L'Algérie possède la plus grande partie du Sahara, le plus grand nombre d'oasis, et une extraordinaire variété de terrains sablonneux surréalistes. En raison de la situation politique interne, il a été difficile pour les étrangers de s'y rendre pendant les quinze dernières années. Les oasis de l'Algérie ont été développées avec trois méthodes distinctes d'irrigation. Certains utilisent des aqueducs ou des foggaras souterrains, un système qui a pris naissance en Perse et a été exporté en Afrique du Nord au deuxième siècle. Les autres oasis du désert utilisent des dépressions creusées dans le sable pour atteindre les aquifères peu profondes où l'eau est rédirigée à dos de chameau, âne, ou une pompe mécanique pour irriguer les petits jardins familiaux. Un troisième type d'oasis dépend de coudes dans de longues rivières souterraines, où le substrat rocheux crée un barrage naturel qui apporte de l'eau près de la surface. Alors que l'Algérie est un producteur majeur de pétrole avec des prix du carburant bon marché, la plupart des méthodes d'irrigation traditionnelles ont été abandonnées pour les pompes modernes et des systèmes d'irrigation par pulvérisation, mais dans certains endroits une histoire vivante révèle la sagesse des anciens. Et les différentes villes d'oasis ont chacune des styles architecturaux distincts et beaux. Le Sahara central, dans l'extrême sud de l'Algérie, est dominé par des vents forts Harmattan qui parcourent le paysage, les dunes,  en sculptures surréalistes dans une mer de sable. "
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