En raison de traditions culturelles ? Pour l'épanouissement personnel et le sens de l'identité ? Pour faire comme tout le monde quand c'est la mode ? Mais pourquoi les tatouages sont-ils si fascinants ? Est-ce les outils utilisés pour faire ces marques ou les histoires qui se trouvent sous la surface de l'encre ?
Cette liste rassemble un groupe diversifié de pièces de tatouage, de traditions et d'histoires intéressantes et répondant à certaines de ces questions.
(listverse)

William Lithgow ...

était un Écossais qui a parcouru le monde et a documenté ses aventures dans plusieurs œuvres littéraires du 17ème siècle. Lors d'une visite à Jérusalem, lui et quelques compagnons ont eu leurs tatouages ​​de pèlerinage. Le tatouage de Lithgow était une citation professant sa fierté et sa loyauté envers la monarchie de son pays. Il a écrit du tatouage :

Au cours de la dernière nuit de mon séjour à Jérusalem, qui se trouvait sur la tombe sainte, je me souvenais de ce devoir impérieux et de ce zèle aimant que je dois à mon prince nata l; que je reconnais en toute humilité (prochain et immédiat au Christ Jésus) être le chef suprême et le gouverneur de la vraie église chrétienne et catholique; Par le souvenir de cette obligation, je dis, j'ai causé un seul Elias Bethleete, un chrétien habitant de Bethléem, sur la chair de mon arme droite, La Crowne jamais vaincue d'Écosse, et la désormais imparable Crowne d'Angleterre, se réjouirent aussi de il, avec cette inscription, peinte en lettres, dans le cercle de la Crowne, Vivat Jacobus Rex.

À l'époque, la plupart des tatouages ​​de pèlerinage ne contenaient que des emblèmes et des citations chrétiens. Lithgow a eu d'autres tatouages ​​de pèlerinage, mais ils n'étaient mentionnés que dans les annotations.

Dans ses biographies, il a souvent été qualifié d'espion. Lors d'une de ses aventures en Espagne en 1620, il fut capturé et torturé pour avoir fourni des informations cruciales à un navire anglais. En essayant d'obtenir des aveux de Lithgow, des inquisiteurs espagnols lui ont coupé le tatouage et une quantité considérable de chair du bras.

Son récit de l'événement était le suivant: «Le corrigidor. . . a donné la direction, à Teare un Sunder, le nom, et Crowne (comme il l'a dit) de ce roi Hereticke, et ennemi juré de la Holy Catholicke Church. . . couper la corne, les nerfs et la chair jusqu'aux os nus. »

Lithgow ne s'est jamais complètement rétabli et a évité de justesse d'être brûlé sur le bûcher. Plus tard, il est retourné en Grande-Bretagne.