• Analyse ...

    qui me va et que j'aurais aimé écrire ...

    Les scores de Marine le Pen, JL Mélanchon et F Bayrou prouvent le refus de ce clivage ridicule gauche/droite traditionnel. La course aux reports des voix est lancée. Les "ennemis" redeviennent brusquement fréquentables. Le discours de Mélanchon Dimanche soir, fut remarquable: que chacun maintenant prenne ses responsabilités. Moi, je sais que je ne veux plus de cette forme de gouvernement, entre agitation, urgence, décisions hâtives et travail bâclé, favoritisme et mépris de ceux qu'on n'entend ni ne voit.
    Faire des économies à court terme pour éviter les ennuis a conduit les administrations à la faillite. Ce sont nos enfants et petits-enfants qui seront obligés de vivre dans un pays minuscule et mité par une telle politique. Certaines réformes devaient être effectuées. Personne ne le conteste mais pas au pas de charge et sans discernement. 
    Inutile aussi de se hausser du col en faisant croire au rôle tenu par NS et notre pays. Nous ne sommes plus rien, nous n'avons plus aucune influence au niveau international et les cris du coq gaulois ne déclenchent plus qu'hilarité et moqueries. Acceptons-le et remettons de l'ordre. Travaillons humblement, calmement et avec rigueur. Notre nouveau chef de l'état sera t'il capable de dépasser le copinage pour désigner des ministres capables et connaisseurs? Je redoute le retour des vieux vautours, avides de retrouver leur rang et les fastes de la République. Le fromage doit être bon puisqu'il attire rats et souris qui refusent ensuite de le quitter.
     Virons ceux qui ont tant nui et retroussons nos manches.

     


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