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Mårten Andersson a été comparé à Chagall et Isaac Grünewald. Pourtant, son art est unique, inspiré par l'art du folklore de la province suédoise de Hälsingland. Plus de 50 ans de création artistique ont fait de lui un maître de la couleur, du design et de la narration.
http://martenanderssondesign.se/en/konst
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Mai 68 a permis de libérer (en partie) les entraves qui corsetaient les Français mais il est aussi responsable du naufrage de notre école
Si aujourd'hui les événements de 68 avec leurs barricades, leur gestes révolutionnaires, leurs discours ou les "références" politiques (Mao, Lénine ou le Che) semblent datés et passés de mode, l'école de la République a malheureusement subi 68 au point qu'elle est devenue aujourd'hui une vaste maison des jeunes (sans la culture), un asile pour le plus grand nombre, chargée de garder au chaud des millions de jeunes abusés sur leurs connaissances, leurs compétences et souvent leur avenir social et professionnel (un "master" pour devenir caissier en supermarché)
Il aura fallu, 40 ans, deux générations pour casser l'école
Après 68 la société française procéda (sans le dire) à un partage insidieux des tâches entre ses deux composantes principales de droite et de gauche
la Droite politique se vit attribuer la responsabilité de affaires économiques, financières et militaires.
Pour la Gauche il lui fut attribué la culture, le social (évidemment) et aussi l'éducation (dont la formation fait partie).
L'école est conçue pour transmettre et instruire pas pour déconstruire ou faire plaisir à des apprentis sorciers.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/mai-68-a-tuer-l-ecole-de-la-204195
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À Bornéo, les centres de soin ne sauveront pas les orangs-outans
Par Camille Dubruelh
En danger critique d’extinction, la population des orangs-outans de Bornéo a diminué de moitié en 16 ans. Face à ce drame, les centres de réhabilitation des grands singes se multiplient mais, selon des chercheurs, ils aggraveraient la situation. Réserve de Semenggoh (État du Sarawak, Bornéo, Malaisie), reportage.
« Anouar, Analisa, Mas. » Deux fois par jour, à l’appel de leur nom, les orangs-outans descendent lentement des arbres pour se délecter des fruits offerts par les rangers du centre de réhabilitation de Semengoh. Une vingtaine de grands singes peuple cette réserve située dans la partie malaisienne de l’île de Bornéo. Anciens captifs ou orphelins, les orangs-outans sont amenés ici avec l’espoir qu’ils puissent un jour retrouver une vie sauvage. « La nourriture que nous leur donnons est un supplément, explique Murtadza, l’un des rangers du centre. Quelques-uns ne sont pas venus manger depuis des années, ce qui est très bon signe puisque cela prouve qu’ils sont redevenus sauvages. » Pourtant, beaucoup de ces orangs-outans ne pourront jamais se débrouiller seuls, même après l’entraînement intensif fourni par les employés du centre.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article37858
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Nous devons traverser les saints de glace ?
Pas une goutte d'eau ...
Belle journée !
Ne mettez jamais la clé de votre bonheur dans la poche de quelqu’un d’autre.
Ca pourrait être moi lol
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Mon ciste n'a jamais été aussi beau,
D'un rose éclatant ...
Ma menthe a mauvaise mine,
on ne peut pas dire que ce soit grave, mais c'est celle de mes parents ...
Ma fougère est un si bel exemple.
Bonne soirée !La vie est trop belle à rien faire alors pourquoi se fatiguer?
Pour moi il n'y a qu'un salaire, c'est l'amour et la liberté.
Raymond Lévesque.
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Cette nuit mon insomnie a croisé ton sommeil.
Je suis passé à pas furtif comme le fil d’une fontaine.
Mon corps s’est dépouillé de ses brouillards en découvrant le tien.
Quand tu parles aux oiseaux,
fais que je parle avec ta voix.
Quand j’écris à la main,
elle pense avec ta peau.
Quand je dessine le ciel sur la ligne d’horizon,
je pêche mes couleurs dans tes yeux d’eau de mer.
Avec l’aide du vent je te touche partout.
Jean-Marc La Frenière
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On pourrait croire
que rien
n'a encore commencé
garder la nuit
comme une promesse
il est déjà trop tard
vos respirations
deviennent des chuchotements
et c'est beau
aujourd'hui encore il y aura
des trucs à réparer
des trucs à inventer
des feux à rallumer
et puis ces trucs que nos coeurs cachent
pour aller les chercher plus tard
dans la nuque des autres
nos muscles lancinants
nos histoires qui trébuchent
nos questions nos chansons
du pain et des mouchoirs
des choses dites trop fort
et d'autres trop doucement
l'aube est inéluctable
Tant mieux
Thomas Vinau
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Mais, qui que nous soyons,
méfions-nous des noms.
Ils peuvent se tromper.
Je me nomme Félix et ne suis pas heureux.
Les mots sont des menteurs.
N'acceptons pas aveuglément les indications qu'ils nous donnent.
Ce serait une erreur d'écrire à Liège pour avoir des bouchons
et à Pau pour avoir des gants.
Victor Hugo
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Le mystère de la pierre précise de Puma Punku
par Kaushik
Puma punku est le nom d'un grand complexe de temples situé près de Tiwanaku, en Bolivie, et fait partie d'un plus grand site archéologique connu sous le nom de Tiahuanacu. L'origine du temple est un mystère, mais basé sur la datation au carbone de la matière organique trouvée sur le site, les archéologues croient que le complexe a été construit par l'empire Tiwanaku - l'une des civilisations les plus importantes avant l'Empire Inca - entre 300 et 1000 UN D.
La chose la plus intrigante à propos de Puma Punku est la pierre. Puma punku était un monticule de terre en terrasses à l'origine confronté à des blocs mégalithiques, pesant chacun plusieurs dizaines de tonnes. Le grès rouge et les pierres d'andésite ont été taillés de manière si précise qu'ils s'emboîtent parfaitement et se bloquent les uns avec les autres sans utiliser de mortier. La finesse technique et la précision affichées dans ces blocs de pierre sont stupéfiantes. Pas même une lame de rasoir peut glisser entre les rochers. Certains de ces blocs sont finis pour «usiner» la qualité et les trous percés à la perfection. Ceci est censé avoir été réalisé par une civilisation qui n'avait aucun système d'écriture et ignorait l'existence de la roue.
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.amusingplanet.com/2015/05/the-mystery-of-puma-punkus-precise.html&prev=search
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Il est difficile pour la plupart des insectes et des oiseaux de voler à des altitudes extrêmement élevées où l'air est mince et l'oxygène est rare. Les ailes battantes poussent contre l'air pour générer une portance, et plus l'air est mince, moins les ailes peuvent produire de force.
Pourtant, les bourdons sont abondants dans les hautes régions alpines. Les chercheurs se sont longtemps demandés comment ces minuscules insectes pouvaient relever les défis du vol à haute altitude - et à quel point les bourdons pouvaient aller. (Voir des portraits intimes d'abeilles .)
"Nous nous demandions si ces défis - la densité réduite de l'air et l'oxygène - limiteraient la capacité de vol des abeilles", a déclaré Michael Dillon, un scientifique de l'Université du Wyoming à Laramie qui a récemment capturé des bourdons à 3 660 mètres. ) au dessus du niveau de la mer en Chine.
"La réponse semble être un non catégorique", a-t-il déclaré. "Ils sont capables de voler très, très haut."
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://blog.nationalgeographic.org/2014/02/04/bumblebees-can-fly-higher-than-mount-everest-scientists-find/&prev=search
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