• que l'homme qui a créé tout ce chaos ?

    Un groupe d'abeilles découpeuses de feuilles butinent le nectar et le pollen lors d'une matinée de mai inhabituellement chaude au Bandelier National Monument, dans le nord du Nouveau-Mexique. Minuscules, avec peu de marques lumineuses, elles ne ressemblent guère à des abeilles.
    Mais Olivia Carril est excitée de les repérer. Elle ramasse une poignée d'abeilles dans son filet, puis les transfère rapidement dans des flacons de verre.
    Jusqu'à ce que Carril, scientifique indépendante et coauteure d'un guide de terrain pour les abeilles nord-américaines, ait commencé son étude il y a un an, on ne savait pas combien d'abeilles se trouvaient à Bandelier: deux espèces seulement avaient été répertoriées. Mais en un an, elle a ajouté au moins 46 espèces à la liste.
    Le public entend souvent des histoires d'abeilles en danger, avec des abeilles menacées par l'effondrement des colonies et la première abeille continentale des États-Unis, le bourdon rouillé, classé en danger en 2017. Mais des scientifiques comme Carril montrent que la situation est plus compliquée pour les abeilles indigènes, soulevant une foule de questions sur l'utilisation généralisée des pesticides, la perte d'habitat et les changements climatiques.
    Les abeilles du désert ont un ensemble unique de stratégies pour survivre à des conditions difficiles. Et les abeilles sont les plus diverses dans les environnements arides du monde entier, suggérant leur persistance au cours des époques passées de sécheresse. Leurs stratégies se révéleront-elles suffisantes à une époque de changements climatiques anthropiques ? Est-il temps d'en apprendre davantage sur les abeilles indigènes avant qu'il ne soit trop tard ?


    Les abeilles sont-elles plus intelligentes ...


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  • Les chiens ont servi de compagnons fidèles et de travailleurs sous-payés pour des milliers d'années. Bien que tous n'aient pas apprécié l'effort, certaines cultures ont dûment payé leur respect de façon étrange ou réconfortante.

    Le cimetière des chiens à Asnières ...
    Fondé en 1899 à Asnières-sur-Seine près de Paris, Le Cimetière des Chiens et des Animaux Domestiques est le cimetière des animaux le plus ancien au monde et célèbre particulièrement les chiens.

    La plupart des 40 000 tombes en pierre du cimetière ont la forme de niches et sont ornées de statues de repos. Le cimetière abrite également un monument dédié au chien de sauvetage le plus célèbre de l'histoire, Barry le Saint Bernard. Selon les traditions, Barry a sauvé 40 vies dans le col du Saint-Bernard, en Suisse, avant d'être baïonneté par un soldat napoléonien qui l'a pris pour un loup.

    En réalité, Barry est mort paisiblement dans son lit après une carrière réussie. La vraie vie Rin Tin Tin est également enterré ici. Les animaux vivants sont logés, aussi, avec un sanctuaire de chat errant et une alimentation située à l'arrière.

    Notre meilleur ami : le chien ...


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  • Le parc national de Madidi en Bolivie va de la plaine au sommet de la montagne, de 600 pieds à près de 20 000 pieds au-dessus du niveau de la mer. Il couvre plus de 7 000 miles carrés d'habitats très différents. C'est, selon Rob Wallace, un écologiste de la Wildlife Conservation Society en Bolivie, «un endroit où l'Amazone rencontre les Andes».
    https://www.nytimes.com/2018/05/22/science/bolivia-madidi-national-park.html?rref=collection/sectioncollection/science&action=click&contentCollection=science&region=rank&module=package&version=highlights&contentPlacement=6&pgtype=sectionfront

     

    Vous manquez d'idée pour les vacances ?


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  • Loui Jover
    Artiste européen émigré en Australie dès son plus jeune âge, Loui Jover fait partie de ces créatifs qui associent une esthétique élégante à une logique de réutilisation. Quand de vieux livres sont font œuvres d’art…
    Né en 1967 en Europe, Loui Jover immigre rapidement en Australie où il développe un goût et un talent assez prononcé pour le dessin. Talent qui le poussera à faire des études en art dès 1980, grâce à un cours par correspondance du Melbourne Art Institute, et à en faire plus tard son métier. Ses œuvres les plus marquantes, faites au stylo et à l’encre de chine dégoulinante, dévoilent le plus souvent des visages de femmes aux émotions profondes.
    https://mrmondialisation.org/il-redonne-vie-a-de-vieux-livres-avec-de-lencre-de-chine/

     

    Le monde de Loui ...


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  • Le seul progrès technique ne peut constituer un projet de société...

    Par Rosemar
    Nous vivons une course incessante à la technologie : les progrès techniques connaissent une accélération jamais égalée. De plus en plus, les machines supplantent l’homme, le libérant de certaines contraintes mais lui enlevant aussi une part de sa liberté en raison de la surveillance permanente qu’implique internet. Est-ce là un projet de société suffisant ?

     "Il ne saurait tenir lieu de morale, ni de politique, ni de spiritualité, ni donc de civilisation...", comme l’écrit justement André Comte-Sponville, dans son ouvrage intitulé L’inconsolable et autres impromptus. Et, pourtant, nous fonçons tête baissée dans un univers où la technologie est triomphante, sans nous soucier vraiment de préserver notre environnement. Et même les énergies "vertes" dont on nous vante les mérites sont sources de pollution puisqu’elles font appel à l’exploitation des terres rares dans des pays où on ne se soucie guère d’écologie. Les hommes politiques tracent-ils des voies nouvelles, des perspectives différentes ? Aucun projet civilisationnel ne se dessine si ce n’est la foi dans le progrès.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article38142

     

    Et la Vie, dans tout ça, l'Humain ...


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  • La guerre et son récit hollywoodien

    Par Jean-Claude Guillebaud

    En Syrie, comme en Irak ou en Afghanistan, les derniers conflits auront tout à la fois désolé les reporters, et comblé le système médiatique. C’est un paradoxe mais c’est ainsi. Les premiers, glorieux crapahuteurs, furent souvent interdits de terrain, tenus en lisière et empêchés d’exercer leur métier de témoins directs. Le "système", du même coup, a pu s’abandonner plusieurs mois durant à cette approche hollywoodienne du réel qu’il affectionne.

     Cette fois, en effet, les méchants étaient clairement identifiés, le mal absolu irréfutablement désigné. Il devenait possible de ramener toute la complexité du monde à une traque fiévreuse de Bachar al-Assad en Syrie, après celle de Saddam Hussein en Irak ou de Mouammar Kadhafi en Libye, trio emblématique du satanisme contemporain. Le jugement n’était pas infondé mais la rareté des informations venues du terrain favorisa, à la télévision, le déploiement d’un grand récit caricatural. Toutes les logiques du spectacle conspirent à une telle reconfiguration. Surtout en temps de guerre. Aux chipotages de l’intelligence critique, il préfère la simplicité tonitruante du blanc et du noir. Ce fut grosso modo le cas. Parler avec justesse de la guerre n’est pas facile.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article38143

     

    La guerre à l'Américaine ...


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  • Décidément, ce juin ne décolère pas !
    Bon dimanche !
    La dentelle est une écriture blanche,
    lisible seulement lorsqu'il y a de la peau en dessous.
    John Berger

    Un temps gris et mou ...


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  • Obligée de rentrer les oiseaux dans la cuisine,
    de fermer la porte fenêtre de la véranda,
    La pluie faisait un bruit infernal ...
    Et là ? un soleil tropical ...
    Bonne soirée !
    Il ne me suffit pas de vivre :
    Je veux être habité par celui qui désobéit au destin…
    Mia Couto

    L'averse d'orage a été impressionnante ...

     


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  • Merci ...


    C'est vrai,
    il faut attendre de dépiauter les cadeaux de Noël
    pour mesurer à quel point nos plus proches nous ont perdu de vue !
    À l'heure du choix, dans les magasins,
    nous ne leur rappelons personne.
    Pas la moindre idée de nos goûts,
     aucun soupçon de nos envies,
    ni le plus petit souci de nos besoins réels…
    Ce n'est même pas comme si nous étions quelqu'un d'autre,
    c'est comme si nous étions n'importe quel autre.
    Daniel Pennac

    Au moins enveloppez-les à la Japonaise ...


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  • Vivre ...


    Il est des visages dont la courbure donne à espérer l'impossible,
    des reins où s'incurve la nuit,
    des pas que tard l'on voudrait suivre jusqu'au ciel de lit d'une chambre odorante
    dont les volets de bois ouvrent sur la mer.

    Il faut aller :
    c'est vivre.
    Et cela ressemble à se perdre.
    Jean-Michel Maulpoix


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