islam. Adieu l’Occident et bienvenue à l’Occidenstan.

Ce n’est pas de l’extrémisme que vouloir résister au péril musulman, c 'est ne pas retenir les leçons de l’histoire qui avait des grandes civilisations tombées comme des feuilles mortes sur son chemin de conquête. L’ennemi n’est fort que si on lui abandonne le champion de bataille. Et l’islam a toute la latitude pour la gagner faute d’être combattu.
https://ripostelaique.com/lislam-aurait-du-subir-le-meme-sort-que-son-clone-nazi.html