• Mais une bien belle journée.
    Mon Bidule est beau comme un camion,
    mais je me demande s'il n'a pas grossi.
    Le ciel est dégagé, la nuit va être glaciale !
    Bonne soirée !
    Dans le ciel,
    les étoiles filantes
    ne reviennent jamais.
    Michiko Kaï

    Il a fait une froide journée ...


    votre commentaire
  • Elle a peur ...


    Donne-lui quelqu’un à aimer :

    Elle n’est qu’un filet d’eau tragique
    jeté dans le soleil.
    Elle a peur de tomber
    dans les voix râpeuses de la nuit ;
    elle a peur de cette solitude de lierre
    qui plie sous le cri lancinant des mouettes.
    Elle a peur du froid échoué
    sur un temps qui l’asphyxie.
    Alain Lacouchie


    votre commentaire
  • Le temps nous file entre les doigts ...


    Lorsque le temps s’emballe,
    Au fur et à mesure la journée passe,
    Une valse étourdissante bat la mesure.
    Trois points de suspension,
    Deux points d’explication,
    Pour explorer les minutes qui s’écoulent.
    Les engrenages s’entraînent,
    Une virgule instaure le rythme,
    Un apostrophe ponctue l’algorithme,
    Des mots, des phrases, des lignes qui courent,
    L’horizontal cherche la verticale,
    Une idée puis une autre,
    Un point final pour terminer.
    Laetitia Sioen


    votre commentaire
  • ( Pensant à toi … )
    Oh ! oui, il y a les mots, les mots qui vont ici et là comme en voyage. Les mots, un voyage qui n'en finirait pas. Un voyage, vers toi, sans impatience. On n’en a jamais fini avec cela, avec l’amour, le désir, les mots… Je regarde les paysages. Partout, tu es avec moi, dans mon sac, dans mes poches, sur les murs, dans ma voix, mes silences… toi, mon égarement, je te sens, je te vois et je t’écris sans fin… Je parle de toi à la terre et au vent.
    http://ecrire-peut-etre.blogspot.fr/2017/12/oh-oui-il-y-les-mots-les-mots-qui-vont.html

     

    Les mots ... toujours ...


    votre commentaire
  • Baptisé camp 21, construit en 1941 pour abriter 4 000 prisonniers de catégorie A, Cultybraggan était un «camp noir» où se trouvaient les prisonniers nazis les plus engagés et les plus fanatiques, principalement des jeunes Waffen-SS , Fallschirmjäger et des sous- marins. [1] Les prisonniers de l' armée , de la Kriegsmarine , de l' Air Force et des SS étaient détenus dans des enclos séparés, tout comme les officiers. Un camp supplémentaire était situé à Cowden, à deux milles de distance.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://en.wikipedia.org/wiki/Cultybraggan_Camp&prev=search
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.amusingplanet.com/2017/12/cultybraggan-britains-last-pow-camp.html&prev=search

     

    Un camp de prisonniers ...


    votre commentaire
  • L'artichaut ...
    La légende de l'artichaut commence, comme semblent l'être beaucoup de mythes grecs, avec le dieu Zeus ayant une liaison. Un jour, le dieu a repéré une fille appelée Cynara, et a décidé qu'il devait simplement l'avoir. Zeus l'a emmenée au Mont Olympe et en a fait une déesse. Malgré sa nouvelle position, elle est revenue régulièrement sur Terre pour voir sa famille. Quand Zeus l'a découvert, il l'a punie en la transformant en un artichaut. La relation entre les artichauts et le sexe pour les Grecs est restée, avec des experts suggérant que manger des artichauts vous ferait non seulement avoir de bons rapports sexuels, mais aussi produire des enfants mâles.
    Au 17ème siècle, il a été dit qu'en Suède, les artichauts étaient utilisés comme aphrodisiaque. Dans ce cas, cependant, ce ne sont pas les hommes qui cherchent à se rendre plus puissants mais leurs femmes. Une femme qui sentait que son mari ne faisait pas son devoir auprès d'elle pouvait commencer à lui donner des artichauts pour retourner ses attentions vers la chambre conjugale.

     

    Les aphrodisiaques ...


    votre commentaire
  • Marc Lamey est un photographe français né à Marseille en 1961.
    Photographie de portrait, photographie de nu, photographie animalière.
    http://www.marclamey.com/#5

     

    Photographe de la beauté ...


    votre commentaire
  • Aussi loin que remonte son souvenir, Claire Basler n’a jamais posé ses crayons. Elle a toujours voulu, sans forcément le formuler clairement, « être peintre », ce qui, en soi, est un pari osé à l’âge où l’on se cherche. Renoncer aux Beaux-Arts après quelques mois, pour dire non au totalitarisme de l’art conceptuel qui seul a droit de cité dans les années 80, peut sembler un acte fou. Ou simplement, l’expression de la liberté, de sa liberté. « Peindre la nature » ne peut se concevoir dans le carcan intellectuel de cette époque qui interdit de peindre « hors du moule », mais c’est pour Claire une question de survie pour ne pas être « abîmée » !
    http://midetplus.fr/portraits/claire-basler-linsoumise/
    http://www.clairebasler.com/peintures/

     

    Le monde de Claire ...


    votre commentaire
  • Les informations diffusées par les médias dominants prennent le masque de l’impartialité, mais derrière ce masque, se cache une propagande favorable aux intérêts financiers des propriétaires des médias en question. Les médias dominants nous donnent une interprétation subjective de faits choisis plutôt qu’une description objective du monde dans lequel nous vivons. Ils font d’un match de tennis un évènement et de la famine en Afrique une anecdote. Ils nous expliquent ce qui est bon pour notre société, pour notre économie et même pour notre bien-être. Ils marginalisent, caricaturent les penseurs qui ne leur conviennent pas, tout en simulant la pluralité. Ils nous assènent à longueur de journée que le retour de la croissance économique (c’est-à-dire l’augmentation de leur chiffre d’affaires) est le but ultime de nos vies, et que sans ce retour de croissance, nous courons à la catastrophe. Alors que scientifiquement, c’est l’inverse : la catastrophe pour l’humanité, c’est la croissance économique. Les médias dominants s’évertuent à nous faire oublier qu’une croissance infinie dans un monde aux ressources finies est impossible.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-democratie-brisee-199630

     

    Nos fausses démocraties agonisantes ...


    votre commentaire
  • Utopia XXI

     Il y a cinq cents ans, en 1517, l’Europe découvrait Utopia de Thomas More, publié à la fin de l’année précédente. Dans cet ouvrage visionnaire, More dénonçait les dérives des pouvoirs monarchique et religieux en vigueur et proposait un modèle de société radicalement nouveau, reposant sur la solidarité, le partage, la tolérance, l’éducation et le temps libre. L’Utopie était alors un nom propre inventé par More pour désigner une île où régnait le gouvernement idéal assurant le bonheur de tous.

    Cinq siècles plus tard, l’utopie est devenue un nom commun. Un nom que l’on hésite à utiliser, car il renvoie généralement à un projet coupé de la réalité. Pourtant, de nos jours, les irréalistes ne sont pas ceux qu’on croit : ceux qui sont aveugles sont les dirigeants actuels. La démocratie qu’ils promeuvent n’en est pas vraiment une ; la liberté, l’égalité et la fraternité constituent un slogan vide de sens ; l’argent règne en despote en consacrant des hiérarchies mensongères ; le productivisme et la croissance sont des objectifs destructeurs désormais inadaptés à notre époque ; l’exploitation animale repose sur un déni de réalité à l’égard des animaux non humains ; le terrorisme le plus dangereux est celui des entreprises qui tuent des millions de personnes chaque année avec l’assentiment des gouvernements.
    Altermonde-sans-frontières

    Utopia XXI est une mise à jour de l’ouvrage de Thomas More. Aymeric Caron y présente le projet d’une nouvelle utopie qui affirme l’urgence d’une société écologiste, antispéciste, pacifiste, et solidaire :
    semaine de travail limitée à 15 heures,
    plafonnement des revenus à 10 000 euros par mois,
    fin du scrutin majoritaire à deux tours,
    instauration d’un permis de voter,
    gratuité de l’information,
    interdiction de la spéculation,
    abolition partielle des frontières,
    reconnaissance des crimes contre l’animalité,
    limitation des naissances,
    instauration d’un quotient de bonheur à la place du PIB,
    instauration d’une biodémocratie...
    Ce monde qui ressemble à un rêve est pourtant le seul possible aujourd’hui.

     

    Utopions de concert ?

     


    votre commentaire