Par Liliane Held-Khawam

La mondialisation s’est accommodée dangereusement d’une détérioration des conditions de travail et de la soumission de l’homme à une croissance et une compétitivité pathologiques. La croissance du rendement est une résultante qui vise à maximiser le chiffre d’affaires et à minimiser les dépenses. Dans une chasse au rendement qui ferait plaisir au casino financier, les firmes transnationales ont utilisé l’ensemble des dispositifs « raisonnables » et impitoyables disponibles. Toutes les possibilités ont été utilisées. Cela va des délocalisations vers des pays à salaires « low cost » en passant par des investissements technologiques qui remplaceraient l’humain.

 Il faut dire que les rubriques, masse et charges salariales, sont les plus importantes du compte d’exploitation d’une entreprise. Une optimisation à toute épreuve dans la circulation des forces de travail a été mise au point. Une spirale infernale de pressurisation de ces rubriques comptables semble emporter vers des directions de plus en plus intolérables. Nous avons vu le contrat zéro heure des britanniques dans lequel vous êtes engagé mais sans vous garantir le moindre travail ou le moindre revenu. Nous avons vu le mini-job des Allemands qui vous rémunère à moins de 5 euros de l’heure. C’est tout naturellement que la France, contrariée par une forte présence de résistants a été retardée dans cette « réforme » qui vise à « moderniser » le contrat du travail. Mais grâce au 49.3, cet article qui s’affranchit de la démocratie, la loi el Khomri est entrée en vigueur cet été (août 2016).
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32367

mais réveillée tôt !!!
Un dimanche surtout, je n'aime point trop ...
Mais bon ... la sieste sera un bon recours ...
Beau dimanche !
Un homme sans défauts est comme une montagne sans crevasses.
Il ne m'intéresse pas.
René Char

Mais de beaux rayons de soleil ...
Tout est calme et silencieux ...
Les oiseaux, seulement ...
Bonne soirée !!!
Fais que chaque heure de ta vie sois belle.
Le moindre geste est un souvenir futur.
Claude Aveline

On vous laisse libéral démocratiser
Chômage à volonté
On vous laisse nos destins s'ouvrir les veines
En commission européenne
On vous laisse la tribune, les honneurs du pouvoir
On vous laisse voler la victoire
On vous laisse le soin de bien ingurgiter, notre part de votre marché
On vous laisse notre âme sur le bas-côté endettée endettée en détresse
A genou de chagrin d'avoir fait le baise-main à l'austérité son altesse
Bernard Lavilliers (extrait)

Je me relève toujours.
Aussi durs que soient les coups,
aussi amères que soient les déceptions…
J'ai une boussole,
là, contre mon cœur,
qui m'inonde chaque jour de sérénité.
Rien ne reste jamais noir trop longtemps.

Je grandis.

Et je souris.

Avec toute ma lumière.
Samantha Bailly

Les pigeonniers sur piliers
On en compte près de deux cents. Ils ont généralement 4 piliers de sections rondes ; s'il y en a plus, cela est du a des modifications postérieures à la construction dans un but de renfort, il peut y en avoir un à quatre supplémentaire entre ceux des angles. La caisse repose sur quatre poutres, elles-mêmes en appui direct sans aucune fixation sur les piliers. Les poutres en chêne, soigneusement choisies après un séchage de 10 à 15 ans restent aussi solides qu'à l'origine, même après deux ou trois siècles. Elles sont assemblées entre elles par tenon et mortaise ; s'il y a des ferrures, elles sont toujours ultérieures. On divise ces pigeonniers en trois parties :
http://fcabrol.free.fr/Pige_pil.htm
http://www.alaingillodes.fr/patrimoine/pigeonnier/tarn.htm

La plus grande pyramide du monde se trouve au Mexique. Malgré, elle est restée inconnue pendant des siècles et même Cortez n’y a vu que du feu. La Grande Pyramide de Cholula recèle encore de nombreux mystères sur son origine.
Les Espagnols se sont établis à Cholula, sur ce qu'ils croyaient être une colline.
Mais ce n’était pas une colline. En dessous de l’église minuscule, cachée dans la terre, les arbres et les herbes, on peut trouver une ancienne pyramide aux proportions gigantesques. D’une largeur de 450 mètres pour une hauteur de 66 mètres, la superficie de la Grande Pyramide de Cholula équivaut à 9 piscines olympiques. Pour un temple obscur qui n’est présent dans aucunes archives, Cholula pulvérise de nombreux records. C’est la plus grande pyramide du monde avec une base qui est 4 fois plus grande que la Grande Pyramide de Gizeh et le double de son volume.
https://actualite.housseniawriting.com/science/2016/08/29/la-plus-grande-pyramide-du-monde-est-une-montagne-cachee-au-mexique/17706/
http://didyouknowblog.com/post/150075383678/the-worlds-largest-pyramid-is-hidden-under-a

Malgré le fait que beaucoup de gens sont terrifiés  par les araignées, elles sont souvent associées à la chance. En effet, la famille Linyphiidae, de minuscules araignées, sont populairement connues comme des signes d'argent. Dans la tradition anglaise, si une araignée passe dans votre paume vous allez bientôt gagner de l'argent.
Les araignées sont peut-être pensées pour être associées à la richesse parce qu'elles travaillent dur à construire leurs toiles. L'araignée est traditionnellement utilisée sur les bijoux et porte-bonheur à travers le monde. Il est considéré comme très néfaste de tuer une araignée parce que leur présence dans votre maison symbolise la bonne santé, la richesse et la propreté. Certaines cultures ont une tradition qui dit que si vous devez absolument tuer une araignée, vous pouvez annuler la malchance en présentant vos excuses à la créature d'abord.
Au Vietnam, on pense que lorsque vous êtes endormi votre âme quitte votre corps et devient une araignée, donc les tuer un est tabou et est considéré comme une tragédie.

Les punitions ...
Dans le monde antique, la punition pouvait souvent être dure, mais dans l'Egypte ancienne, elle était probablement encore beaucoup plus sévère que la plupart des gens peuvent l'imaginer. Aujourd'hui, la plupart du temps, les punitions en restent à la prison où parfois on vous fait travailler. Dans le monde antique, le travail était considéré comme beaucoup plus important et les ressources étaient très précieuses. Ceux qui avaient besoin d'être punis étaient tués ou devaient faire un travail encore plus dur.
Dans l'Egypte ancienne, le vol est puni de «100 coups et cinq plaies" et certaines études réalisées sur des squelettes trouvés dans Amarna, une ville égyptienne antique, ont permis aux chercheurs de croire que cela était une vraie punition . Ils ont trouvé des squelettes avec balafres sur la zone des omoplates qui étaient susceptibles d'être des punitions avant d'être renvoyés au travail.
Cependant, alors que les peines pour le vol pouvait être assez sévères, celles pour les crimes de nature sexuelle pouvaient être beaucoup plus sévères. Les femmes étaient souvent traitées de manière plus stricte, et si une femme était prise à tricher, elle avait son nez coupé, tandis qu'un homme avait tout simplement une raclée sévère de 100 coups. Si un homme était jugé pour avoir violé une femme vierge, il était castré. Comme certaines cultures anciennes, de nombreuses punitions comprenaient également la coupure des membres, et l'exécution pour des infractions graves comme de voler une tombe.

Clapham North, abri niveau profond contre les raids aériens à Londres.
Au cours de la seconde guerre mondiale, des abris anti-aériens de 8 niveaux de profondeur ont été construits sous Londres. Pouvant accueillir 8.000 personnes chacun, les abris avaient des lits superposés, des cantines, des toilettes et des postes médicaux. Après la guerre, les abris ont été utilisés pour le stockage d'archives et même comme hébergements temporaires. Depuis 2012,  Clapham North a été utilisé comme une ferme urbaine.
(Photo by Robert Stainforth / Alamy Photo)
Au Royaume-Uni, les abris furent particulièrement utiles pendant le Blitz, campagne de bombardement menée par la Luftwaffe contre les centres industriels et urbains du royaume, du 7 septembre 1940 au 21 mai 1941. Le métro de Londres, qui possède l'atout appréciable d'être profondément construit, voit de nombreuses stations utilisées comme refuge anti-aérien.