Quand les Français se font assassiner, un par un, au hasard de faits divers presque toujours semblables, il est plus facile aux médias et aux politicards de relativiser ces drames, en les noyant dans nombre d’autres informations. Mais quand, à Angers, en pleine nuit, ce sont trois jeunes de 16 à 20 ans qui se font mortellement poignarder par le musulman déséquilibré de service, un Soudanais de 32 ans, il est plus difficile de dissimuler à nos compatriotes une telle horreur. Donc, on va en parler pendant 48 heures, et il est même possible que Macron, ou sinon Darmanin, aille rendre visite à la famille, pour assurer les proches du soutien du gouvernement. Jusqu’aux prochains morts.

Bien sûr, tous les Angevins sont encore plus secoués que la moyenne des Français, quand ils découvrent que ce drame a eu lieu en plein centre-ville, près de chez eux. Mais quitte à être cruel, il n’est pas inutile de rappeler le vote de ces gens-là aux dernières Présidentielles.

Ce drame, plus que jamais, donne raison au diagnostic que seul Éric Zemmour avait eu le courage de faire. Ils ne lui ont accordé que 5 % des voix ! Eh bien, à cause de ces crétins, plein d’autres Français continueront d’être assassinés par des criminels au profil semblable à celui qui, à 3 heures du matin, a d’abord importuné deux jeunes filles, avant de revenir poignarder une dizaine d’autres victimes.
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