Les joies de l’islam, sur un air de Céline
A la manière de Céline et qu’il me pardonne…
Ça a débuté comme ça. Moi, j’avais jamais rien dit sur le Coran, le Ramadan et tout le saint frusquin. Rien ! Ce sont les faits qui m’ont fait causer : exigences exorbitantes et agressions confessionnelles, menaces de mort encore confessionnelles et assassinats de masse ; équilibrés ou pas les assassinats, faut voir !
On se rencontre donc, deux culture incompatibles : la France et l’islam. La première qui a fait la preuve qu’elle absorbait lesdites cultures, qu’elle les invitait à se mettre à table avec elle, pour boire, manger et partager. Mais on ne partage pas avec un roc qui déboule sur vous avec de fort mauvaises intentions. Parce que l’islam : « C’est un roc !… c’est un pic ! c’est un cap ! [Mais pas le nôtre !]… / Que dis-je, c’est un cap ? (Toujours pas le nôtre !]… C’est une péninsule ! [Arabique, pas normande ni bourguignonne du tout !]. » Pardon, Edmond (Rostand) mais les nerfs lâchent, c’est forcé : « Quand on m’en fait trop, j’correctionne plus, j’dynamite ! », qu’il faisait dire le gars Audiard…
C’était après le 11-Spetembre. J’ai eu comme des doutes. Je les ai écoutés. J’écoute toujours quand le doute m’habite ! Mais ma petite voix intérieure, tannée par un enseignement post-soixante-huitard béat d’amour de l’Autre et pissant la haine de soi comme une femme enceinte, m’a mis en garde : « C’est pas bien gentil de dire du mal du bon musulman, mon enfant ! » Le 11-Septembre, c’était New York, Washington et la Pennsylvanie ; c’était loin. J’ai donc fait comme la voix le préconisait : le crétin à son tour béat de tolérance sirupeuse !
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