Les gens n'ont de charme que par leur folie.
Voilà ce qui est difficile à comprendre.
Le vrai charme des gens c'est le côté
où ils perdent un peu les pédales,
c'est le côté où ils ne savent plus très bien où ils en sont.
Ça ne veut pas dire qu'ils s'écroulent au contraire,
ce sont des gens qui ne s'écroulent pas.
Mais, si tu ne saisis pas la petite racine
ou le petit grain de folie chez quelqu'un,
tu peux pas l'aimer.
On est tous un peu déments,
et j'ai peur,
ou je suis bien content,
que le point de démence de quelqu'un
ce soit la source même de son charme.
Gilles Deleuze

Avec ses caprices, la Lune
Est comme une frivole amante ;
Elle sourit et se lamente,
Et vous fuit et vous importune.

La nuit, suivez-la sur la dune,
Elle vous raille et vous tourmente ;
Avec ses caprices, la Lune
Est comme une frivole amante.

Et souvent elle se met une
Nuée en manière de mante ;
Elle est absurde, elle est charmante ;
Il faut adorer sans rancune,
Avec ses caprices, la Lune.
Théodore de Banville

Au cours des quinze dernières années, la ville de Sherbrooke, dans le sud du Québec, au Canada, a essayé d'animer son ancien centre-ville en créant d'énormes peintures murales pour couvrir les grands murs vacants du quartier. Jusqu'à présent, cela a été un succès.
La première peinture murale a été créée en 2002 dans le cadre de la célébration du bicentenaire de la ville. Depuis lors, plus d'une douzaine de peintures murales sont apparues à différents endroits au taux d'un par an. Les peintures murales, créées en style trompe l'oeil, sont le travail d'artistes locaux talentueux. Le projet est supervisé par une organisation à but non lucratif appelée M.U.R.I.R.S. (Murales Urbaines à Revitalisation d'Immeubles et de Réconciliation Sociale) dont l'objectif est de créer une grande galerie d'art en plein air qui fasse la promotion de l'architecture, de l'histoire et de la culture de Sherbrooke.
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.amusingplanet.com/2016/06/the-murals-of-sherbrooke.html&prev=search

L'histoire du Stetson ...
Les chapeaux de Stetson et John B. Stetson Company sont les icônes américaines. Aucun nom de marque de chapeau américain n'est davantage identifié autour du monde que Stetson.
Fondé en 1865, la biographie de John B. Stetson est comme un conte de Horatio Alger. Bien que la plupart associent un chapeau de Stetson à un feutre occidental ou au modèle de cowboy, en fait Stetson fait des chapeaux et des casquettes dans une grande variété de modèles et de tissu. John B. Stetson est né le 5 mai, à East Orange, New Jersey en 1830. Son père, Stephen Stetson était un chapelier qui a dirigé la No Name Hat Company.
La société a été connu pour leurs chapeaux de grande qualité et John B. a appris le métier dès son plus jeune âge. Il est dit que la No Name Compagny a effectué des chapeaux pour George Washington.
https://www.chapellerie-traclet.com/fr/content/17-histoire-chapeau-stetson
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.foundedusa.com/the-stories/stetson-usa&prev=search

Toucher la Reine de Siam était punissable par la mort, jusqu'à ce que la loi elle-même ait causé 3 morts en 1880. La Reine Sunanda Kumariratana a eu beaucoup de témoins lorsque son bateau a chaviré, mais elle, sa fille et son bébé à naître se sont noyés à cause d'un garde royal qui savait que la toucher était interdit. Il a été mis à mort, mais s'il l'avait sauvée, il aurait probablement été exécuté de toute façon.
http://l-anecdote.com/la-reine-sunandha-kumariratana-meurt-noyee/

Un lieu sans histoire ...
Bien qu'il ne soit pas étrange de trouver une architecture ancienne sans histoire, un emplacement a été une surprise. Dans le Somerset, un autre cas de fondations mystérieuses est apparu. Seulement cette fois, l'échelle était à couper le souffle. Pendant l'époque médiévale, le site accueillait un impressionnant groupe de bâtiments. Le complexe, occupé pendant 200 ans entre les XIIe et le XIVe siècles, consistait en une vaste zone où les cours étaient entourés de structures en pierre.
Les bâtiments eux-mêmes auraient été décorés du sol aux tuiles d'un artisanat exquis. Certains des carreaux du sol récupérés ressemblaient à ceux de l'abbaye de Glastonbury. Comme les ruines ne sont pas loin et richement décorées, il est plausible que ce soit aussi une sorte de centre religieux. Des milliers de monastères ont été dissous et leur matériel a été confisqué pour d'autres projets de construction, mais le complexe du Somerset, découvert en 2013, a disparu bien avant cette époque. Il est extrêmement rare qu'un site de cette taille et de cette signification soit effacé de la terre, de l'histoire et de la mémoire humaine.

La vie sauvage peut nous offrir des moments rares. Le photographe Bence Máté, pour le National Geographic, après avoir attendu trois nuits pour saisir le cliché d’un éléphant en Afrique du Sud et s’être rendu compte que les mammifères avaientt réduit en miettes son appareil photo. Il a dissimulé son outil de travail sous des pierres et a saupoudré de la poudre pimentée pour éloigner les animaux. Il a ainsi pu saisir des clichés rares des animaux venus s’abreuver en pleine nuit.
http://www.fubiz.net/2017/04/14/stunning-portraits-of-wild-animals-at-night/

Kim English  est né en 1957 à Omaha, au Nebraska et a grandi dans une communauté rurale près de Colorado Springs. Après l'obtention du diplôme de la Rocky Mountain School of Art, il a rejoint la faculté et a ensuite commencé à enseigner à la Ligue Art Students de Denver et Scottsdale Artists School.
http://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2013/04/Kim-English.html

Le doute s’est insinué au fil des élections présidentielles pour devenir aujourd’hui un sentiment assez partagé : « l’épreuve reine de notre vie politique », comme disent les commentateurs, ne fonctionne plus. Qui croit encore qu’elle donnera au pays un chef assez fort et déterminé pour prendre ses problèmes à bras-le-corps ? Il serait temps de se poser la question ! Voilà bien trente ans que la trop fameuse « course à l’Élysée » est devenue l’exact contraire de ce qu’avait voulu et institué De Gaulle : ayant perdu ses vertus initiales, elle ne montre plus que ses travers. Alors, si l’on s’avouait pour de bon la vérité : c’est le principe même du pouvoir présidentiel, donc de ce scrutin, qui est en cause.

Un seul être vous manque…

On sait comment le Général en est venu, en deux temps, à imposer cette solution. L’incurie de deux républiques l’avaient convaincu que seul un président tirant une légitimité directe du peuple lui donnerait, à l’abri des aléas parlementaires et des combinaisons de partis, la force et la liberté d’imposer, fût-ce contre les corps intermédiaires et l’opinion elle-même, les réformes dont le pays avait tant besoin après toutes ces années d’immobilisme. Inattaquable de la part des députés, en mesure d’en appeler directement au peuple par référendum, il pouvait prescrire les changements que réclamait l’intérêt général et que combattaient, puisqu’il en est toujours ainsi, les intérêts particuliers. Au-dessus des partis, selon l’expression si galvaudée, en tout cas n’ayant à leur égard souscrit aucune dette.
http://www.causeur.fr/sixieme-cinquieme-quatrieme-republique-presidentielle-43762.html