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    Greta, la pucelle écolo indifférente au CETA

    Toutes les croisées ne se valent pas


    En visite en France cet été, Greta Thunberg, interrogée sur ce qu’elle pensait du CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement), la veille du vote, a déclaré qu’elle n’avait pas d’avis sur la question. Une béance révélatrice.


    L’été se termine, les vacanciers sont rentrés chez eux à pied, à cheval, en voiture ou en bateau à voile chantait Yves Montand. Greta Thunberg a choisi la voile. Pas pour rentrer en Suède mais pour continuer son périple et porter la bonne parole climatique. Pourquoi pas, c’est chic, ça pollue peu. Dommage que le reste de son « équipe » ne lui ait pas emboîté le pas et ait choisi l’avion. Bilan carbone négatif.

    Pas le choix dans la date

    La jeune fille était d’abord passée par la France. L’ironie, et surtout une invitation de députés membres du collectif transpartisan « Accélérons », la firent transiter sous nos latitudes autour du 23 juillet, journée fatidique où fut adopté par une Assemblée désunie le fameux CETA (Comprehensive Economic and Trade Agreement, en français l’Accord Économique et Commercial Global), accord de libre-échange visant à faciliter (c’est-à-dire augmenter à hauteur de 25%) les échanges commerciaux entre les États membres de l’Union Européenne et le Canada (mais aussi, de facto, les États-Unis, tant leurs économies sont mêlées).
    https://www.causeur.fr/greta-thunberg-ceta-climat-165557

     

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