• Voilà ce qu'est devenue Nantes, l'ancienne Venise de l'Ouest ...

    Nantes dans la spirale de l’insécurité et de la violence

     

    Guillaume Richard, conseiller municipal de l’opposition, avance le chiffre inquiétant d’une multiplication par 1,8 des agressions sexuelles en un an et demi dans l’agglomération nantaise. Quasi doublé. Pour cet élu LR, la politique d’accueil des migrants de la maire socialiste, en 2018, est en cause: «Johanna Rolland a fait du zèle en ouvrant les bras aux migrants sans allouer aucun moyen à leur accueil. Ils ont été 700 hommes de moins de 30 ans, parqués plusieurs mois dans un gymnase. Ça a eu l’effet d’une bombe. Maintenant, c’est beaucoup trop tard.» La sénatrice (LR) Laurence Garnier partage son constat et dénonce également la complaisance de l’équipe en place vis-à-vis des zadistes de Notre-Dame-des-Landes et des manifestants-casseurs qui ont, chaque samedi, troublé l’ordre public dans le centre-ville ces derniers mois sans susciter de vive réaction de la part des pouvoirs publics: «C’est ce manque de courage qui fait qu’on crève aujourd’hui», s’étrangle la quarantenaire. «Nantes est gangrenée de squats. On est guetté dans la rue. Une mauvaise rencontre, ce n’est pas un coup de pas de bol, c’est l’effet de réseaux organisés.» Le centre-ville de Nantes, autrefois havre de paix et de tranquillité, est devenu un repaire de trafics et d’errances, visible à l’œil nu. Punks à chiens, groupes de «blédards» avec une sacoche en bandoulière, pickpockets à pied ou à vélo, camés à l’œil vitreux, la promenade autour du château des Ducs de Bretagne peut aisément virer au cauchemar, surtout après 20 heures. Sous les préaux ou dans les ruelles mal éclairées, les exactions et les deals se multiplient. «On constate une recrudescence d’armes blanches pour menacer les gens», concède l’adjoint au maire. «Une bonne partie de cette délinquance nouvelle est de subsistance, la plupart du temps émanant de jeunes qui sont sur un parcours migratoire, sans possibilité d’obtenir une régularisation.» En plein après-midi, dans l’artère la plus passante de la ville, à la croisée des tramways, station Commerce, tandis que les passants et les touristes poursuivent leur promenade, une vingtaine d’hommes en uniforme resserrent leur filet et interceptent quatre gaillards qu’ils menottent aussitôt.
    https://www.fdesouche.com/2022/09/04/nantes-dans-la-spirale-de-linsecurite-et-de-la-violence/

    https://www.fdesouche.com/

     

    Voilà ce qu'est devenue Nantes, l'ancienne Venise de l'Ouest ...

     


    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :