Dans le passé, le commerce signifiait la différence entre la croissance ou demeurer un village en difficulté. L'ancien commerce est devenu remarquablement sophistiqué. Même ainsi, les pièces manquantes restent sur les commerçants, leurs réseaux, et ce qui a changé de mains.
Des trouvailles récentes ont comblé quelques lacunes mais ont seulement rendu tout le phénomène plus fascinant. Les chercheurs ont découvert que le même produit détenait des valeurs différentes pour différents groupes, les articles modernes communs étaient pour les riches seulement, et les relations existaient dans des sociétés et des pays ce qui n'avait jamais été pensé possible avant.
Mais le commerce avait aussi son côté sombre. Il répand la maladie et la possibilité de piller.

Les marchés Mayas ...
Pendant longtemps, les érudits croyaient que les Mayas n'avaient pas de marché. Cela découle de la notion selon laquelle l'élite distribuait de la nourriture aux civils pour les services et la loyauté, en supprimant le besoin de commerce.
Mais les villes mayas avaient plus de gens que leurs fermes pouvaient nourrir. Même les chercheurs ne pouvaient pas rater ce fait. De plus, à partir de l'an 300-900 de notre ère, les colonies incluaient des espaces ouverts sans but précis. Ces zones étaient suffisamment grandes pour être des places de marché, et en 2007, des échantillons ont été trouvés pouvant être comparés avec un marché moderne.
D'abord, le sol a été extrait de Chunchucmil dans la péninsule du Yucatan. En laboratoire, les tests ont cherché du phosphore, un produit chimique présent dans tous les produits biologiques. Tout marché alimentaire laissera des traces derrière lui. Quand ils se décomposent, le phosphore résilient reste dans le sol.
Les résultats ont montré que les zones ouvertes contenaient jusqu'à 40 fois plus de phosphore que les rues ou les patios mayas. Le Guatemala détient le dernier marché encore commercial sur une surface terreuse. Il a fourni une signature chimique similaire aux échantillons anciens. C'était suffisant pour prouver que les Mayas avaient une économie de marché.