Les castors ...
Impact : l'exploration européenne de l'Amérique du Nord, la destruction des tribus amérindiennes.
Comme le bison d'Amérique, les castors ont également été presque anéantis pour leur fourrure. Dans les années 1700, 60 à 80 castors peuplaient chaque mile de chaque courant au Canada et au nord des États-Unis. Mais 100 ans plus tard, ces créatures ont été chassées jusqu'à l'extinction. Pourquoi ? Parce les chapeaux en peau de castor faisaient fureur en Angleterre. Les commerçants de fourrures avaient achevé les castors européens, donc ils sont allés chercher les animaux dans d'autres exploitations britanniques. Ils ont découvert une vaste population de castors en Amérique du Nord qui, dans les années 1790, leur a permis d'expédier plus de 30.000 peaux par an à l'Europe. Comme les castors, le long de la côte Est américaine  disparaissaient, les trappeurs ont exploré plus à l'ouest, en suivant les Grands Lacs et continuant dans toutes les directions. En 1793, Alexander Mackenzie, le premier Européen à voyager à travers le continent nord-américain, l'a fait au nom de la Compagnie de fourrures du Nord-Ouest.
Pour les Amérindiens, la castor-mania était une bénédiction mitigée. D'une part, ils pouvaient échanger des fourrures contre de nombreux biens dont ils avaient besoin. Mais de l'autre, des vagues d'européens sans foi ni loi envahissaient leurs terres. Pire encore, les maladies, les explorateurs ont apporté avec eux des maladies qui ont été désastreuses pour de nombreuses tribus, effaçant la plupart ou tous les habitants de certains villages.
Heureusement, au milieu des années 1800, les castors ont obtenu un sursis. D'autres chapeaux ont gagné lentement la faveur du public, laissant  assez de temps à quelques castors de repeupler les cours d'eau.
http://www.patrimoinehbc.ca/hbcheritage/history/social/FashionPopularCulture/chapeaux-de-castors

Comme tous les mois, le journal anglais The Guardian propose à ses lecteurs de leur faire parvenir leurs plus beaux clichés de voyage. Une sélection est effectuée par la suite et publiée sur le site web du média : The Guardian’s Readers Travel Photography Competition. Découvrez ici la compilation des meilleures propositions du mois de septembre, entre jolis paysages et aspects culturels intéressants.
http://www.fubiz.net/2016/10/06/selection-from-the-guardians-readers-travel-photography-competition/

Anita Rée (née le 9 février 1885 à Hambourg ; morte le 12 décembre 1933 (à 48 ans) à Kampen) est une peintre d'avant-garde de la République de Weimar.
Dénoncée comme juive, elle s'exila sur l'île de Sylt où elle se suicida en 1933.
http://denyslouiscolaux.skynetblogs.be/anita-ree/

Je préfère presque ce genre de peinture ...

Le 15 septembre, Madjid Si Hocine, médecin, appelait, dans Libération, à la dé-zemmourisation des esprits. « Il faut déradicaliser Éric Zemmour », écrivait-il, finaud – les attentats commis par Zemmour ont dû m’échapper. Trois jours plus tard, paraissait dans le JDD l’enquête de l’institut Montaigne révélant, entre autres données désastreuses sur l’intégration, que 28 % des musulmans de France feraient passer la charia avant la loi de la République. Et on était tenté de répondre au docteur Hocine : ce n’est pas la France qui se zemmourise, c’est la réalité¹. Réalité qui s’ingénie, dirait-on, à réaliser les plus sombres observations de notre brillant ami sur le caractère foncièrement inassimilable de l’islam de France.
http://www.causeur.fr/gaulois-eric-zemmour-assimilation-islam-40466.html#

Par Gérard Charollois

J’appelle les écologistes, les naturalistes et les animalistes à une rencontre, le samedi 15 octobre, à partir de 14 heures, à l’AGECA, 177, rue de Charonne, à Paris dans le XIème. Notre objectif est de constituer une force pour le vivant qui, sur le terrain politique, dans l’acception la plus élevée du mot, traduira les aspirations et les combats des associations de défense de la nature, des animaux et des hommes confrontés aux agressions de la société contemporaine.

 Comme toujours, partons des faits, des données objectives, avant de construire une stratégie. Or, les faits sont éloquents. En 1971, le pouvoir politique créait un ministère de l’Environnement. Le club de Rome, les médias, le militantisme associatif bouillonnant découvraient les problèmes liés à la surpopulation, aux pollutions, à la destruction de la faune, de la flore et des milieux naturels. En ce temps-là, on se battait pour la Vanoise et le 10 juillet 1976, la France adoptait une grande loi en faveur de la protection de la nature. Trois ans après, le 2 avril 1979, l’Europe édictait une importante directive, relative à la conservation des oiseaux, arme efficace pour faire reculer la féodalité cynégétique, sur les dates d’ouverture de la chasse, au terme d’une vingtaine d’années de procédures devant les juridictions nationales et la cour de justice de l’Union Européenne. En ce temps-là, un vent « progressiste » soufflait sur la société.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32579

Mon laurier-rose me fait pitié ...
Je suis dans l'attente de mon demain !
Bon lundi ...
On ne m'ôtera pas de l'dée qu'il faut avoir un petit coin de sa tête accrochée dans les étoiles.
Delphine Le Vigan

On pouvait presque les compter !
Gris et froid ...
Vitocho ...
Bonne soirée !
Un beau soir l'avenir s'appelle le passé
C'est alors qu'on se tourne et qu'on voit sa jeunesse.
Louis Aragon

Rien n’est plus trompeur qu’un sourire.
 Et nul ne le sait mieux que celles et ceux qui se cachent derrière lui.
Certaines montrent leurs dents
comme pour mettre poliment en garde leurs ennemis,
d’autres arborent une mine radieuse
pour empêcher leurs larmes de couler.
D’autres encore grimacent bêtement
pour masquer leurs peurs.
Et puis il y a ce sourire rare,
totalement sincère.
C’est le sourire qui sait que les ennuis seront bientôt terminés.
Desperate housewives, Mary Alice

avec mes racines
plus bas que terre
le bout de mes feuilles
toujours entre deux averses
et mes fleurs
à mi-chemin du ciel

pas facile
de ne pas être
un champ de contradictions
Marc Menu

Nous danserons toute la vie l’un contre l’autre.
Peau contre peau.
Sel mélangé.
Rigole entre tes seins,
entre tes fesses.
Musique lointaine.
Blues dans la nuit.
Donne envie.
Tes seins dans mes mains.
Richard Bohringer