Apparu pour la première fois en anglais en 1607, le mot « pimp » proviendrait de l'infinitif français « pimper » qui signifie s'habiller avec élégance. De nos jours, cependant, le terme a pris un tout nouveau sens honteux (proxenete). Néanmoins, une telle ligne de travail ignoble a eu sa part de moments colorés dans l'histoire. De l'époque de Caligula au 21e siècle, les dix suivants explorent le monde souterrain obscène d'une « profession » qui a été à la fois vilipendée et vénérée (selon le parti) pendant des siècles et peut-être des siècles à venir. (Listverse)

Dictionnaire Webster pour souteneurs ...

Les proxénètes qui s'enorgueillissent principalement de la manipulation psychologique ou en inondant leur "propriété" de cadeaux ou d'affection sont connus sous le nom de " Finesse / Romeo Pimps ". Cependant, ne vous laissez pas tromper par le nom car la menace de violence est constamment présente et se fait souvent bien connaître. C'est ce qu'on appelle une "coupe de tête" - ou en termes simples - lorsqu'une fille reçoit une raclée sévère. Les victimes qui se prostituent dans les relais routiers sont connues sous le nom de "Lot Lizards" tandis que celles qui n'appartiennent à personne sont des "renegades". De plus, les règles traditionnelles du proxénète stipulent que si une fille établit un contact visuel avec un autre proxénète, elle « choisit », lui permettant ainsi de devenir officiellement « propriétaire ». Pour cette raison, les femmes à qui l'on parle doivent garder les yeux au sol en tout temps. Si le propriétaire d'origine veut récupérer sa propriété, il doit payer des frais au nouveau proxénète. En fin de compte, la fille serait obligée de travailler beaucoup plus dur pour remplacer l'argent perdu dans la transaction et, très certainement, recevrait une "coupe de tête". Il est peu probable qu'un vocabulaire aussi sophistiqué soit jamais enseigné dans les écoles, bien que de nos jours, qui sait.