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Migrations ...
Je parcours un pays très étrange.
J’aime la forêt,
son silence cadencé,
j’aime la mer,
ses vagues toujours nouvelles et ses voiliers chantant,
là-bas, au plus haut de l’horizon, papillons du soleil levant
Les enfants sont adorables,
qui dessinent ainsi le pressentiment et l’aventure.
Et les hommes sont absents.
Maurice Blanchard (extrait)Tags : j’aime, migrations, vagues, mer, toujours
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