Demain, c’était hier
au nucléaire de Lascaux,
quand des mains mutilées
s’accrochaient aux parois,
les ornant
du plus beau des poèmes.
Jean Aron
Blog Osiria

Ce qui vient et ce qui part
Pose un étrange problème
Qu’on ne résout nulle part
Par la prose ou le poème
…
Il ne faut pas éteindre la dernière étoile
Avant que la première ait son signe de feu
Du côté de l’aurore où les femmes fatales
Se dévêtent beaucoup pour se donner un peu…
Robert Goffin

Ce que je n'ai su te dire
Est juste là
Dans cette ombre fragile
Toujours proche
Dans ces mots vulnérables
Et quelques autres
Ou frémit l'invisibilité
De ceux que je ne te dirais pas.
Soemmvrique
Blog Satinea

La  salicaire  est  une  grande  plante  qui  peut  mesurer jusqu’à  1  mètre  50.  Sa  tige  est  carrée.  Ses  feuilles ancéolées  sont  velues,  grisâtres,  opposées  par  deux ou trois. Ses fleurs regroupées en un long épi terminal,
sont rose-violacé. 
Tout  comme  le  saule,  la  salicaire  apprécie  les  lieux humides. On pourra donc l’observer dans les prairies et
friches humides, marécages, au bord des eaux calmes.
C’est  une  espèce  héliophile  ou  de  demi-ombre.  Elle apprécie  également  les  sols  riches  en  bases  et  en
éléments nutritifs (pH basique à légèrement acide).
La salicaire est très commune en Bretagne.
http://educatif.eau-et-rivieres.asso.fr/pdf/salicaire.pdf

Philippines : des sans-logis contraints de vivre dans un cimetière ...
... des voyageurs s'y aventurent pour découvrir un site insolite : son cimetière.
Ce lieu généralement destiné au repos des morts est ici bien différent. Dès l'entrée, on tombe sur un village improvisé et dense où de nombreuses familles ont été contraintes de s'installer. La vie quotidienne s'y déroule manifestement comme dans n'importe quel autre quartier de Manille, et des dizaines d'enfants jouent entre les pierres tombales blanches et les mausolées gravés de patronymes espagnols.
Egypte - Le Caire ...
des centaines de milliers de familles qui vivent dans la misère la plus complète, ne trouvent aucune autre alternative à celle de s’y installer pour y habiter. C’est par exemple le cas dans la Cité des Morts où l’habitat est toléré depuis 1967.
http://www.habiter-autrement.org/29_derniere-demeure/04_der.htm
Vous me direz, c'est un article qui date de 2013, je crois qu'en 4 ans ça n'a fait qu'empirer ... il y a un article sur mon journal ce matin ...

Les Saïgas sont un type d'antilope. Ils sont connus pour leur énorme nez gonflable, et voûté qui les aident à filtrer les poussières dans l'air pendant les migrations d'été secs et filtrer l'air froid avant d'atteindre leurs poumons pendant l'hiver. Ils sont une espèce migratrice, la migration en été et en hiver et peuvent courir jusqu'à 80 km par heure en peu de temps.
Les populations locales tuent le saïga en raison de sa viande et de ses cornes. Les cornes sont utilisées dans la médecine traditionnelle chinoise. Le Saïga est répertorié comme espèce en danger critique et ont été autrefois fois dans les millions, mais ne sont plus, aujourd'hui, qu'environ 50 000 à l'état sauvage.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sa%C3%AFga
http://biomorphosis.tumblr.com/post/91688372135/saiga-is-a-type-of-antelope-they-are-known-for

Le Guatemala a été habité pendant 20 000 ans ...
Aujourd'hui, plus de la moitié des guatémaltèques sont des descendants des peuples autochtones mayas.
Comme l'ont constaté de nombreuses nations impérialistes, tracer des lignes sur une carte et l'appeler votre propre pays fonctionne rarement à long terme. Avant l'arrivée des conquistadors au 16ème siècle, la région qui deviendrait le Guatemala était régie par de nombreux royaumes mayas différents, comme en témoignent les plus de 5000 sites archéologiques répartis dans tout le pays, datant de près de 20 000 ans.
Au moment de la conquête espagnole, les Mayas étaient en forte baisse. La variole avait balayé le continent, et les conflits intestinaux avaient affaibli la civilisation autrefois puissante. Les Espagnols, une fois que les Mayas ont été vaincus, ont rapidement subjugué le peuple et les ont traités à peine mieux que des esclaves. La stratification sociale - les indigènes mayas au fond, l'espagnol créole au sommet - persistait depuis des siècles. Essentiellement, les divisions raciales imposées à la nation ont formé la colère qui a déclenché des conflits sanglants répétés, la répression, l'exploitation et la misère.

Donnez- moi la nuit
Qu’un peu je l’éclaire.
J’ai de la lumière
Au bord des paupières
Carl Norac (extrait)
Et des heures bleues.
http://kas-e.tumblr.com/post/161369087570/blue-hour-in-blue-ridge

Aujourd'hui, vous en aurez deux pour le prix d'un ... des frères dont le père était aussi peintre.
Zurab Martiashvili est né en 1982 à Tbilissi (Géorgie).
C'est un peintre déjà reconnu en Europe orientale, notamment en Ukraine, en Russie, et bien sûr en Géorgie. Ses œuvres mêlent inspirations naïves, sensualité orientale et un imaginaire poétique ayant trait à l'enfance et aux contes. Les références à la Géorgie, à la culture du Caucase et à ses personnalités hautes en couleurs sont nombreuses.
http://artodyssey1.blogspot.fr/2011/10/zurab-martiashvili.html

David Martiashvili est né en 1978
C'est le frère de Zurab. Ce qu'il semble préférer c'est l'architecture, mais une architecture un peu folle ... et personnellement j'adore les peintres de maisons ou de villages un peu fous ...
http://pointsdecerise.canalblog.com/archives/2014/08/30/30333015.html

Par Gérard Charollois

Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, en 70 ans l’humanité a triplé passant de deux milliards cinq cent millions à sept milliards cinq cent millions d’humains. Chaque année, la bombe démographique fait croître de près de cent millions le nombre des humains et en 2050, l’Afrique devrait doubler sa population.

 Or, l’homme s’avère un animal gravement déprédateur par sa consommation insatiable, par son agressivité envers les autres espèces et occasionnellement envers sa propre espèce. Ses facultés cognitives supérieures ne sont guère employées à protéger la vie. L’humain provoque la sixième extinction d’espèces et crée des conditions interdisant les évolutions futures des formes de vies, car il pille la terre, l’empoisonne, y déménage tout ce qui ne lui est pas immédiatement profitable. Animal dénaturé, il ne supporte pas la nature et par peur, par cruauté, par cupidité, il détruit méticuleusement toutes les espèces avec lesquelles il aurait pu cohabiter. Croissance démographique explosive, voracité, mépris du vivant, omniprésence dans tous les milieux, générateur de déchets qui transforment la planète en poubelle toxique, l’homme compromet la viabilité du globe.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article35319

Pour remédier aux menaces planant sur le vivant, elle somme les humains responsables de : Faire moins d’enfants, ce qui ne signifie pas faire moins l’amour ! Ne pas prendre l’avion, ce qui n’interdit pas de contempler la nature près de chez soi ! Consommer moins de viande, ce qui ne nuira pas à la santé ! Privilégier le bio, ce qui ne fera pleurer que les lobbies agrochimistes ! Question : Connaissez-vous beaucoup d’amis du vivant qui célèbrent ces vertus ? Et puis, j’ajouterai, en impératif premier : Accueillir avec bienveillance la nature chez soi !