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Alors, nommons-les clairement ces causes !!!
Savoir nommer les causes du déclin peut amener le redressement !
Il y a, dans la tempête de nos jours, un air de résignation qui plane, semblable à ces ombres qui obscurcissent les esprits lucides. Les narrateurs de l’actualité politique, égarés dans leur propre narration, semblent conduire leurs auditeurs à l’abîme du désespoir. On serait presque tenté, par lassitude, par cette impuissance qui ronge, par le découragement ou même par l’incompréhension de leur myopie ou de leur obsession, de se retrancher, de se retrouver seul avec ses pensées, de ne plus entendre, de ne plus voir, afin de retrouver cette quiétude qui nous fuit et dont l’absence nous attriste, nous inquiète.
Qu’entendons-nous chaque jour ? Des récits de meurtres, ou plutôt d’assassinats, perpétrés par des individus toujours plus violents, toujours plus jeunes, des “mineurs”, et des représentants de l’autorité, gendarmes et policiers, autrefois garants de notre sécurité collective, aujourd’hui contestés, menacés, agressés, sans que la réponse des pouvoirs en place soit à la hauteur de ce que la situation exige. Il arrive même d’entendre certains proclamer que “la police tue”, laissant planer un doute sur sa raison d’être, oubliant que nulle société ne peut survivre sans une force de l’ordre, car la notion même de “police” renvoie à la protection des individus et des biens, au maintien de l’ordre public et à l’application de la loi.
Que voit-on dans les rues de nos villes, grandes ou petites ? Des points de vente de drogue, ces supermarchés de la criminalité, affichant sans pudeur leurs menus tarifés, réapparaissant aussi vite qu’ils ont été chassés par les forces de l’ordre.
Et que découvrons-nous, avec stupéfaction ? Que notre nation, jadis une puissance de premier plan sur l’échiquier mondial, ne dispose plus d’une armée crédible, voit son économie réduite à une portion congrue des ambitions perdues, déplore le déclin de son système éducatif, de sa recherche, de son système de santé, de sa diplomatie. Il fait peine de voir une si grande nation à la remorque et presque aux ordres de l’ennemi d’hier vaincu et humilié, l’Allemagne vassale des USA et réel patron de l’UE.
Les véritables causes du déclin de la France sont, d’une part, l’immigration massive, continue et incontrôlée, qui induit inévitablement un remplacement de population accentué par le différentiel de natalité entre les deux groupes, avec pour corollaire un affrontement civilisationnel inévitable. D’autre part, l’intégration européenne, qui a étouffé notre industrie et aliéné notre souveraineté, signant ainsi l’arrêt de mort de la France de nos ancêtres.
Si le moindre doute subsistait quant à l’avenir de la France en l’absence d’un changement de cap politique, il suffirait de se tourner vers l’Histoire pour en avoir un aperçu clair, car “pour voir le futur, il faut toujours regarder derrière soi”, et en ce sens, le destin de Rome déchue pourrait nous offrir des enseignements précieux.
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