Plus la passion est fulgurante,
plus dure est la chute.
Il n'y a pas plus beau,
plus fort que l'amour volé,
l'amour clandestin,
celui qui nous met en danger,
qui nous fait vibrer jusqu'à frôler la mort.
Tahar Ben Jelloun

Ces foudroiements de la beauté – ce ne sont jamais que des instants, n’est-ce pas ?
des instants que nous disons d’éternité. D’éternité.
Ca veut bien dire qu’en ces instants-là, on touche… autre chose.
Qu’on échappe au temps des horloges.
On dit aussi des « instants de grâce », n’est-ce pas ?
Devant une oeuvre d’art. A l’écoute d’une musique. Devant un paysage.
Un coup de foudre, comme en amour.
L’éternité, dans un instant.
Et c’est comme un autre monde ouvert.
Y avez-vous déjà songé ?
L’éternité, ce n’est pas le temps des horloges en un peu plus long, mais un temps « autre » ? Vertical ?
Toujours au présent – dans l’éclair d’un instant – comme une porte qui ouvre sur l’autre monde…
Michel Le Bris

La mascarade Makishi marque la fin du mukanda, un rituel annuel d’initiation pour les garçons de huit à douze ans. Ce rituel est célébré par les communautés Vaka Chiyama Cha Mukwamayi auxquelles appartiennent les Luvale, les Chokwe, les Luchazi et les Mbunda, des peuples établis dans les provinces nord-ouest et ouest de la Zambie. C’est habituellement au début de la saison sèche que les jeunes quittent leur famille pour passer un à trois mois dans un campement isolé en pleine brousse. Cette séparation du monde extérieur marque leur mort symbolique en tant qu’enfants.
http://www.unesco.org/culture/ich/fr/RL/la-mascarade-makishi-00140

Les dentiers de George Washington étaient faits d'os, d'ivoire d'hippopotame, de dents humaines, de plomb, de vis en laiton et de fils métalliques dorés mais pas en bois. C'est le seul ensemble complet restant des nombreuses prothèses dentaires qu'il portait tout au long de sa vie.
http://denturoduquartier.ca/les-dentiers-de-george-washington/

Le raid Doolittle ...
Des raids aériens les plus célèbres menés par les États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, le Doolittle Raid est une mission dont la plupart des gens ont entendu parler, mais ne se rendent pas compte de la façon dont elle était absolument folle. Le raid a été une réponse pour l'attaque de Pearl Harbor, qui a amené les États-Unis à la Seconde Guerre mondiale. Les planificateurs militaires voulaient mener un raid aérien de rétorsion, mais le seul problème était qu'ils n'avaient pas d'avions qui pouvaient frapper les îles japonaises. Le lieutenant-colonel James Doolittle, le pilote de Hotshot, a eu une idée : lancer des bombardiers moyens terrestres d'un transporteur sur une attaque à sens unique sur le Japon.
La formation des équipages volontaires de bombardiers a commencé immédiatement. Les bombardiers B-25 utilisés pour le raid nécessitaient habituellement une distance de piste de 360 ​​mètres (1 200 pi), mais le porte-avions USS Hornet n'avait qu'un pont de 150 mètres (500 pieds). Finalement, les équipages ont compris comment décoller à cette distance. Pour le faire fonctionner, les B-25 ont dû réduire autant de poids que possible. Tous les équipements inutiles étaient exclus des avions.
Le 18 avril 1942, la mission a débuté plus tôt que prévu. Le groupe des transporteurs a pris contact avec la défense japonaise. Bien que les navires d'escorte aient coulé le bateau japonais, la surprise a été perdue. La mission a été lancée 10 heures plus tôt que prévu et 270 km (170 mi) plus loin du Japon que prévu. Doolittle's B-25 a décollé en premier. Le travail de son bombardier était de voler seul sur Tokyo et de marquer les cibles avec des bombes incendiaires. Une heure après Doolittle à gauche, 15 autres bombardiers ont décollé, chacun d'entre eux l'ayant à l'écart du porte-avions. En rugissant à 600 mètres (2 000 pieds), les bombardiers ont attaqué des cibles industrielles japonaises. Après avoir laissé tomber leurs bombes, les B-25 étaient trop rapides pour être interceptés par les combattants japonais.
Ensuite, c'est l'atterrissage vraiment dangereux dans la Chine occupée par les Japonais. La plupart des équipages ont touché en Chine et rencontré des leaders de résistance locaux. Un équipage a atterri en Union soviétique et a été interné. Huit membres d'équipage ont été capturés par les Japonais et trois ont été exécutés. Dans l'ensemble, la mission a subi des dégâts minimaux, mais elle a stimulé le moral des États-Unis tout en écrasant les dirigeants japonais.

Lorsque vous mangez une orange ou un ananas, il est probable que vous ne pensez probablement pas à la façon dont le fruit est venu sur cette Terre. Mais il s'avère que les gens ont réfléchi à cela pendant des siècles, et beaucoup d'histoires d'origine pour divers fruits sont assez sombres. Nous ne sommes pas sûrs de ce genre de personnes qui ont d'abord associé les têtes, les testicules, la mort, la famine et le cannibalisme avec certains de nos fruits préférés, mais nous sommes certains que nous ne pourrons jamais regarder une salade de fruits de la même façon.

Les noix de coco ...
Il y a un certain nombre de mythes sur la façon dont la noix de coco est venu et, comme la plupart des bons mythes, tous impliquent la violence. Si vous la regardez correctement, les caractéristiques d'une noix de coco peuvent prendre une apparence étrangement humaine avec deux yeux et une bouche. Alors clairement, il est passé d'une tête coupée - et les histoires qui disent cela sont si nombreuses, que nous devons nous demander s'il y a du vrai. En Nouvelle-Bretagne, la tête coupée venait d'un garçon qui avait été complètement mangé par un requin sauf la tête, qui a été enterrée et a donné le premier cocotier.
Un mythe Arapesh dit que la tête appartenait à un homme qui a tué une femme. L'homme était alors, à son tour, tué et décapité par des enfants.
En Birmanie, le donateur de la tête est un homme décapité par un roi qui s'est fatigué de ses farces et, en Nouvelle-Guinée, la tête est abandonnée volontairement par une pêcheuse (!).
http://www.letahititraveler.com/informations-generales/art-culture/mythes-et-legendes/

Le talentueux photographe américain Zack Seckler a immortalisé les paysages splendides du Botswana. C’est à bord d’un petit avion que le photographe a capturé ces panoramas vus du ciel tout en couleurs, qui viennent sublimer chaque mètre carré de nature. L’artiste expose à partir du 13 avril à la ClampArt gallery située à Manhattan. Des clichés à couper le souffle à découvrir ci dessous.
http://www.fubiz.net/2017/03/31/breathtaking-abstract-photographs-by-zack-seckler/

Eugen Jettel (20 mars 1845, Johnsdorf , Moravie - 27 août 1901, Lussingrande ) était un peintre autrichien, produisant principalement des paysages . Il a étudié à l' Académie de Vienne et déménagé à Paris en 1873, avant de retourner à Vienne en 1897 et en tant que cofondateur de la Sécession de Vienne . Il a été nommé Chevalier de la Légion d'honneur en 1898.
http://www.artnet.fr/artistes/eugen-jettel/r%C3%A9sultats-de-ventes

Par Anne Roumanoff

Menu fillonesque

Marmite de casseroles en tout genre et sa purée d’avocats parisiens.
Coq de la Sarthe grillé sur une force de caractère étonnante.
Crumble de mises en examen et son soupçon de coup monté.

Menu macronien

Mousse de séduction légère arrosée de bulles médiatiques.
Macronade de promesses toutes catégories, soufflé d’expérience fragile enrobé dans un programme surprise.
Financier aux impôts émulsionnés et sa pléiade de ralliements sucrés à la sauce opportuniste.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34248

Par Gérard Charollois

Tout être vivant possède un intérêt légitime à vivre. Nul être purement potentiel ne dispose d’un quelconque intérêt à naître. La planète souffre d’une lèpre que contemplent les astronautes de la station spatiale internationale : lumières des mégapoles, extension des zones arides, déforestations massives. 40 % de la biodiversité est directement menacée et "l’animal raté" [1] qu’est l’homme perdure à croître et multiplier, à aménager c’est-à-dire à déménager le vivant pour assouvir sa cupidité insatiable.

 L’Afrique va doubler sa population dans les décennies prochaines et le sort de sa grande faune se trouve gravement compromis. Cet anéantissement du vivant constitue le plus grand défi que pose l’humain, bien avant les courbes de la croissance, les échanges commerciaux, les dettes publiques et les profits des spéculateurs. Une politique publique responsable viserait d’une part, à œuvrer à l’allongement de la vie, à la guérison des maladies, à l’amélioration des conditions matérielles de l’existence de chacun, puisque tout être vivant possède un intérêt légitime à vivre et, d’autre part, à inciter et non à contraindre à une limitation des naissances.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34236