Apparu pour la première fois en anglais en 1607, le mot « pimp » proviendrait de l'infinitif français « pimper » qui signifie s'habiller avec élégance. De nos jours, cependant, le terme a pris un tout nouveau sens honteux (proxenete). Néanmoins, une telle ligne de travail ignoble a eu sa part de moments colorés dans l'histoire. De l'époque de Caligula au 21e siècle, les dix suivants explorent le monde souterrain obscène d'une « profession » qui a été à la fois vilipendée et vénérée (selon le parti) pendant des siècles et peut-être des siècles à venir. (Listverse)

Indépendance en ligne ...

Selon les dossiers du ministère de la Justice, les arrestations pour prostitution de 1990 à 2011 ont chuté de près de 50 % aux États-Unis. La raison de ce déclin est due au fait qu'Internet permet aux escortes férus de technologie de contourner leurs Mack Daddies. De telles pratiques ne font pas rire un proxénète et franchement, cela donne à réfléchir. Bien qu'elle soit toujours illégale comme toute autre forme de prostitution, la police en général est moins encline à mener des opérations coûteuses pour un individu qu'une rafle dans la rue. Internet invite également les « dames de la nuit » en raison des allégations selon lesquelles elles « ont tendance à avoir des pratiques sexuelles plus sûres et ont souvent des clients fidèles ». Mais en fin de compte, être en ligne est beaucoup plus lucratif. 93 % des escortes en ligne sont « indépendantes » contre 40 à 80 % qui marchent dans les rues sous le contrôle total d'un proxénète. En moyenne, les escortes haut de gamme d'aujourd'hui facturent 500 $ de l'heure et plus, dont aucun n'est confisqué à un salaud dans un costume flamboyant et des chaussures à plateforme violettes.