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En Russie, le jour de la Victoire, marquant la fin de la « Grande guerre patriotique », est le plus grand jour férié de l’année. Un jour où les Russes se souviennent des 27 millions de vies sacrifiées pour contrer la menace d’anéantissement que représentait l’avancée nazie.
27 millions de vies auxquelles les pays européens alors en guerre doivent leur liberté. Car, soyons lucides, sans les Russes, aujourd’hui nous parlerions sans doute tous allemand, et les Américains n’auraient jamais pu débarquer.
Le sacrifice des Russes restera, quoi qu’en disent les rabat-joie de Washington et les moutons de l’UE, le martyre le plus héroïque, le plus extraordinaire de l’histoire. Un espace-temps particulier où la Russie s’est non seulement sauvée elle-même de la machine de guerre nazie, mais où elle a également sauvé conjointement nos civilisations et sans nul doute une partie de l’humanité.
Les Russes referaient-ils un tel sacrifice en connaissance de cause s’ils avaient pu savoir comment les Occidentaux, loin de leur être reconnaissants, les remercieraient ainsi dans l’avenir ? Gageons que oui. Il n’est pas en effet dans la nature d’un Russe d’abandonner les siens pas plus que ceux qu’il considère comme faisant en quelque sorte partie de sa « famille ». « On n’abandonne jamais les nôtres » m’écrivait récemment l’un d’eux, et c’est tout à leur honneur ! https://ripostelaique.com/le-regiment-immortel-et-la-victoire-contre-les-nazis-merci-les-russes.html