• Toi ...

    Toi ...


    Toi qui tisses mes tristesses
    aux cordes du luth
    désenchantées

    espace la matière de ta voix
    et livre d'invisibles passages
    de soie dénouée

    toi qui recèles
    l'insensible incendie
    des parfums oubliés

    qui jamais ne délivres
    la douce terre d'exil
    de tes pensées

    toi que nulle main
    humaine ne retient

    tu es exactement là
    où j'ai perdu mon chemin
    Amin Khan


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